Originalité sexuelle, de l'univers involontaire de "50 Nuances de Grey", cette très courte saison de 7 épisodes d'une durée royalement ridicule de 15 à 20 min chacun se voit en une seule soirée et encore, on est par moment tenter d'accélérer tant les petites longueurs habituellement ridicule nous laisse penser que le contenu défile à vitesse grand V. Globalement, le scénario est bien penser, une étudiante en droit ennuyée par ses cours disons le clairement, se changeant en dominatrice S.M. la nuit assouvissant les fantasmes personnels de ses clients les plus surprenant. De l'autre, son ami gay timide à souhait et n'osant guère s'aventurer dans cette découverte par soucis de pudeur de voir son ami en tenue sexuellement attirante ou provocante et dont le parler trash est clairement drôle par moment mais évidement provoquant. Une saison donc expresse ou le développement personnel des personnages ne peut correctement se faire, quoiqu'à la difficulté pour suivre leur périple, rien n'est réellement compliquer. Sur le -16, rarement Netflix l'aura respecter, mais seulement le plan audio avec donc ce script vulgaire à souhait, drôle et surprenant mais après tous, un tel programme demande évidement certaine libertés de tons et tant mieux. Visuellement 0, rien de choquant et c'est bien dommage pour une série sur l'érotisme B.D.S.M. Enfin, notre duo complique fait merveille à commencer évidement par Zoe Levin faisant merveille de son talent et de son physique nerveusement attirant, le comique Brendan Scannell fait lui aussi merveille dans un grand nombre de scènes cocasses. Voir la dernière saison, peut-être, à voir au cas ou.