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    Flesh and Bone
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    33 critiques spectateurs

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    Kaori92
    Kaori92

    7 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 24 mai 2016
    Un zéro pointé pour cette série.
    J'ai arrêté très vite de la regarder.
    Les personnages sont plats et nuls, sexe à outrance pour essayer de compenser mais si je veux du cul et du vide, pas de scénario intéressant: je mate un porno pas une série... et y'a quelque chose de malsain dans cette série, le message de fond c'est "tout ce qui est malsain est cool".
    Bref j'ai détesté et très vite arrêté de regarder cette daube perverse et plate.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 6 décembre 2015
    Certainement l'une des plus belles séries que j'ai pu voir. Franchement, le ballet ça me passionne pas plus que ça, mais après voir vu 6 épisodes, je suis sur le c**. Cette série est magnifique, les acteurs sont sublimes, et Sarah Hay est d'une beauté, d'une élégance, indescriptible. Le générique est parfait, les scènes de danses sont incroyables, rien que le Lac des Cygnes a failli me faire pleurer. À regarder vraiment, c'est une excellente série. Tout est parfait.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 30 novembre 2015
    Superbe série pour les amoureux de la danse classique et pour les autres aussi, histoire prenante et personnages très attachant (mêmes les peaux de vache et les tyrans). L'actrice du rôle principal est juste parfaite, je n'ai pas réussit à m'arrêter au premier épisode, hâte de voir la saison 2
    moonboots
    moonboots

    58 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 22 janvier 2016
    Flesh and Bone narre l'ascension de Claire, une jeune danseuse, au sein d'une troupe de New York, parcours difficile et cruel... les premiers épisodes laissent augurer du pire tant on s'attend à un travail de sadisme sur l'héroïne, mais la série prend à revers et c'est une réussite
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 1 janvier 2016
    Je n'ai pas aimé du tout. L’héroïne a un charisme d'huitre en plus de faire des choix totalement incohérents. Pour ce qui est des autres personnages, c'est des caricatures. Au final, la danse, raison d'être numéro une de cette série, passe complètement au second plan au détriment d'histoires de mal-être artificielles de cette flopée de perso sans personnalité et sans intérêt.
    Je me suis ennuyé du 1er au dernier épisode (oui, j'ai tenté, j'aurais pas dû...)
    Marie-Ange C.
    Marie-Ange C.

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 15 novembre 2015
    Dites moi, vous qui lisez cette critique, à quoi penser vous si je vous parle de ballet, de danse classique ?
    Pour certain cela ne vous parlera sans doute pas le moins du monde, et ne fera que vous plonger dans un souvenir aussi ennuyeux que l'événement qui vous a permis de l'acquérir. Mais pour d'autres j'en suis sûr, cela évoquera de la grâce, de l'émotion, un art dépassant les mots, un art qui incarne nos ressentit et où tout n'est que fluidité et facilité.
    Et peu importe finalement l'école à laquelle vous appartenez, peu importe que vous soyez un inconditionnelle du ballet ou un néophyte complet, je pense sincèrement que cette série est capable de vous faire passer un moment agréable.
    Cette nouvelle production américaine nous offre tout d'abord la chance, comme vous l'avez surement déjà deviné, d'admirer la grande technique des danseurs classiques, nous sommes en effet mis en face de performances éblouissantes, faisant appel à une précision et une souplesse infini, sans que ces dernières ne prennent néanmoins le pas, sur l'intrigue et l'histoire personnelle des différents protagonistes, ce qui est a mon sens une très bonne chose.
    Cette équilibre permet effectivement de gouter à la beauté recherchée dans les représentations de danse classique, sans néanmoins si noyer, car je vous le rappelle "the flesh and bone" n'est pas un ballet, mais une série télévisé ayant pour thème le ballet.
    Et voilà où est toute la différence, dans une salle où on ne fait qu'admirer "la fluidité et la facilité", dont je vous ai parler précédemment, ici nous sommes mis en contact avec ses origines, avec le prix à payer pour que cette dernière puisse prendre corps. Nous pouvons admirer l'envers du décors, nous pouvons contempler tout ce qui ai magnifiquement dissimulé lors du levé de rideau : les privations, la douleur physique, la difficulté, le travaille constant, tout ce qui est au final souvent la base des plus grandes réussites de la vie.
    Mais nous sommes également mis en contact avec les difficultés personnelles de personnages devant affronter bien plus que les efforts permanents à la base de leur discipline. Des hommes et des femmes ayant leur propres démons à surmonté, et leur propre lumière à chercher. Je ne dirais, par contre, pas un mot supplémentaire sur le sujet, car il serait tout de même dommage de vous gâcher le plaisir que vous apportera très certainement, le suspens et les rebondissements présents dans de nombreux épisodes de cette magnifique série télévisé.
    Et bien que ne souhaitant comme évoqué précédemment ne laisser s'échapper aucun spoilers, ceci étant une critique je me permet tout de même de laisser une appréciation des plus personnelle, sur un élément pouvant paraitre mineur mais qui a mon sens incarne ici l'esprit de la série : le générique d'introduction. Ce dernier est en effet un petit bijou, qui vaut à lui seul le détour, tout est présent pour créer l'atmosphère désirée et nous faire vibrer et croyait moi, je ne sais pas ce qu'il en a était ou ce qu'il en sera pour vous, mais je peux sincèrement vous dire qu'il m'a profondément plu et fait vibrer.
    Pour conclure cette critique je ne puit ne pas faire l'analogie avec un film bien connu de tous, un film évoquant Natalie Portman, Vincent Cassel et le lac de cygnes. Je parle bien sûr de "Black swan", cette production cinématographique partageant le thème de " Flesh and Bone", ces deux productions bien qu'étant en tout point comparable ont toutes les deux une identité propre et mérite qu'on prête attention à chacune d'entre elles. "Black swan" et " Flesh and Bone" sont donc selon moi complémentaire et non similaire, bien qu'elle partage je doit bien l'avouée la même beauté et le même malaise.
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 5 avril 2017
    Ayant officié en tant que productrice et scénariste sur "Breaking Bad", Moira Walley-Beckett nous livre avec "Flesh and Bone" une mini-série de huit épisodes sur le milieu de la danse. Certes, la comparaison avec "Black Swan" est au début inévitable avec son héroïne torturée, son directeur artistique intransigeant et impitoyable et ses scènes froides où la douleur ou la nudité des corps nous sont montrées. Très vite, "Flesh and Bone" se démarque néanmoins du film d'Aronofsky pour livrer une intrigue troublante avec des personnages réellement fascinants à mesure que l'on commence à les cerner sans pour autant parvenir à les décrypter complètement. C'est le cas de Claire, l'héroïne fragile et perturbée qui arrive à New York en fuyant une douloureuse histoire familiale mais aussi celle de Paul dont les failles apparaissent derrière son intransigeance. Si parfois la série se permet quelques moments répétitifs et qu'elle verse un peu dans la nudité gratuite (mais honnêtement, qui pourrait vraiment s'en plaindre ?), elle met en exergue un milieu difficile et ultra-compétitif où chaque collègue danseuse est une rivale en puissance. Walley-Beckett ayant elle-même connu ce milieu, elle peut donc se permettre de jouer avec les clichés, brisant parfois certains artifices par des scènes brillantes aux dialogues vifs. Chaque titre d'épisode étant un terme militaire, "Flesh and Bone" nous met dans le bain dès le début et ne nous épargne rien. La série parle du rêve, de l'ambition mais aussi du rapport de chacun à son corps et à sa solitude. Pour plus de crédibilité, tous les acteurs et actrices qui dansent dans la série sont de véritables danseurs et danseuses dont on découvre avec étonnement la puissance d'expression émotionnelle. Révélant une poignée d'actrices prometteuses (Sarah Hay, Emily Tyra, Raychel Diane Weiner) mais permettant aussi à d'autres acteurs d'élargir leur palette (Josh Helman, Damon Herriman mais surtout Ben Daniels, irrésistible dans le rôle du tyrannique Paul), "Flesh and Bone" pose un regard sans complaisance sur la danse, offrant huit épisodes de qualité dont on retiendra la finesse d'écriture (avec de belles références littéraires) et la froideur de la mise en scène, immergeant au plus près d'un monde qui touche quasiment les étoiles mais qui emploie des méthodes qui mettent souvent plus bas que terre pour y parvenir.
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 5 avril 2017
    Ayant officié en tant que productrice et scénariste sur "Breaking Bad", Moira Walley-Beckett nous livre avec "Flesh and Bone" une mini-série de huit épisodes sur le milieu de la danse. Certes, la comparaison avec "Black Swan" est au début inévitable avec son héroïne torturée, son directeur artistique intransigeant et impitoyable et ses scènes froides où la douleur ou la nudité des corps nous sont montrées. Très vite, "Flesh and Bone" se démarque néanmoins du film d'Aronofsky pour livrer une intrigue troublante avec des personnages réellement fascinants à mesure que l'on commence à les cerner sans pour autant parvenir à les décrypter complètement. C'est le cas de Claire, l'héroïne fragile et perturbée qui arrive à New York en fuyant une douloureuse histoire familiale mais aussi celle de Paul dont les failles apparaissent derrière son intransigeance. Si parfois la série se permet quelques moments répétitifs et qu'elle verse un peu dans la nudité gratuite (mais honnêtement, qui pourrait vraiment s'en plaindre ?), elle met en exergue un milieu difficile et ultra-compétitif où chaque collègue danseuse est une rivale en puissance. Walley-Beckett ayant elle-même connu ce milieu, elle peut donc se permettre de jouer avec les clichés, brisant parfois certains artifices par des scènes brillantes aux dialogues vifs. Chaque titre d'épisode étant un terme militaire, "Flesh and Bone" nous met dans le bain dès le début et ne nous épargne rien. La série parle du rêve, de l'ambition mais aussi du rapport de chacun à son corps et à sa solitude. Pour plus de crédibilité, tous les acteurs et actrices qui dansent dans la série sont de véritables danseurs et danseuses dont on découvre avec étonnement la puissance d'expression émotionnelle. Révélant une poignée d'actrices prometteuses (Sarah Hay, Emily Tyra, Raychel Diane Weiner) mais permettant aussi à d'autres acteurs d'élargir leur palette (Josh Helman, Damon Herriman mais surtout Ben Daniels, irrésistible dans le rôle du tyrannique Paul), "Flesh and Bone" pose un regard sans complaisance sur la danse, offrant huit épisodes de qualité dont on retiendra la finesse d'écriture (avec de belles références littéraires) et la froideur de la mise en scène (et soit dit en passant, la beauté du générique de début), immergeant au plus près d'un monde qui touche quasiment les étoiles mais qui emploie des méthodes qui mettent souvent plus bas que terre pour y parvenir.
    Lubiie
    Lubiie

    42 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 9 novembre 2015
    Une belle série sur l'univers de la danse classique. Après le succès de Black Swan, produire une série sur ce monde aussi impitoyable que fascinant était une évidence. Le pilote est efficace malgré quelques personnages un peu trop caricaturaux, on s'attache au personnage de Claire facilement. Sarah Hay, son interprète débute sa carrière d'actrice, elle qui est jusqu'à présent une danseuse classique.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 17 décembre 2015
    Depuis l'incroyable œuvre de Darren Aronofsky, Black Swan, qui a mis en scène la belle Nathalie Portman dans une conquête de la perfection au sein du New York City Ballet, le 6ème art revient en puissance et fascine, de plus en plus, un public profane qui apprécie les visions réalistes, voire décadentes, du monde des ballerines. Il n'en fallait pas moins pour qu'une « showrunneuse » passionnée décide de franchir l'étape télévisuelle et veuille produire une mini-série dramatique en 8 épisodes (et malheureusement une seule saison) qui nous immerge dans l'étrange ambiance du American Ballet Theatre à New-York. On peut le dire, le résultat est étonnant : mélange entre beauté et laideur, grâce et déformation ou encore pureté et perversité, Flesh and Bone, comme l'oeuvre d'Aronofsky, ne peut créer que des réactions épidermiques chez son spectateur qui, soit ne supportera pas la violence psychologique des nombreux vices de l'intrigue ou se retrouvera bouleversé, à jamais, par ce subtil et grossier mélange de paradoxes thématiques, rendant la distinction entre le bien et le mal, de plus en plus difficile à définir.

    Moira Walley-Beckett , créatrice du show, a fait son renom en tant que co-scénariste de l'inimitable Breaking Bad et nous prouve avec Flesh And Bone que la direction ne lui fait pas non plus peur, puisqu'elle est, en plus, productrice déléguée de sa propre série. Celle-ci relate l'histoire d'une jeune danseuse, Claire Robbins, jeune femme auto-destructrice au passé trouble, qui, après s'être enfuie de sa petite ville de Pittsburgh, débarque à New York pour intégrer une illustre compagnie de ballet. Reçue du premier coup au concours d'entrée, la jeune femme talentueuse provoque rapidement la jalousie de ses collègues et va apprendre que pour réussir dans le métier, la souffrance du corps n'est pas l'unique sacrifice auquel une danseuse doit se confronter : l'ordre et la morale doivent voler en éclat également.

    Dans les grandes lignes, Flesh and Bone ressemble étrangement à son prédécesseur cinématographique et pourtant il parvient à s'émanciper, sans mal, se permettant, même, d'aller encore plus loin et encore plus fort, ayant compris que pour faire ressentir ce qu'il y a de plus beau et dans un élan de pure sublimation, il faut l'associer à la laideur d'un monde dégénéré et parfaitement malsain. Ainsi, tous les thèmes les plus innommables sont abordés (inceste, prostitution, pédophilie etc...) et c'est à partir de ce moment que la réaction du spectateur accepte ou refuse d'adhérer à la dépravation, comme vision fondamentale et normalisée d'un univers, générateur de grâce, à l'origine.

    De plus, la grande force de Flesh and Bone réside dans deux points qui rendent, encore plus palpable, l'univers réaliste des ballerines : il s'agit d'abord du casting choisi parmi de véritables professionnels de la danse, avant d'être des acteurs de cinéma. La jeune Sarah Hay (dans le rôle de Claire) nous propose une interprétation criante de vérité, dans l'exploitation d'un corps fait pour la danse et les tortures physiques permanentes que cela implique. Chaque moment de danse est ressenti comme un véritable moment divin (dont un dernier épisode magistral) pour le spectateur qui est saisi par la beauté que provoque une telle souffrance. Ensuite, le secret réside dans la composition d'une musique nouvelle, par Adam Crystal (autre que Tchaïkovski), un ballet inédit qui donne ce statut événementiel à la série, une prise de risque provoquant l'impression que l'on assiste à la création d'une œuvre d'art totale.

    Flesh and Bone est une série à ne pas remettre entre toutes les mains, étant donné que la corde sensible que Walley-Beckett agite n'a de sens que par les réactions extrêmes qu'elle provoque: la demi-mesure ne trouve jamais sa place. Cependant, la série parvient à dépasser l'oeuvre fantastique d'Aronofsky, en adoptant une vision naturaliste d'un envers du décors, sachant prendre le risque de tomber, parfois, dans la vulgarité, afin de pousser son sujet jusqu'au bout et mieux mettre en valeur la perfection des arts de la scène. On regrette que la chaîne Starz ne veuille plus entendre parler du show, surtout lorsque l'on s'arrête sur un grand Cliffhanger, procédé que la série avait soigneusement évité depuis le début. On espère que l'engouement du public suffira à ce que des chaines provocatrices, comme HBO, s'intéressent au sujet.
    togashikanok
    togashikanok

    26 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 3 décembre 2015
    Je ne sais quoi dire devant la beauté de cette série. L'image est magnifique pour un final sublime. L'histoire est portée par cette réalisation.
    Très bonne série.
    Agnes L.
    Agnes L.

    165 abonnés 1 626 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 8 décembre 2015
    L'originalité de la série réside dans le cadre dans lequel elle se déroule, celui d'un corps de ballet professionnel. Cependant on peut lui reprocher certains excès et insuffisances. Parmi les excès, le milieu de la danse est présenté comme un regroupement de personnes assez peu fréquentables avec le règne de la promotion canapé pour les danseuses comme pour les danseurs et des relations proches avec les milieux d'affaire louches. Dans les insuffisances, le faible savoir faire d'actrice de la danseuse principale qui montre continuellement un air de chien battu. En dehors de ces critiques, la série propose de nombreux personnages typés que le spectateur aimerait mieux connaitre et des passages assez magiques sur l'entraînement des danseurs classiques.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    282 abonnés 3 105 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 5 juillet 2017
    Cette série est tout simplement magnifique !! J'ai a-do-ré !! En grand amateur de danse j'ai été comblé comme jamais !! Les entraînements, les conditions de vie, les coups bas en coulisses, les répétitions de spectacle, la pression...tout est si réaliste et saisissant !! Les chorégraphies sont sublimes par dessus le marché et j'ai vraiment pris mon pied !! Les personnages sont si vrais, si passionnés (mis à part Claire ce qui est quand même dommage !!) Le seul petit bémol de cette série pour moi est son côté un peu trop sombre !! Que certains sujets soient abordés pour apporter du piment je veux bien mais là c'est un peu trop ! De plus le personnage de Romeo est inutile et m'a exaspéré ! Le dernier épisode qui est fabuleux (grâce à un ballet final à vous couper le souffle !!) est complètement gâché par ce SDF loufoque et pénible !! Mais à part ça je recommande vraiment cette série à tous car c'est la seule qui traite de la danse de façon réaliste et 'adulte' (on est bien loin des clichés pour les ados de tous les films de danse !!) et moi j'ai été charmé et transporté !! Un gros gros coup de coeur !! Youpiiiii !
    Fabien S.
    Fabien S.

    543 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 7 février 2016
    Une excellente série sur l'empire impitoyable de la danse classique. Elle est assez trash avec ses strip-teaseuses. Une bonne d’adrénaline et de sexe. Moderne, provocante , transgressive, vulgaire. Le ballet est un art qui demande un grand sacrifice de soi pour les femmes.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 19 novembre 2015
    Excellente série! Je conseille fortement de la regarder, on ne s'ennuie pas! Même celui qui n'aime pas la danse est obligé d'aimer car pleines de rebondissements ( proxénétisme, sexe, drogue, violence, drame...)
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