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depuis la disparition des séries mythiques tel que pj central nuit ou groupe flag
la deux essayes tant bien que mal de renouveler le genre sans grand succès et ce n'est pas les limiers qui vas sauver la chaîne contrairement aux séries américaines qui vont a cent a l'heure ou les anglaises qui sont d'une lenteur mais passionnante les nôtres sont creuses et chiantes et les limiers n’échappent a la règle
dans le pilote la fine équipe est aux trousses d'un "fugitif" seulement après même pas 24h d'investigation et se sont les premiers sur la scène de crime donc déjà la on est hors sujet
après la découverte du cadavre du gars ils devraient laisser tomber et filer le bb a la crim et ben non ils poursuivent l’enquête mais la c’était sans moi
la deux essayes tant bien que mal de renouveler le genre sans grand succès et ce n'est pas les limiers qui vas sauver la chaîne contrairement aux séries américaines qui vont a cent a l'heure ou les anglaises qui sont d'une lenteur mais passionnante les nôtres sont creuses et chiantes et les limiers n’échappent a la règle
dans le pilote la fine équipe est aux trousses d'un "fugitif" seulement après même pas 24h d'investigation et se sont les premiers sur la scène de crime donc déjà la on est hors sujet
après la découverte du cadavre du gars ils devraient laisser tomber et filer le bb a la crim et ben non ils poursuivent l’enquête mais la c’était sans moi
Les limiers vont à la pêche aux indices pour retrouver des disparus en lien avec des affaires criminelles. Rien de bien transcendant à la base.
D'entrée de jeu, la ressemblance avec la série US Esprits Criminels saute aux yeux. Si l'on échappe à la chasse tous azimut de serials killers, on ne coupe pas aux portraits psychologiques à l'emporte pièce.
Pire encore, l'on retrouve dans Les Limiers, le clone modifié de la pétillante Pénélope Garcia. Celle-ci est transformée en une vieille peaux terne aux cheveux gris, geek avec une grosse bagouse noire qui scrute en permanence plusieurs écran d'ordinateur, de longue en communication avec le reste de l'équipe sur le terrain.
Pourquoi tant de haine envers Pénélope ?
Pour en revenir aux limiers, les personnages sont affreusement creux et ne suscitent aucune empathie. Le parti est pris soit disant de ne rien révéler de leur vie privée pour ne se concentrer que sur leur travail. Force est de reconnaitre, les deux premières enquêtes ( soit le 1/3 de la série puisqu'il n'y a que 6 épisodes) se calquent sur d'anciens traumatismes de ces enquêteurs. C'est convenu, c'est lourd et mal joué entre sautes d'humeur, aveux lacrymaux et silences cryptiques.
Concernant les enquêtes, le suspens a du mal à décoller, les clichés se succèdent sans saveurs. Les fuyards n'ont guère plus de profondeurs que leurs poursuivants.
La prochaine disparition sera la mienne en tant que téléspectatrice. Le talent de cette belle brochette de lieu commun ambulant ne sera pas suffisant pour me retrouver à l'épisode suivant.
D'entrée de jeu, la ressemblance avec la série US Esprits Criminels saute aux yeux. Si l'on échappe à la chasse tous azimut de serials killers, on ne coupe pas aux portraits psychologiques à l'emporte pièce.
Pire encore, l'on retrouve dans Les Limiers, le clone modifié de la pétillante Pénélope Garcia. Celle-ci est transformée en une vieille peaux terne aux cheveux gris, geek avec une grosse bagouse noire qui scrute en permanence plusieurs écran d'ordinateur, de longue en communication avec le reste de l'équipe sur le terrain.
Pourquoi tant de haine envers Pénélope ?
Pour en revenir aux limiers, les personnages sont affreusement creux et ne suscitent aucune empathie. Le parti est pris soit disant de ne rien révéler de leur vie privée pour ne se concentrer que sur leur travail. Force est de reconnaitre, les deux premières enquêtes ( soit le 1/3 de la série puisqu'il n'y a que 6 épisodes) se calquent sur d'anciens traumatismes de ces enquêteurs. C'est convenu, c'est lourd et mal joué entre sautes d'humeur, aveux lacrymaux et silences cryptiques.
Concernant les enquêtes, le suspens a du mal à décoller, les clichés se succèdent sans saveurs. Les fuyards n'ont guère plus de profondeurs que leurs poursuivants.
La prochaine disparition sera la mienne en tant que téléspectatrice. Le talent de cette belle brochette de lieu commun ambulant ne sera pas suffisant pour me retrouver à l'épisode suivant.