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Votre avis sur Code Black ?

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Critique de la saison 1
5,0
Publiée le 24 février 2025
Au départ programmée sur M6, cette fabuleuse immersion des plus totale aura subit, comme nombre de série, une violente disparition des écrans avant d'être passée au streaming, pour ma plus grande joie je redécouvre cette longue intro ou stress, angoisses, doutes, surprises et parfois joies s'entrechoc. Un démarrage au cast global aussi percutant qu'attachant, spoiler: Marcia Gay Harden & Luis Guzmán mènent cette danse aussi trépidante qu'incessante avec un talent brillant. Ben Hollingsworth, Bonnie Somerville, Melanie Kannokada & Harry Ford représentent avec talent et vigueur ces internes "débutants" en totale découverte du milieu dans lequel leur vie pro (mais aussi perso) évolue autant que celle de leur patient se jouant à chaque seconde. Raza Jaffrey ("Smash"...) en unique tête d'affiche de mes connaissances perso devient très vite le futur avenir du corps médical, le chef assurément déclarer de la "scène centrale". La fin de saison se jouant de messes basses et faux semblants envers son officiel rival aux clichés affreusement bien pensés, Boris Kodjoe alias "le chirurgien des patients fortunés". Kevin Dunn ("Transformers 1, 2 & 3"...) s'offre l'apparition guest assez furtive malheureusement mais brille aussi de son expérience de décennies d'urgences qu'il n'à plus à prouver à quiconque et livre des lignes verbales assez canon. Même son de cloche pour Christina Vidal qui n'obtient guère plus long au même poste mais son charisme aura marquer son passage dans un univers aussi masculin que bourrin. William Allen Young, le sage parmi les urgentistes, donnant le ton de son jeu dès le début, il apaise autant qu'il enseigne par patience et conseils. Enfin, Jillian Murray en dernière arrivée joue aussi bien de son charme que du garçon à peine manquer et livre aussi un charisme qui sera sans doute clé pour la suite du programme. Une inauguration percutante, visuellement de haute volée avec un jeu global aussi saisissant que canon, une immersion XXL ou nombres de scènes sont hallucinantes et lunaires mais dans un tout rendant un hommage colossal à cette profession de tous les risques, moraux comme physiques
, qui ne compte jamais ses heures et livre chacune de ses secondes à la rescousse de vies, quel qu'en soit les âges et les statuts sociaux. Paré pour le second round BLACK.
Yami

6 critiques

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Critique de la série
4,0
Publiée le 9 février 2022
Une série médicale somme toute classique, pas étonnant qu'elle n'ait pas tenu dans la durée. On ne peut nous surprendre qu'un nombre limité de fois dans ce genre série. Toute fois les trois saisons offrent un bon divertissement, mais rien de bien incroyable au final, on oublie vite la série noyée face à des séries plus impactantes.
Cattpower

4 critiques

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Critique de la série
4,0
Publiée le 10 août 2024
Quel gâchi !
Série prometteuse et pourtant !
Malgré le thème vu et revu, un air de renouveau, sa propre ambiance.
Des la saison 2, changement de casting de 2 personnages principaux sans réelle explication et la saison 2 rebelotte, pas le temps de s'attacher aux personnages !
Dans la même (in)cohérence, la série s'achève sur une saison 3 ...
Critique de la saison 2
5,0
Publiée le 22 avril 2025
Une nouvelle saison plus drama, plus sensible et plus intime, spoiler: centrée majoritairement sur la maladie de plus en plus impactante de Rollie Guthrie (William Allen Young) qui donne un coup de force au récit du fait que ce dernier n’accepte en rien les faits, mais aussi et comme morale, le fait qu’un médecin urgentiste doive accepter, doive accueillir, non sans mal, les remarques et preuves de ses collègues (d’un rang bien moins élever) compte tenu de son incapacité toujours plus flagrante d’exercer sans arriver jusqu’au drame
. Saison ou le quotidien toujours plus explosif de notre équipe de choc est parfois malmenée et ou les charactères des patients, historiques familiaux s’entrechoquent dans des couloirs toujours plus vivaces. Autres points d’orgue et pas des moindres, spoiler: le nouveau statut hiérarchique de Campbell (Boris Kodjoe) dont la comportement et intellect se voit également lourdement évoluer. Le malheureux cliché du chirurgien musclé et rend dedans prend alors plus d’ampleur. Suite à cela, Salander alias « Maman » (Luis Guzmán), partant de l’Angel’s Mémorial pour faute (directement lier à la maladie de son collègue) avant de revenir aussi vite, reloger par son même « détracteur » devenu chef des urgences… Voilà voilà, Dallas et son univers impitoyable… Quant à Heather (Jillian Murray), le destin aura voulu qu’elle tire sa révérence après un double épisode épique et viral, pas meilleure manière de conclure une saison qu’une épidémie monstre et la présence « Guest » de la garde nationale bouclant tout le secteur. Une fin malheureuse pour une jeune médecin qui aura marquée la mi saison 1 jusqu’à celle-ci et ayant montrée un charactère bien trempé face à ses collègue féminin plus dans la dentelle (Malaya en premier). Une fin tout de même précédée d’une ultime aventure médicale pas banale dans un ascenseur, le tout dans un autre épisode tout aussi délirant. Espérant quand même qu’un hommage lui sera dédié en prochaine saison, cette dernière se conclue donc de façon aussi tendue que magistrale, ponctuée d’une certaine intensité émotionnelle par instants
, mais cela ne fait-il pas parti intégrante, après tous, du job d’une parfaite série médicale non « bisounours » ? Ne reste plus qu’à dévorer la 3ème et ultime slave ou nul doute ne serait être de mise, pour toujours plus d’intensité visuelle et scénaristique.