Critiques spectateurs
Critiques presse
Votre avis sur Dear White People ?
Critique de la série
0,5
Publiée le 17 novembre 2021
Je n'ai tenu que 6 épisodes mais j'estime que c'est largement suffisant pour se forger une opinion sur cette oeuvre de propagande bien grasse. Le brave docteur GOEBBELS a dit que "plus le mensonge est gros, plus il passe". Il s'est bien gourré car, là, c'est tellement gros que ça ne passe pas. On peut faire une oeuvre engagée, voire de propagande, mais il faut un minimum d'intelligence et de finesse, qualités dont cette série moralisatrice est totalement dépourvue. A fuir, sauf si vous êtes un adepte de la secte woke. (et encore ...)
MrJeremie60

2 critiques

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Critique de la série
0,5
Publiée le 11 octobre 2021
Cette série est une honte. Un assemblage de clichés et de racisme qui n'a d'autre but que de servir un agenda politique
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
0,5
Publiée le 12 octobre 2021
Un condensé de racisme anti-blanc et de grotesques clichés sur les noirs font de cette série la palme du nauséabond, ou, comme dirait mon ado, du malaisant.
Critique de la série
5,0
Publiée le 22 mai 2022
Whoa les commentaires ici... Un flot de trolls venus d'extrême droite, c'est pas possible autrement !
Cette série est tout à fait divertissante et l'une des (rares) séries vraiment de qualité lancée par Netflix. Redescendons un peu, ce n'est pas une série "politique qui dénonce", c'est un high concept comme un autre (des étudiants noirs dans une prestigieuse université où les privilèges sont plutôt attribués aux blancs), avec des thématiques d'actualité, et des personnages bien écrits, bien joués - et drôles car volontairement caricaturaux. Justement, la série sait leur offrir à chacun des arches inédites et inattendues.
Certes, on y évoque une violence policière, l'appropriation culturelle, l'amour entre une femme noire et un homme blanc, etc. Mais aussi le féminisme, la sexualité, la construction de soi à l'âge charnière où l'on est étudiant, la pression des parents, l'avortement, l'ambition, etc. Des thématiques classiques dans une série sur l'université !
Et, je le redis : c'est drôle et inattendu.
Mon seul bémol est pour la dernière saison en comédie musicale, un choix "couillu" qui malheureusement n'a pas payé.
Manu Mtp

5 critiques

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Critique de la série
4,5
Publiée le 16 février 2022
N'en déplaise au pleurnicheur qui y voit du racisme, cette série est criante de vérité et remet en place certaine chose. A voir
Critique de la série
2,0
Publiée le 21 août 2024
La première saison n'est pas désagréable à suivre grâce à trois personnages plutôt sympathiques, car avec des problèmes d'étudiants, certes de couleur, mais étudiants avant tout. D'autres personnages ne voyant leurs problèmes que par le prisme de leur couleur de peau et qui sont, de ce fait, toujours en colère, sont bien plus agaçants.
La suite part en cacahuète. Les intrigues des saisons 2 et 3 sont sans grand intérêt. La saison 4 est clairement la saison de trop puisqu'elle n'a absolument rien à raconter. Malheureusement c'est aussi la saison avec les épisodes les plus longs, et comble du malheur (pour moi en tout cas), elle nous inflige à chaque épisode des scènes de comédie musicale.
L'ensemble fait que c'est une série très dispensable.
Critique de la saison 4
3,5
Publiée le 1 octobre 2021
Une dernière saison en guise de bilan des luttes et des combats, aussi bien personnels qu'à travers la société.
Plus intelligente que jamais et assez bavardes, la série à encore des choses à dire et n'est pas dupe des écueils
dans lesquels elle est tombé par le passé. Tous les arcs narratifs s'achèvent hormis Troy, le personnage le plus essoré depuis la saison 2, il règlera néanmoins ses comptes avec sa mère, si absente... Mais comme le dit l'une des protagonistes : "Il y a des mères qui mettent des pansements et d'autres qui les arrachent !". Les séquences intégrées d'une téléréalité populaire, dans laquelle Colandréa (dite Coco) participe, ne manque pas de faire naitre une femme ambitieuse prête à tout ! Les rouages psycho-sociologiques y sont particulière intéressants. Bref, cette 4e saison vaut le détour et les quelques scènes de chants et de danses sont plutôt bien amenées et assez courtes, pour ne pas bouder son plaisir, bien au contraires ! Elles font partie intégrante du programme, c'est le génie du scénario de fin d'année.
Critique de la série
0,5
Publiée le 11 janvier 2020
Franchement je m’attendais à tellement plus ,
Adepte des séries psychologiques non seulement j’attendais d’être gifflee par La dénonciation de clichés et surtout d’être mieux renseignées sur une culture que je en connais pas ,
C’est surtout un gossip girl version on se prend au sérieux et on tire sur tout ce qui bouge, honteux et pompeux
Critique de la série
4,0
Publiée le 26 février 2024
Justin Simien a bien du talent. Brillante, acerbe, énergique et drôle, sa satire sociale fait mal, dépote, passionne et émeut.
anonyme
Un visiteur
Critique de la saison 4
0,5
Publiée le 27 septembre 2021
plus rien à voir avec l'idée de base ! pourquoi tout gâcher avec de la comédie musicale qui gache tout ! super déçue... dommage de finir ainsi.
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
0,5
Publiée le 24 juin 2019
Noir, noir, noir. Blanc, blanc, blanc. J'en ai compté plus de 200 en 3 épisodes. Une série qui ne correspond qu'au mode vie américain qui utilisent encore le principe de race et ou le communautarisme est élevé au rang de philosophie politique.

La série se veut volontairement polémique, mais c'est franchement à côté de la plaque. Tous le monde n'est pas Spike Lee.
Critique de la série
0,5
Publiée le 9 septembre 2021
Peut-on savoir pourquoi le racisme anti-blanc est-il récompensé et valorisé sans aucune pudeur et en plus félicité?

Trop de films, trop de séries racistes sont visibles sur les supports. Il va falloir que ça s'arrête.

Si ce n'est pas acceptable pour les uns, ça ne doit pas l'être dans l'autre sens.
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
0,5
Publiée le 6 août 2019
C'est honteux d'avoir financé et mettre en avant un racisme anti-blanc. La série ne fait pas preuve d'innovation dans la forme ni dans ses histoires qui ne sont que des clichés qui ne refleter réalité.
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
1,0
Publiée le 17 août 2019
Aucun intérêt, bourré de clichés. Personnages sur la défensive en permanence, c'est pénible et non relaxant
Marie

2 critiques

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Critique de la série
3,0
Publiée le 29 septembre 2019
Honnêtement, je suis totalement partagée sur la série "Dear White People".

Dans les bons côtés on peut considérer le jeu d'acteur, le choix des acteurs ( notamment pour les personnages de Sam ou de Troy ) et des dialogues relativement intéressants ( ainsi qu'au final une remise en question sur le système universitaire et même ségrégationniste aux États-Unis ). On peut donc évaluer un aperçu de ce que peuvent ressentir les Afro-Américains dans leur vie quotidienne.

Mais voilà. Il a fallut que ça tombe dans le cliché. Si dénoncer la suprématie blanche me semblait plutôt approprié dans une série de ce type ( bien que le titre puisse s'avérer exagéré - imaginez si le mot "black" avait été mis à la place de "white" ) on tombe très vite dans les stéréotypes, qu'il s'agisse de la population noire ou blanche de Winchester.

En effet, on pourrait croire à travers cette oeuvre que le seul intérêt que peuvent posséder les afro-américains à Winchester consiste à manifester et à faire entendre leurs droits ( si bien qu'au final ce sujet revient même dans des situations où cela n'a pas lieu d'être ) et que les blancs ne sont que des connards vicieux.

Alors entendez-moi. A aucun moment et dans aucune situation je ne défends le racisme, l'exclusion sociale / raciale ou quoi que ce soit de ce genre. Je ne défends cependant pas non plus les préjugés et idées reçues dans l'autre camp. Décrire chaque personnage blanc ( à part Gabe ) comme un conservateur de droite, raciste, anti-avortement, libéral et homophobe me semble aussi grotesque que possible dans une série qui se déclare justement contre le racisme.*

A mon avis, un peu plus de nuance, qu'il s'agisse du personnage de Sam qui bondit au loup dès qu'un argument ne s'aligne pas au sien ou même de la place des blancs dans tout ça, n'aurait pas été de trop.

Bref.