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Bryan V.
70 abonnés
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Critique de la série
3,0
Publiée le 29 janvier 2021
Une petite série Netflix, petite dans tous les sens du terme d'ailleurs. Les saisons n'ont même pas un quota de dix épisodes avec en plus de ça une durée d'environ un quart d'heure seulement pour chacun. Du coup, on en fait une bouchée, tout est très court, mais très drôle. Et on s'attache rapidement au duo de personnage, certains apprécieront sûrement plus Peete, et d'autres préféreront Tiff. Une chose est sûre, Maîtresse May est divine et magnifique.
La série a un sujet plutôt trash dans l'idée (le sadomasochisme), et elle a un humour débordant qui ne manque jamais à la série. Il faut admettre que la réalisation est certainement bien trop propre et lisse pour une telle idée, après cela ne veut pas dire que nous n'avions pas de scènes osées et chaudes pour autant.
Malgré cette bonne appréciation, je ne peux m'empêcher de penser qu'un tel projet donné à une chaîne comme HBO, ils pourraient en offrir quelque chose de tellement plus mature et grandiose, non pas que cette série n'est pas courtement appréciable, ça reste une bonne comédie, je suis d’accord, mais la faire plus « adulte » n’aurait peut-être pas été de refus d'autant plus avec un tel sujet.
Le milieu de BDSM est fascinant et à donné lieu à quelques excellent films, Maîtresse de Barbet Shroeder restant la référence mais il y a eu ainsi la Venus à la fourrure de Polanski et quelques autres comme Body (avec Madonna).Je pensais retrouver un peu de tout ça ici. J'ai dû déchanter. Je sais bien que le BDSM peut se conjuguer très différemment selon les cas de figure mais là on est en pleine pitrerie, et le jeu tête à claque de l'acteur principal n'arrange rien. On n'accroche pas, on s'ennuie, les gags tombent à l'eau , et pour une production qui parle de jeux érotiques on remarquera que l'on ne voit pas l'ombre d'un téton. Reste le sourire de Zoé Levin et sa tenue en vinyle, c'est bien peu ! Pas trop envie de me taper la saison 2
Egal à la première quoiqu'un peu moins percutante, cette expresse et dernière saison s'est voulu bien plus psychologique sur les personnages et moins saisissante sur le visuel, bien que ce programme ne se soit pas basé d'entrée de jeu sur la "violence visuelle sexuelle" mais beaucoup plus sur le verbale vulgaire. C'est déjà ça pour une série érotique mais soyons réaliste, -16 se doit encore une fois de respecter certaines "catégories" techniques. Si cela ne changea point, le casting resta cool et la vedette sensuelle Zoe Levin charma encore une fois par son jeu et regard de braise, son ami gay aura presque encore plus accentuer le caractère féminin de la communauté gay, pas franchement mn kiff personnel. Une série globalement bien penser qui aura eu un final prometteur mais bon, lorsque le contenu manque de punch et que l'audience n'y est pas, cela engendre certaines conséquences.
Saison 1 Le milieu de BDSM est fascinant et à donné lieu à quelques excellent films, Maîtresse de Barbet Shroeder restant la référence mais il y a eu ainsi la Venus à la fourrure de Polanski et quelques autres comme Body (avec Madonna).Je pensais retrouver un peu de tout ça ici. J'ai dû déchanter. Je sais bien que le BDSM peut se conjuguer très différemment selon les cas de figure mais là on est en pleine pitrerie, et le jeu tête à claque de l'acteur principal n'arrange rien. On n'accroche pas, on s'ennuie, les gags tombent à l'eau , et pour une production qui parle de jeux érotiques on remarquera que l'on ne voit pas l'ombre d'un téton. Reste le sourire de Zoé Levin et sa tenue en vinyle, c'est bien peu ! Pas trop envie de me taper la saison 2
Originalité sexuelle, de l'univers involontaire de "50 Nuances de Grey", cette très courte saison de 7 épisodes d'une durée royalement ridicule de 15 à 20 min chacun se voit en une seule soirée et encore, on est par moment tenter d'accélérer tant les petites longueurs habituellement ridicule nous laisse penser que le contenu défile à vitesse grand V. Globalement, le scénario est bien penser, une étudiante en droit ennuyée par ses cours disons le clairement, se changeant en dominatrice S.M. la nuit assouvissant les fantasmes personnels de ses clients les plus surprenant. De l'autre, son ami gay timide à souhait et n'osant guère s'aventurer dans cette découverte par soucis de pudeur de voir son ami en tenue sexuellement attirante ou provocante et dont le parler trash est clairement drôle par moment mais évidement provoquant. Une saison donc expresse ou le développement personnel des personnages ne peut correctement se faire, quoiqu'à la difficulté pour suivre leur périple, rien n'est réellement compliquer. Sur le -16, rarement Netflix l'aura respecter, mais seulement le plan audio avec donc ce script vulgaire à souhait, drôle et surprenant mais après tous, un tel programme demande évidement certaine libertés de tons et tant mieux. Visuellement 0, rien de choquant et c'est bien dommage pour une série sur l'érotisme B.D.S.M. Enfin, notre duo complique fait merveille à commencer évidement par Zoe Levin faisant merveille de son talent et de son physique nerveusement attirant, le comique Brendan Scannell fait lui aussi merveille dans un grand nombre de scènes cocasses. Voir la dernière saison, peut-être, à voir au cas ou.
Une série sans rythme, sans humour, au coup de théâtre sans ambition qui utilise desthèmes d'actualité (féminisme, homosexualité, etc...) en se servant du bdsm comme argument et métaphore, le tout dans un ton bavard, psychologisant. Les relations humaines sont réduites à des liens mécaniques pour des désirs instrumentalisés, triste sexualité se voulant libre et provocatrice, donneuse de leçon. L'ensemble demeure puritain et moralisateur sous le masque.
Le sujet est audacieux, les dialogues, les scènes, les situations pour la plupart aussi. C'est plutôt bien envoyé, avec un format court, des épisodes de quinze minutes pas plus. La première saison était vraiment réussie et très prometteuse, la deuxième beaucoup moins. Elle s'attache trop aux états d'âme des deux héros et à leur relation. En attente de saison pour confirmer ou pas...
Une manière originale d'aborder ce sujet délicat. Beaucoup d'humour et de dérision , pour cette Dominatrice , qui enseigne à un jeune novice toutes les astuces du métier .Des scènes assez amusante se rapprochant de la réalité? L'actrice principale , pleine de charme, joue vraiment très juste ,.
j'avais bien aimé la saison 1, l'idée de base, les personnages. mais la saison 2 ne m'intéresse plus du tout et je ne sais même plus pourquoi j'avais aimé la saison 1, du coup. j'ai donc baissé la note
Série basée sur le SM version édulcorée côtoyant le monde gay. C'est "rigolo", un peu osé parfois mais avec des limites. Un épisode dure 15 minutes donc on gobe facilement les deux saisons actuelles. J'ai bien aimé les acteurs, bien choisis. Bref, une série qu'on regarde pour sourire un petit instant sur un thème coquin... mais pas certain d'y retourner une fois vue.
spoiler: Une suite de série agréable mais il faut rester honnête sur le fait que bien que cela soit drôle cette saison ne casse pas trois pâtes à un canard.
Une série qui se regarde aisément : le format court, le ton humoristique qui contraste avec un univers bdsm édulcoré et la relation entre tous ces personnages en marge nous invite à dévorer les épisodes. Si la première saison pose le cadre et tend à intriguer, la deuxième perd en essence, en rythme et les personnages deviennent prévisibles voire insupportables. Le bdsm n'est pas tant un sujet de fond de la série qu'un moyen pour exacerber les comportements des personnages.
Une saison qui commence très lentement mais surtout une saison 2 qui a perdu son charme. Les dialogues sont vides et sans intérêt. spoiler: Au final on attend une saison complète pour voir que le père de Josh est en contact sans le savoir avec Pete.
En bref, une saison sans humour décalé, vide d'émotions et de surprises, tournée presque à 80% sur le couple Pete & Josh.