Avis Battlestar Galactica

Lent, incohérent, effets spéciaux pas terribles , lourdeurs ....mais qu’est ce que l’on peut trouver de bien à cette série. Je suis pourtant un fan de fiction mais là excusez moi mais je ne vois pas pourquoi tant d’avis positifs. C’est ennuyeux la plupart du temps - hormis quelques épisodes par ci par là qui relève un tant soit peu le niveau parfois.
Bref je n’adhère pas et suis déçu

L'idée initiale est bluffante, mais la série est lente, barbante, ennuyeuse et au final peu intéressante, non par le thème mais par les scénarios des différents épisodes, redondants et sans intérêt.

Au bout de 10 épisodes, je n'ai pas eu le courage d'aller plus loin, me demandant si j'étais en train de regarder une série SF ou un bêtisier ! L'incompétence des accessoiristes fait pitié ! Ces gens-là possèdent une technologie de pointe, mais utilisent des téléphones gros comme des fers à repasser, et ont quitté la terre en veston cravate et chaussures cirées ! Quant au scénario : quand la présidente parle, elle convoque les journalistes (des journalistes sur un vaisseau de secours ?) Si les deux premiers épisodes éveillent la curiosité malgré leur confusion, le troisième arrive comme un cheveu sur la soupe avec son lot d'incohérence, o spoiler: n négocie avec des taulards (parce qu'il y a aussi des taulards !) on justifie les prises d'otages et même du bout des lèvres le terrorisme, et ces braves gens réclament des élections "libres" qu'un grand benêt leur promet ! Non mais allo quoi ? Dans les épisodes 4 et 5 le chef militaire met en péril la totalité de la flotte pour sauver une écervelée qui a couché avec son fils, laquelle écervelée nous joue un suspense qui ne fonctionne pas puisqu'on sait pertinemment qu'elle va s'en sortir. Dans l'épisode 8 le temps est occupé par une scène d'interrogatoire avec passage à tabac et torture au seau d'eau, et il y en a qui trouve ça très bien ! Et attention pour les allusions religieuses n'en veut-tu en voilà et même qu'on en a rien à cirer ! Dans l'épisode 9 , le capitaine s'en va tout seul comme un grand récupérer la femme du second qu'on croyait morte mais qui ne l'est pas, il lui ramène en disant à la présidente qu'elle est dangereuse, mais qu'il était obligé de la ramener parce que c'est la femme du second… ça c'est du scénario ! Remarquons que la femme en question nympho et alcoolo permet à Kate Vernon de nous faire une prestation amusante malgré l'imbécilité de la situation. J'ai arrêté avec le navrant épisode 10 entièrement basé sur un suspense qui n'a pas lieu d'exister.
Parlons de la distribution, c'est une catastrophe, se farcir un Jamie Bamber ne sachant pas jouer est une souffrance, Katee Sackhoff en garçon manqué, surjoue et énerve son monde et ne parlons pas des tronches des seconds rôles. Seul surnage Mary McDonnell qu'on avait vu dans "Danse avec les loups" mais son rôle de présidente lui va comme un tablier à une vache et Tricia Helfer dont il n'est pas impossible de s'imaginer que sa seule plastique a contribué au succès de la série. Sinon la musique est plutôt jolie. De la science-fiction, ça ? C'est primaire, stupide, ennuyeux, suffisant, lourdingue, mystique et assez laid… Et il y en a que ça fait rêver ? Tant mieux pour eux, mais moi je préfère me repasser tous les Aliens !

S’il n’y avait pas eu cette fin rocambolesque de la première saison, j’aurais pu aborder la seconde saison avec des craintes de répétition et de stagnation. Rien n’en a été ! Bien au contraire, le début reprend là où on en est resté, sur Kobol, à la recherche de la route vers la Terre, et déjà les dissensions entre croyants et non-croyants suscitent des tensions et des tragédies qui ne nous font plus quitter notre fauteuil. La saison 2 emporte aussi d’autant plus l’adhésion que les personnages phares de la série, j’ai nommé Tom Zarek mais surtout – et de loin ! – Gaius Baltar (James Callis peut se vanter là d’avoir donné vie à l’un des personnages les plus charismatiques de l’histoire de la série américaine) vont prendre de l’importance et de l’ampleur, renforçant l’intérêt que l’on peut déjà porté pour ces jeux d’intrigues sociales et politiques au sein de cette flottille de survivants… Dommage du coup que, malgré tout ça, cette saison sombre parfois dans les affres du remplissage. Ils sont quand même quelques uns, dans le dernier tiers, ces épisodes qui ne se construisent sur pas grand-chose et qui entendent installer, développer et résoudre des intrigues et des personnages le temps d’un simple stand alone. C’est la plupart du temps artificiel, peu utile pour l’intrigue, et surtout c’est chiant. ( spoiler: L’épisode où Apollo s’entiche d’une prostituée… Pfouiaïeaïe !
) Le pire, c’est que ce temps perdu à raconter ces histoires sans importance se fait au détriment d’autres éléments qui auraient mérités bien plus de temps et d’efforts. ( spoiler: Je pense notamment au personnage de Fisk. Il n’existe pas avant la chute de l’amiral Cain et à peine commence-t-il à prendre de l’importance qu’il est éjecté pitoyablement par l’intrigue. Parce bon, je ne sais pas pour les autres qui auront vus cette scène, mais pour moi, ce moment où on le voit réparer un moteur de saut avec une clef à molette et un marteau, ça reste juste le pire souvenir que je garde de la série, toutes saisons confondues !
) A dire vrai, c’est clairement ce coup de mou de quelques épisodes qui coûte à cette seconde saison la cinquième étoile. Car au-delà de ça, cette saison est quand-même riche de moments que j’ai trouvés particulièrement palpitants. Entre spoiler: cette rencontre d’avec le Pegasus
qui survient dès l’épisode 10 (et qui m’a valu une nuit très raccourcie) et ce final vraiment malin et inattendu avec spoiler: l’élection de Baltar et l’installation sur New Caprica
, on se retrouve quand-même là avec deux de mes moments préférés de toute la série. Donc oui, elle a beau être inégale cette deuxième saison, elle n’en demeure pas moins tellement riche en événements forts et en espérances pour la suite qu’il est difficile pour moi de ne pas rester enthousiaste en y repensant. Et à mon sens, dire cela, au fond, c’est dire l’essentiel. « Battlestar Galactica » opère clairement un virage qualitatif très intéressant avec cette seconde saison, et ce n’est clairement pas pour me déplaire.

Je ne vais pas y aller par 4 chemins. Pour moi il y a des piliers de la SF, des œuvres incontournables à voir absolument une fois dans une vie et Battlestar Galactica en fait très clairement partie. A mon sens, il s'agit de la meilleure série de tout les temps.
L'histoire est absolument incroyable et bouleversante, les personnages sont inoubliables (mention spéciale pour Gaius Baltar, Bill Adama, Starbuck et Apollo), la bande son est digne de John Williams (merci Bear McReary), les batailles sont grandioses et les effets spéciaux sont bluffants compte tenu de l'époque et du nombre d'épisodes.
Pendant l'intégralité des 4 saisons, vous allez passer par toutes les émotions et surtout vous allez rêver parce qu'au final c'est ce qu'on attend d'une bonne œuvre de science fiction.
BSG figure au panthéon de la SF aux côtés de Star Wars, Mass Effect et Alien. À voir absolument.

La série dans son ensemble n'est pas du même niveau que la version de 1978 qui était un space opera comme peuvent l'être Star Wars ou Star Trek.
Point d'aventures au pistolet laser (il y'avait des cotés un peu kitsch dans l'ancienne version) mais des drames psychologiques comme dans Homeland et House of Cards.

Bonne série de SF. Un Galactica dure avec des effet spéciaux correcte. Un bémole, la série tourne un peu trop religieux sur la fin.
Une demi étoile en plus car la série à une fin......

Battlestar Galactica la série de 4 saisons de 2004/2008 est le grand succès justifié de cet univers de Glenn a Larson initié en 1977. Par sa cohérence, ses intrigues et ses acteurs l'idée de cette odyssée spatiale en conflit avec des sortes d'androïdes appelés Cylons prend dans ces saisons toute sa dimension épique.

Alors que dire... sinon : chef d’œuvre !
Si cette série était sortie aujourd'hui, elle aurait certainement bénéficié d'un plus large accueil.
Un autre déroulement ? Une autre fin ? Elle y aurait perdu à coup sûr.

Battlestar Galactica reste une de meilleurs série de SF de ces vingt dernières années, sinon, par son ton unique, et sa fin (décidément on y revient), LA meilleur série de SF de cette période.

Ma compagne ne l'ayant jamais vu -et ayant flashé sur le coffret de l'édition limité qui trône dans ma vidéothèque- je me suis dit qu'il était temps de réparer ce manque. De la curiosité, elle en est vite passé au plaisir. Et du plaisir, au besoin d'aller plus loin, épisode après épisode. A un tel point que nous n'avons regardé que cette série pendant des semaines, à raison de 2 à 4 épisodes par jours. Quand je lui demandais si elle désirait regarder tel ou tel film pour la fin de soirée, revenait irrémédiablement la même question amusée : "et... les cylons ?".

Hier au soir, nous avons visionné l'ultime épisode.
spoiler: Au fur et à mesure que ce dernier se déroulait j'ai vu dans les yeux de ma compagne un sorte d'angoisse prendre place. Au final, est resté une sorte de "gueule de bois". Pas celle que l'on ressent à chaque fois qu'une grande saga se termine, mais ce manque mêlé de tristesse. "Tout ces efforts pour ça ?". J'ai compris son sentiment - j'ai ressenti le même la toute première fois que j'ai vu cette fin. Ce sentiment d'espoirs déçus par ce "no happy ending", de se dire au fond de soi qu'après "tout ces efforts", tout ces sacrifices, les personnages auraient mérité une fin plus heureuse, bâtir enfin un avenir ensemble, ainsi qu'ils semblaient le désirer. Non, cette fin plus amère que douce, clôt magistralement la série -malgré certains aspects incohérents, comme celui de la diaspora des humains sur Terre,et ces nombreux deuils, tant au propre qu'au figuré.


Je pense qu'il y a une certaine malice des auteurs qui, par ce final surprenant, cherchait à marquer profondément l'esprit des spectateurs spoiler: , plutôt que de leur offrir le happy end tant attendu, tant "mérité".

Et ils ont réussi.

Ce pour quoi, nous revisionnerons encore cette série dans des années.
Ce pour quoi j'ai au premier chef, acheté l'intégrale dès qu'elle fut disponible.

20 ans, cela reste l'une des meilleures série de SF (voir la meilleure). J'ai re-regardé le pilote récemment et cela n'a pas vieilli d'un iota car à l'emploi très rare de modèles 3D (vous imaginé, c'est le début des années 2000 !!!).

Mon seul regret est que la note moyenne soit si faible sur Allociné, ce qui l'empêche d'être découverte par le plus grande nombre.

Fan de SF depuis toujours, je n'ai jamais compris la passion pour cette série. Les effets spéciaux pour l’époque étaient corrects sans plus et c'est malgré tout la meilleure partie de cette série. Les personnages sont sans aucune profondeur, caricaturaux au possible et on a l'impression qu’ils ont été choisis pour leur plastique. Les histoires sont basiques, les femmes sont juste là pour décorer, les mecs pour draguer, se bagarrer et jouer au poker... euh à la pyramide. Quant aux "méchants" Cylons, Baltar et consorts, on se demande comment ils ont réussi à faire la guerre pendant des millénaires, ils sont tellement lents et idiots...quand on les voit tout brillants, on se croirait dans une pub pour un rénovateur de carrosserie et pas dans une série sur une guerre d'extermination. En clair, la série ne m’a pas enthousiasmé alors que j’ai adoré « Star Wars ». J'ai quand même mis 10/20 pour le petit côté novateur de la série. Nota : je ne suis pas allé au bout de la série. Je me suis arrêté avant. Peut-être que je la reprendrai un jour, qui sait ?

Même s'il y a des longueurs et inégalités, la série arrive à tenir en haleine. Une histoire d'anticipation/SF un peu mystique et technologique en même temps. Effet spéciaux et batailles spatiales pas mal du tout pour l'époque. Et j'ai vraiment adoré la conclusion: tellement parfaite!!!

Je l'avais laissé pour plus tard, puisque j'avais subi une campagne de persuasion féroce, directe et par le biais des lectures de critiques et les sites de fans. Je regarde donc la mini série, de trois heures, qui n'est pas simple pour les acteurs qui doivent avoir l'air plus jeune .. Et je bute, je bute sur une question : bête, mais pourquoi est ce que les Cylons cherchent ils à détruire totalement l'humanité ?

Série que je regardais il y’a dix ans , que j’ai re regardé cette année car j’en avais de très bon souvenirs .
C’était encore l’époque où il yavait 20 épisodes par saison . Tout ne se tient pas et ça a été vraiment long.
Une saison 2 affligeante mais de suite relevée par le 3 qui commence avec la résistance .
Beaucoup de politique et de militarisme patriotique et mon personnage préféré reste Baltar qui comme un chat a 7 vie , a su rebondir à chaque défaite avec un fort aplomb j’ai adoré le suivre et j’ai eue bcp d’émotions à certains passage notamment avec lee et Kara .
Bonne série

Suite à l'arrêt au bout d'une petite saison en 1978, Battlestar Galactica aurait pu tomber aux oubliettes télévisuelles (comme l’horrible suite Galactica 1980 qui ne mériterait même pas d’être citée) mais en 2003 se produit un miracle : Donald D Moore ressuscite Galactica et renverse complètement la table avec l’une des meilleures si ce n’est la meilleure série de Science-Fiction de tous les temps !
Le ton est beaucoup plus sombre et mature, le projet d’une ambition folle mêle politique, mysticisme, action et émotions avant un final vertigineux qui a beaucoup divisé le public mais n’altère en rien la qualité de 4 saisons inoubliables !
A découvrir de toute urgence pour tout fan de SF qui se respecte, et bien commencer par le pilote de 3h qui est un bijou de narration et de mise en place de l’intrigue avant de dévorer les épisodes au format plus traditionnel de 45 minutes.