Je n'ai pas compris l'intérêt de cette série : c'est un soap? Un drame familial? 🤷🏻♀️....en tout cas ce n'est pas thriller, il n'y a pas de meurtre...pourtant j'avais lu dans certains articles qu'on allait y retrouver les ingrédients d'un Agatha Christie...😳...euh....ok...à quel moment ?faut m'expliquer.... Tous les personnages sont detestables, le "secret" de famille bidon, le jeu des acteurs est fade, et la fin ,au bon sang,...ridicule Bref...à oublier
Un récit qui se déroule au sein d'un microcosme bourgeois où intrigues, petits secrets et trahisons font la loi. en pleine époque franquiste, lestée par ses carcans, ce drame ne fait pas preuve d'une grande originalité par ses personnages ou la nature des rebondissements. De plus, on peut déplorer certaines incohérences dans son déroulement et un final théâtral. pour autant, de part son format (seulement 3 épisodes), il est aisé de suivre l'intégralité de la série.
Une bonne série dans l'ensemble, ou un film assez long, car il n'y a que trois épisodes. Je ne savais pas que le régime de Franco était aussi répressif envers les homosexuels, mais bon, s'agissant d'une dictature, ce n'est pas des plus surprenants. En gros, c'est une sempiternelle caricature des moeurs bourgeoises, avec ses non-dits, ses haines recuites et ses secrets de famille, pas franchement difficiles à deviner dans ce cas. Le titre est assez mal trouvé, on aurait pu intituler cette série, " quelqu'un ne doit pas mourir ",parce que des morts, ça, il y en a, dommage que ce soit à la fin, donc il faut oublier le suspens et une éventuelle enquête. Sinon, Carmen Maura est vraiment flippante dans son rôle, et rien que pour ça, les décors et les costumes bien réussis, ça vaut le coup d'oeil.
Je me suis vite ennuyée au premier épisode tellement cela met du temps à démarrer, les deux suivants sont plus rythmés mais avec une fin plutôt mal faite. Pas de surprise dans le déroulement. Il y a de bonnes choses malgré tout dans le scénario mais trop peu pour laisser un bon souvenir.
Dans l’Espagne des années 50 sous influence franquiste, Gabino Falcon, fils unique d’une famille de nantis, rentre du Mexique avec son ami danseur Lazaro. La famille Aldama, en affaire avec le père Falcon, veut lier les deux familles par le mariage de son fils avec Cayetana Aldama. Gabino s’oppose à ce projet et préfère parcourir le monde avec son ami Lazaro, les ennuis commencent … Quelqu’un doit mourir traite de sujets graves dans une société brimée, dictée par des valeurs militaires strictes où la norme est de mise !
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La critique d'Allo Ciné rejoint complètement l'avis que je me suis fait en regardant cette série. Les décors et les costumes sont bien réussis et créent une ambiance intéressante. Pour le reste, les personnages sont manichéens et sans aucun relief. Leurs relations ne sont pas du tout exploitées. Cela déborde de scènes non crédibles et mal ficelées. La fin est désastreuse.
Très bonne serie que j ai dévoré en peu de temps 3 épisodes des bons comédiens du suspense un sujet très intéressant Je ne comprends pas certaines critiques.
Tout est presque mauvais, seul point positif... il n'y a que trois épisodes! Encore une fois, très prévisible et histoire bas de gamme, l'éternel vieille grand-mère imbuvable et presque increvable!!!
Une série avec des acteurs espagnols qui reviennent sur les séries originales Netflix, mais qui savent jouer. Une présence historique de l'homosexualité, mais pas que : la présence et l'importance dominante du patriarcat dans la famille, dans la vie. L'émancipation impossible à cette époque, à risque de se mettre à défaut la société entière. Ainsi donc, un scénario bien écrit, des acteurs qui le jouent plutôt bien, une bande originale un peu répétitive mais plaisante, un bon dosage entre le suspens, le contexte historique et l'amour. Une mini série qui aurait pu être deux films. Bravo.
En seulement 3 épisodes, la série espagnole « Alguien tiene que morir », nous émerge dans l’Espagne des années 50 et nous relate le retour de Gabino chez ses parents ; lesquels ont pour ambition de marier leur fils et tombent des nues lorsque celui-ci rentre en Espagne aux côtés d’un danseur de ballet. Les problèmes vont alors débuter et les secrets familiaux vont être dévoilés … Bien que la série soit intéressante car elle permet d’en apprendre davantage sur la condition des homosexuels dans les années 50 marquées par le régime franquiste, elle m’a cependant laissé un sentiment mitigé. En effet, même si elles incitent à la réflexion sur les libertés lors de cette période de l’Histoire, certaines scènes sont dures à regarder, parfois à la limite du soutenable. De plus, la scène finale semble absurde et laisse le spectateur décontenancé face à une fin brute et surréaliste. Les personnages, archétypés pour servir l’histoire, sont également l’un des points faibles de la série en raison de leur manque de profondeur. Appréciant habituellement beaucoup les séries espagnoles, « Alguien tiene que morir » est la première série hispanique à me laisser un léger sentiment de déception.
C'est une mini-série très intéressante et captivante. Les acteurs sont très bons, les personnages intéressants même si pour certains un peu caricaturaux... il n'en demeure pas moins que l'ambiance de l'Espagne des années 1950 rend cette série absolument charmante. Mais pour ma part, il est véritablement dommage de n'avoir que 3 épisodes sur cette histoire, à mon sens, elle aurait mérité au moins 8 épisodes pour que l'histoire soit bien traitée. Ici, tout va trop vite, surtout dans le dernier épisode... On aurait pu mieux faire si l'intrigue s'était plus étalée sur un peu plus grand nombre d'épisodes... Il y a tellement d'éléments qui manquent pour que le scénario soit crédible et réussi. C'est dommage.