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conrad7893
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Critique de la saison 5
4,0
Publiée le 13 juillet 2019
Cette série dure et perdure que de stratagèmes pour nous tenir en haleine surtout depuis que l'on sait que Redington est le père de liz . J'ai bien failli abandonner en route et puis je suis repartie avec hâte de connaître le fin mot de l'histoire avec les ossements du sac . Le réalisateur a le don de nous attraper dans ses filets. Un épisode final de la saison 5 nous donne une explication capitale. Chut je n'en dirais pas plus vivement la saison 6
Ca commence comme Le Silence des Agneaux et ça finit en une succession régulière d'affaires déjouées par ce surhomme plus malin que tout le monde. Il y a aussi un petit suspens quant à la personnalité du mari de l'héroïne mais finalement au bout de 2 saisons il faut bien avouer que ça finit par tourner en rond.
Un grand retour pour James Spader qui après Boston Legal (Boston justice en france) reprend un rôle de personnage puissant. La série enchaîne sur les premiers épisodes des intrigues fortes avec une trame de fond bien ficellée qui permet d'apprécier chaque épisode tout en désirant voir l'épisode suivant. La réalisation est réglée au millimètre et nouveauté, en plus de la musique, on joue d'un fond sonore presque musical qui rend chaque scène plus prenante. Seul petit bémol, on jouit ici parfois de personnages un poil trop stéréotype de l'américain parfais selon Hollywood.
Blacklist avait tout pour devenir une série addictive et magnifique : James Spader, grand acteur, fait de Raymond Reddington l'égal des plus grands, Hannibal Lecter pour commencer. En plus, il laisse montrer de sanglantes écorchures dans le passé de son personnage... Malheureusement, l'actrice Megan Boon qui incarne "Lizzy" n'est vraiment pas à la hauteur pour donner la réplique à Spader. Elle se la joue "cruche sentimentale incompétente qui laisse échapper les criminels". Il faut tout de même admettre que son jeu d'acteur s'améliore au fil des épisodes. Ce qui me dérange le plus, se sont les enquêtes qui sont résolues miraculeusement en 38 minutes, et surtout, la post-production est vraiment horrible, avec des explosions grotesques et des plans de caméras qui nous donnent l'impression de regarder un navet. L'histoire entre Reddington et Lizzy est heureusement assez intéressante pour nous pousser a regarder la série.
Le spectateur est transporté entre joie et tristesse au fils des épisodes de la saison. Une saison qui va réussir à nous perdre dans l'intrigue principal. Mais cela nous montre que les personnages ont leurs histoires et qu'il nous reste des choses à découvrir. Cela nous donne envie de voir la suite. En général, on s'attache aux personnages et à leurs histoires, cela nous donne envie de voir la suite.
Malgré pas mal d'incohérences et de défauts logiques, la première saison se laisse regarder si on s'intéresse à l'intrigue principale, plutôt bien pensée. À la condition d'avoir un peu de tolérance pour les théories complotistes. On arrive à passer outre les imperfections dans l'écriture grâce au rythme rapide des épisodes. C'est un mix entre NCIS et The Mentalist, faussement internationalisé. Le casting n'est pas infamant, mais c'est quand même du second choix. Les guests qui apparaissent à chaque épisode sont souvent des acteurs plus connus que les personnages principaux.
Il y a pas mal de choses à dire sur cette saison 1 ! Tout d'abord niveau casting : s'il est inégal en fonction des acteurs (et invités) et des épisodes, il y a bien évidemment James Spader qui sort du lot. On ne va pas se mentir : Lizzie Keen, incarnée par Megan Boone, est sympathique et naïve, ses collègues un peu effacés, son mari Tom, agaçant et mou/niais, mais l'intérêt principal de regarder cette série réside, du moins au début de la saison, dans le personnage de Raymond Reddington. Avec une totale confiance en lui et dans ses capacités il séduit rapidement le spectateur. Pourtant au fil du temps, d'autres personnages deviennent intéressants, tels que Tom Keen et tous les questionnements que suscite son comportement, ou Lizzie (en fonction des épisodes). Côté histoire et réalisation c'est assez classique, pas d'originalité sur le plan formel et les intrigues sont assez convenues, ce qui donne des épisodes de qualité variable, de vraiment bons à médiocres. Dommage que la saison soit aussi inégale car dans l'ensemble les scénaristes ont bien posé les bases pour la suite de la série. Agréable mais pas inoubliable.
Après un très bon début de saison, il y a un léger flottement vers les épisodes 5-8, puis la série monte en puissance à mesure que certaines intrigues de fond prennent de l'importance. Dommage que celles-ci ne soient pas davantage mises en avant et que certains épisodes se contentent d'une histoire isolée, parfois sans grand intérêt. James Spader est quant à lui excellent et le personnage est de plus en plus intéressant au fil de la saison. Les fans d'Alias devraient se régaler. Vivement la saison 2.
Série pas trop mal. Il y a de l'action, des intrigues, un tout petit de romance avec Lizzie et Tom. Beaucoup d'imagination pour trouver cette Blacklist.
Une série d'espionnage principalement qui a su imposer un style qui personnalise ses personnages improbables et outranciers. En aiguisant l'égo du complotisme et des actions violentes, les rapports entre les personnages priment et donnent lieu à des variations nombreuses. Cela en maintenant une forme de tendance à une moralité plutôt positive et cela surtout ce n'est pas un mince exploit, qui ne reste crédible que par l'outrance toujours repoussée des scénarii.
OK certain passage sont clairement sur jouer et surtout à la longue, il n'y a pratiquement qu'un seul choix de recherche pour le FBI. Mais cela reste une bonne série !
un vilain ( fort bien joué) qui se transforme en redresseur de torts pour l'amour d'une jolie fille dont on soupçonne quand même que c'est sans doute la sienne de fille! mais il y a du rythme, pas trop de passages gore et des inimitiés bien dosées un bon moment
Une excellente série policière avec James Spader et Megan Boone. Ulrich Thomsen incarne un nouvel antagoniste milliardaire qui prétend être le père de Lizzie .
On est toujours autant pris . On s'accroche à Red dommage que cette saison morcelée et que le dernier soit clôturé de cette façon toute la saison trop rapidement et le lancements de la suivante qui nous laisse déjà l'eau à la bouche Bon saison 7 finie, moins de peps, COVID oblige, le dernier épisode est surprenant mais cette saison a été redondante