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Note moyenne
3,1
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Votre avis sur Quelqu'un doit mourir ?
5
1 critique
4
8 critiques
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8 critiques
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Pas du tout d'accord avec les critiques que j'ai pu lire sur cette mini série.
Je trouve, au contraire, qu'il y a beaucoup de rythme et que l'action s'enchaine très vite contrairement à plein de série qui nous multiplie les épisodes juste histoire de faire trainer en longueur.
Mensonges, rumeurs, trahisons, secrets tout y passe. J'ai tout de suite accroché et regardé les 3 épisodes d'un bloc. Les acteurs sont remarquables et très juste.
Cette plongée dans cette Espagne franquiste d'après guère m'a passionné. J'ai adoré suivre les aventures de cette famille.
Je trouve, au contraire, qu'il y a beaucoup de rythme et que l'action s'enchaine très vite contrairement à plein de série qui nous multiplie les épisodes juste histoire de faire trainer en longueur.
Mensonges, rumeurs, trahisons, secrets tout y passe. J'ai tout de suite accroché et regardé les 3 épisodes d'un bloc. Les acteurs sont remarquables et très juste.
Cette plongée dans cette Espagne franquiste d'après guère m'a passionné. J'ai adoré suivre les aventures de cette famille.
ffred
Une nouvelle série espagnole très réussie (dans un format court 3 épisodes). Dans un contexte politique fort, le portrait au vitriol de l'Espagne de Franco après-guerre, où l'homophobie était partout. Parfaitement mise en scène et en image, impeccablement interprétée (par entre autres Carmen Maura) cette mini-série a juste l'inconvénient d'être un peu trop courte à mon goût.
elriad
Intrigue prévisible, personnages schématiques, tout dans ces trois épisodes sur fond de franquisme manque cruellement de subtilité scénaristique et de cohérence. La scène finale est juste une catastrophe grotesque auquel le spectateur assiste médusé par tant de ridicule.
Ou comment faire du suranné avec du suranné... Dispensable !
Ou comment faire du suranné avec du suranné... Dispensable !
AlexLaloix
Quelqu’un doit mourir est une mini-série dotée d’un grand potentiel, mais qui hélas, n’a pas su l’exploiter un maximum. Attendue comme un « whodunit » à l’instar d’une enquête à huit-clos d’Agatha Christie, on est déçu qu’elle n’ait pas proposé une intrigue haletante à suspense. Le court format de ce thriller espagnol est le principal reproche qu’on pourrait lui faire, avec seulement trois épisodes de 50 min, l’intrigue reste assez brève et n’exploite pas pleinement ses personnages, pourtant intéressants. Malheureusement, le dénouement final bien trop précipité et bâclé nous laisse sur un sentiment de frustration et de déception. C’est vraiment dommage, car l’époque des années 50 de l’Espagne conservatrice, l’ambiance qui y règne, les personnages et l’aspect de la persécution traité dans l’intrigue réunissent une bonne matière à constituer une série beaucoup plus conséquente et plus excellente.
-
12/20
Critique sur Quelqu’un doit mourir (série complète)
Vue du 30 au 31.10.2020 sur Netflix
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12/20
Critique sur Quelqu’un doit mourir (série complète)
Vue du 30 au 31.10.2020 sur Netflix
AlexLaloix
Quelqu’un doit mourir est une mini-série dotée d’un grand potentiel, mais qui hélas, n’a pas su l’exploiter un maximum. Attendue comme un « whodunit » à l’instar d’une enquête à huit-clos d’Agatha Christie, on est déçu qu’elle n’ait pas proposé une intrigue haletante à suspense. Le court format de ce thriller espagnol est le principal reproche qu’on pourrait lui faire, avec seulement trois épisodes de 50 min, l’intrigue reste assez brève et n’exploite pas pleinement ses personnages, pourtant intéressants. Malheureusement, le dénouement final bien trop précipité et bâclé nous laisse sur un sentiment de frustration et de déception. C’est vraiment dommage, car l’époque des années 50 de l’Espagne conservatrice, l’ambiance qui y règne, les personnages et l’aspect de la persécution traité dans l’intrigue réunissent une bonne matière à constituer une série beaucoup plus conséquente et plus excellente.
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12/20
Critique sur Quelqu’un doit mourir (série complète)
Vue du 30 au 31.10.2020 sur Netflix
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12/20
Critique sur Quelqu’un doit mourir (série complète)
Vue du 30 au 31.10.2020 sur Netflix
Superbe final pour cette mini mini série . Argggg, les 10 dernières minutes !! A un rythme d'enfer : trahisons, rédemption. Jusqu'au règlement de comptes où tout les coups sont permis … J'ai adoré et je recommande.
Je suis d'accord avec nombres de personnes qui ont écrit que c'est une vision au vitriol de la société bourgeoise de l'époque franquiste. Les jalousies, les mesquineries , les peurs engendrées par le régime ou tout peu basculer à chaque instant . La méfiance , même au sein de sa propre famille, personne ne peut faire confiance en personne . On s'épie, on conspue, on trompe et le tout accompagné de sourires mielleux et de chuchotements. La grand mère matriarcale et démoniaque , qui va enfin connaitre le sort qu'elle a elle même réservé aux autres , y compris à son propre petit fils.
J'ai personnellement beaucoup aimé la prestation , entre autres de Carmen Maura et de la jeune interprète Ester Esposito , actrice prometteuse à mon gout.
J'ai personnellement beaucoup aimé la prestation , entre autres de Carmen Maura et de la jeune interprète Ester Esposito , actrice prometteuse à mon gout.
Ufuk K
" Quelqu'un doit mourir" diffusé sur Netflix est une série dramatique de bonne facture. En effet j'ai vraiment aimé les deux premières épisodes qui décrit l'homophobie ambiante en Espagne sous l'ère de Franco et une riche famille espagnole écrasé par la pression sociale avec un casting intéressant, hélas j'ai trouvé que le personnage principal manquait de charisme et les autres dans l'ensemble ne sont pas sympathique avec un dernier épisode et dénouement très frustrant qui vient gâcher la qualité de cette mini série qui avait tout pour plaire, dommage.
Saison 1 : 2,6/5
En seulement 3 épisodes, c'est difficile de bien se glisser dans l'histoire. Pas de difficultés pour s'accrocher aux bons personnages.
Heuresement que de nos jours l'homosexualité est davantage acceptée, et encore... C'est pas facile partout. Ça me déçois. Le dénouement est désastreux mais sans cliché. Je sais pas trop quoi en tirer de cette fin. La série est médiocre, mais elle se regarde.
En seulement 3 épisodes, c'est difficile de bien se glisser dans l'histoire. Pas de difficultés pour s'accrocher aux bons personnages.
Heuresement que de nos jours l'homosexualité est davantage acceptée, et encore... C'est pas facile partout. Ça me déçois. Le dénouement est désastreux mais sans cliché. Je sais pas trop quoi en tirer de cette fin. La série est médiocre, mais elle se regarde.
Une description de l'Espagne sous Franco et ses sbires. Je trouve le scénario bien ficelé, qui nous mène un moment sur des fausses pistes, jusqu'au final tragique un peu shakespearien. La série révèle aussi de nombreuses et nombreux acteurs jeunes et beaux, ce qui nous change du misérabilisme d'autres projets
Une série sans intérêt, des personnages manichéens tellement caricaturaux, un scénario prévisible et assez consternant. Une perte de temps sans nom ..
L'AlsacienParisien
Je ne connais pas le réalisateur Manolo Caro, à qui on doit la série "La casa de las flores", mais le contexte historique, le titre faisant penser à une adaptation d'un roman d'Agatha Christie ainsi que le casting (Carmen Maura, Ester Expósito) m'ont donné envie de me lancer dans cette mini-série au format court de trois épisodes seulement.
Tout tourne autour d'une riche famille, les Falcón, demeurant dans une bâtisse isolée, au coeur des années 50 et de l'Espagne franquiste. Le fils ainé y revient après dix ans d'exil au Mexique, accompagné d'un danseur de ballet, ce qui passe mal auprès de son entourage qui fait tout pour arranger son mariage avec une riche héritière. Le point de départ de cette intrigue met allègrement de l'huile sur le feu et nous annonce, par son titre, un final explosif et meurtrier. Tous les personnages sont bien interprétés, servis sur un plateau d'argent avec leurs doutes, secrets et convictions intimes. Carmen Maura est parfaite du début à la fin en matriarche manipulatrice. Il en va de même pour Cecilia Suárez en mère désabusée et Ester Exposito en fiancée pas si innocente. Toute la distribution, en soit, est soignée et émotionnellement investie. La mise en place de ces nombreux pions se fait en douceur, via une mise en scène sobre et cadrée qui donne envie de croire en la qualité de cette mini-série. Quelques gros plans sur chaque personnage, à la manière d'un banc des accusés, jalonnent la mini-série et en deviennent sa principale signature. Ces portraits participent à l'atmosphère individualiste où les personnages s'empêchent mutuellement de s'envoler, à l'image de ces pigeons sans cesse abattus à la carabine.
Mais le format plutôt court est à double tranchant car cela permet à l'intrigue d'aller droit aux faits, sans tergiverser, mais d'un autre côté, on a pas vraiment le temps de rentrer pleinement dans l'histoire et de s'attacher aux protagonistes. Et c'est ce manque qui vient jouer les trouble-fêtes. Alors que les deux premiers épisodes réussissent le pari de narrer une histoire d'identité, de sexualité et d'image que l'on renvoie dans la société en des temps de tensions, de peurs et de répressions. Le dernier épisode, quant à lui, semble aboutir vers un final gratuit, un peu tiré par les cheveux et précipité, donnant aux spectateurs ce qu'ils attendaient avec impatience depuis le début.
"Quelqu'un doit mourir" est un soap plein de qualité mais a le souffle court. Le contexte politique de ce pays aux valeurs conservatrices est prégnant et se transforme en un terrain de jeu intéressant pour un scandale intimiste dont le thème de la liberté sexuelle est le sujet central autour duquel s'articule tout le récit. Mais ce format atypique ne laisse pas assez de place aux sous-intrigues qui restent floues et largement sous-développées. D'où une sensation d'être resté à la surface de ce drame social succinct et épuré...
Tout tourne autour d'une riche famille, les Falcón, demeurant dans une bâtisse isolée, au coeur des années 50 et de l'Espagne franquiste. Le fils ainé y revient après dix ans d'exil au Mexique, accompagné d'un danseur de ballet, ce qui passe mal auprès de son entourage qui fait tout pour arranger son mariage avec une riche héritière. Le point de départ de cette intrigue met allègrement de l'huile sur le feu et nous annonce, par son titre, un final explosif et meurtrier. Tous les personnages sont bien interprétés, servis sur un plateau d'argent avec leurs doutes, secrets et convictions intimes. Carmen Maura est parfaite du début à la fin en matriarche manipulatrice. Il en va de même pour Cecilia Suárez en mère désabusée et Ester Exposito en fiancée pas si innocente. Toute la distribution, en soit, est soignée et émotionnellement investie. La mise en place de ces nombreux pions se fait en douceur, via une mise en scène sobre et cadrée qui donne envie de croire en la qualité de cette mini-série. Quelques gros plans sur chaque personnage, à la manière d'un banc des accusés, jalonnent la mini-série et en deviennent sa principale signature. Ces portraits participent à l'atmosphère individualiste où les personnages s'empêchent mutuellement de s'envoler, à l'image de ces pigeons sans cesse abattus à la carabine.
Mais le format plutôt court est à double tranchant car cela permet à l'intrigue d'aller droit aux faits, sans tergiverser, mais d'un autre côté, on a pas vraiment le temps de rentrer pleinement dans l'histoire et de s'attacher aux protagonistes. Et c'est ce manque qui vient jouer les trouble-fêtes. Alors que les deux premiers épisodes réussissent le pari de narrer une histoire d'identité, de sexualité et d'image que l'on renvoie dans la société en des temps de tensions, de peurs et de répressions. Le dernier épisode, quant à lui, semble aboutir vers un final gratuit, un peu tiré par les cheveux et précipité, donnant aux spectateurs ce qu'ils attendaient avec impatience depuis le début.
"Quelqu'un doit mourir" est un soap plein de qualité mais a le souffle court. Le contexte politique de ce pays aux valeurs conservatrices est prégnant et se transforme en un terrain de jeu intéressant pour un scandale intimiste dont le thème de la liberté sexuelle est le sujet central autour duquel s'articule tout le récit. Mais ce format atypique ne laisse pas assez de place aux sous-intrigues qui restent floues et largement sous-développées. D'où une sensation d'être resté à la surface de ce drame social succinct et épuré...
Un thriller en 3 parties, avec la passion la cruauté qu'on peut trouver dans certaines familles ! Horrible à certain moment, et plus gourmand à d'autre, ça se regarde très bien
3 épisodes d'environ 1 heure. Dans les années 1950, en Espagne, l'action se déroule. Une famille vivant dans l'opulence, voit son fils revenir avec un ami, danseur de ballet. Des fantômes dans l'armoire, des secrets bien gardé, qui finiront par tomber.
J'ai commencé et fini hier soir cette petite pépite Espagnol en 3 partie. A regarder car très réaliste et captivante.