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Série scénariser et réaliser(4 épisodes sur 6)par le génie Franck Darabont(La Ligne Verte,Les Évadés,The Majestic),qui revient a la télévision après avoir permis a la chaine AMC de faire un gros carton avec la série"Walking Dead"sur la saison 1.
C'est donc avec une grande joie non dissimuler que j'attendais sont retour,est on peut dire que le bonhomme n'a pas fait dans la ça soit es décors magnifique,les costumes,les accessoires et autres choix de musique,il cherche avant tout la qualité des films d’autan,et c'est choses faites,composer d'un casting de"gueule"comme Jon Bernthal,Neal McDonough,Milo Ventimiglia,Robert Knepper,Jeffrey Demunn,chacun apporte une caractérisation a son perssonage,Darabont les fait évoluer dans cette époque ou le bien et le mal se chevauche.
Si dans le premier épisode(voir le second),le rythme est plutôt lent(a la manière de Boardwalk Empire),c'est pour mieux monter les enjeux,qui monte très très vite,est tout cela se fait avec une violence comme peux de réalisateur ne l'aurait filmer,mais surtout réussit a la capter est l'exploiter,il ne nous donne c'est morceau de bravoure,que quand l'histoire prend un tournant,on suit toute cette violence en même temps que les personnages.
La série instaure,est ceux des le générique un charme fous,est une ambiance très gangster des année 40,on prend plaisir a suivre tout ce petit monde,comme Joe Teague,qui a vraiment plusieurs facette,mais surtout loin du boy scout bien le perssonage de Ned Stax,interpréter brillamment par Milo Ventimiglia,surtout tout au long de c'est 6 épisodes,qui est la parfaite incarnation du gris,pas pourrie,mais clairement pas un sement il rester des flic"honnête"droit dans leur botte,incarner par le très bon(est rare)Neal McDonough auquel au détour d'une séquence flash back définie de suite le personnage,sans pour autant le dénuer de charisme.
Les deux dernier épisode monte crescendo,pour nous donner une des mise a mort les plus choc,depuis un sacré long moment(surtout dans ce genre),Darabont tisse déjà les gros enjeux d'une seconde saison qui aurait pue être monumental,malheureusement le public américain n'a pas était convaincue par cette œuvre de Darabont qui pourtant recèle tout ce qui a de meilleur dans les films de gangsters...une série qui aurait LARGEMENT mériter bien bien plus d'épisode.
C'est donc avec une grande joie non dissimuler que j'attendais sont retour,est on peut dire que le bonhomme n'a pas fait dans la ça soit es décors magnifique,les costumes,les accessoires et autres choix de musique,il cherche avant tout la qualité des films d’autan,et c'est choses faites,composer d'un casting de"gueule"comme Jon Bernthal,Neal McDonough,Milo Ventimiglia,Robert Knepper,Jeffrey Demunn,chacun apporte une caractérisation a son perssonage,Darabont les fait évoluer dans cette époque ou le bien et le mal se chevauche.
Si dans le premier épisode(voir le second),le rythme est plutôt lent(a la manière de Boardwalk Empire),c'est pour mieux monter les enjeux,qui monte très très vite,est tout cela se fait avec une violence comme peux de réalisateur ne l'aurait filmer,mais surtout réussit a la capter est l'exploiter,il ne nous donne c'est morceau de bravoure,que quand l'histoire prend un tournant,on suit toute cette violence en même temps que les personnages.
La série instaure,est ceux des le générique un charme fous,est une ambiance très gangster des année 40,on prend plaisir a suivre tout ce petit monde,comme Joe Teague,qui a vraiment plusieurs facette,mais surtout loin du boy scout bien le perssonage de Ned Stax,interpréter brillamment par Milo Ventimiglia,surtout tout au long de c'est 6 épisodes,qui est la parfaite incarnation du gris,pas pourrie,mais clairement pas un sement il rester des flic"honnête"droit dans leur botte,incarner par le très bon(est rare)Neal McDonough auquel au détour d'une séquence flash back définie de suite le personnage,sans pour autant le dénuer de charisme.
Les deux dernier épisode monte crescendo,pour nous donner une des mise a mort les plus choc,depuis un sacré long moment(surtout dans ce genre),Darabont tisse déjà les gros enjeux d'une seconde saison qui aurait pue être monumental,malheureusement le public américain n'a pas était convaincue par cette œuvre de Darabont qui pourtant recèle tout ce qui a de meilleur dans les films de gangsters...une série qui aurait LARGEMENT mériter bien bien plus d'épisode.
Série annoncée depuis belle lurette, avec en prime le réalisateur des deux premières saisons de The Walking Dead, j'ai nommé Frank Darabont, rajoutez à cela un casting au petit oignon.
Tout sentait le chef d'œuvre ou au minimum une série d'exception. Et on en n'est loin...
Comme un vulgaire yesman du genre biographique ou drame historique, Darabont nous livre une série en phase terminale de classicisme. Quand on pense aux années 50 et à Los Angeles, c'est à ça que ressemble la série. Des tonnes d'effort pour reconstituer les décors, les costumes, les automobiles, la musique.
Mais comme un vulgaire stagiaire en réalisation, il manque l'essentiel : un récit prenant, du rythme (ça vole aussi haut que Derrick arrivé à ce niveau), et des émotions.
On ne ressent rien pour ce flic "soit-disant torturé" interprété par le pourtant sympathique Jon Bernthal, qui semble complètement paumé pour le coup.
L'intrigue de toute la saison suffit à peine à remplir celui d'un épisode de 45 minutes... Le découpage des épisodes est également merdique : par 1h30 sous forme de double-épisode.
Après avoir vu l'excellent Gangster Squad en début d'année, relatant la même histoire, qui lui est beaucoup plus nerveux et intéressant, on ne peux que tomber de haut.
Une série à réserver aux fans ultimes des vieilles américaines, costumes et cravates colorés et chapeaux d'époque, entre deux visites chez votre oncologue.
Tout sentait le chef d'œuvre ou au minimum une série d'exception. Et on en n'est loin...
Comme un vulgaire yesman du genre biographique ou drame historique, Darabont nous livre une série en phase terminale de classicisme. Quand on pense aux années 50 et à Los Angeles, c'est à ça que ressemble la série. Des tonnes d'effort pour reconstituer les décors, les costumes, les automobiles, la musique.
Mais comme un vulgaire stagiaire en réalisation, il manque l'essentiel : un récit prenant, du rythme (ça vole aussi haut que Derrick arrivé à ce niveau), et des émotions.
On ne ressent rien pour ce flic "soit-disant torturé" interprété par le pourtant sympathique Jon Bernthal, qui semble complètement paumé pour le coup.
L'intrigue de toute la saison suffit à peine à remplir celui d'un épisode de 45 minutes... Le découpage des épisodes est également merdique : par 1h30 sous forme de double-épisode.
Après avoir vu l'excellent Gangster Squad en début d'année, relatant la même histoire, qui lui est beaucoup plus nerveux et intéressant, on ne peux que tomber de haut.
Une série à réserver aux fans ultimes des vieilles américaines, costumes et cravates colorés et chapeaux d'époque, entre deux visites chez votre oncologue.
Après son départ de The Walking Dead, on attendait bien évidemment le retour de Frank Darabont qui, s’il semble avoir dit au revoir au cinéma pour le moment, s’épanouit à la télévision.
C’est avec Mob City (ex-L.A. Noir, ex-Lost Angels, deux excellents titres, soit-il dit en passant) qu’on le retrouve, minisérie de 6 épisodes qui raconte à sa façon la lutte entre la police et la pègre dans le Los Angeles de la fin des années 40, chose qu’on a déjà vu dans une bonne douzaine d’œuvres, dont le jeu vidéo L.A. Noire, qui se trouve lié à cette série par pas mal d’éléments assez intéressants. En effet, on y retrouve Patrick Fischler en gangster (Meyer Lansky ici, Mickey Cohen auparavant), Michael McGrady en flic et un héros très faible comparé aux autres personnages de la série. En effet, si la saison ne tourne autour que d’une affaire (avec Simon Pegg) et d’un gros personnage, Bugsy Siegel, joué par l’excellent Edward Burns), elle permet aussi à Darabont de réaliser un vrai film noir des années 40 avec des femmes fatales, des traumas post-guerre, des personnages qui lancent du one-liner à foison et des contre-emplois plutôt bons, comme Milo Ventimiglia ou Neal McDonough. Evidemment, tout n’est pas rose, comme l’interprétation plus que médiocre de Jon Bernthal, qui ne peut porter une série sur son dos, ou le manque de développement des personnages. On aurait définitivement préféré voir 10 épisodes, surtout que Robert Knepper y est fabuleux.
Mob City n’est que très peu original et manque de profondeur. Cependant, certaines séquences et certains personnages laissent espérer une deuxième saison encore plus réussie.
C’est avec Mob City (ex-L.A. Noir, ex-Lost Angels, deux excellents titres, soit-il dit en passant) qu’on le retrouve, minisérie de 6 épisodes qui raconte à sa façon la lutte entre la police et la pègre dans le Los Angeles de la fin des années 40, chose qu’on a déjà vu dans une bonne douzaine d’œuvres, dont le jeu vidéo L.A. Noire, qui se trouve lié à cette série par pas mal d’éléments assez intéressants. En effet, on y retrouve Patrick Fischler en gangster (Meyer Lansky ici, Mickey Cohen auparavant), Michael McGrady en flic et un héros très faible comparé aux autres personnages de la série. En effet, si la saison ne tourne autour que d’une affaire (avec Simon Pegg) et d’un gros personnage, Bugsy Siegel, joué par l’excellent Edward Burns), elle permet aussi à Darabont de réaliser un vrai film noir des années 40 avec des femmes fatales, des traumas post-guerre, des personnages qui lancent du one-liner à foison et des contre-emplois plutôt bons, comme Milo Ventimiglia ou Neal McDonough. Evidemment, tout n’est pas rose, comme l’interprétation plus que médiocre de Jon Bernthal, qui ne peut porter une série sur son dos, ou le manque de développement des personnages. On aurait définitivement préféré voir 10 épisodes, surtout que Robert Knepper y est fabuleux.
Mob City n’est que très peu original et manque de profondeur. Cependant, certaines séquences et certains personnages laissent espérer une deuxième saison encore plus réussie.
Vraiment mauvais, après quatre épisodes je me rappelle pourquoi j'ai stoppé The Walking Dead... Mob City aurait pu être une belle prouesse, mais cela est un gâchis et un ramassis de tous les clichés possibles et imaginables sur les gangsters. Les enjeux sont bas de gamme, la réalisation faite avec les pieds, les acteurs blasés. L'humour le drame et la psychologie sont bien sur totalement zappés. Je m'arrête là, encore une série classée.
Après son départ de The Walking Dead, on attendait bien évidemment le retour de Frank Darabont qui, s’il semble avoir dit au revoir au cinéma pour le moment, s’épanouit à la télévision.
C’est avec Mob City (ex-L.A. Noir, ex-Lost Angels, deux excellents titres, soit-il dit en passant) qu’on le retrouve, minisérie de 6 épisodes qui raconte à sa façon la lutte entre la police et la pègre dans le Los Angeles de la fin des années 40, chose qu’on a déjà vu dans une bonne douzaine d’œuvres, dont le jeu vidéo L.A. Noire, qui se trouve lié à cette série par pas mal d’éléments assez intéressants. En effet, on y retrouve Patrick Fischler en gangster (Meyer Lansky ici, Mickey Cohen auparavant), Michael McGrady en flic et un héros très faible comparé aux autres personnages de la série. En effet, si la saison ne tourne autour que d’une affaire (avec Simon Pegg) et d’un gros personnage, Bugsy Siegel, joué par l’excellent Edward Burns), elle permet aussi à Darabont de réaliser un vrai film noir des années 40 avec des femmes fatales, des traumas post-guerre, des personnages qui lancent du one-liner à foison et des contre-emplois plutôt bons, comme Milo Ventimiglia ou Neal McDonough. Evidemment, tout n’est pas rose, comme l’interprétation plus que médiocre de Jon Bernthal, qui ne peut porter une série sur son dos, ou le manque de développement des personnages. On aurait définitivement préféré voir 10 épisodes, surtout que Robert Knepper y est fabuleux.
Mob City n’est que très peu original et manque de profondeur. Cependant, certaines séquences et certains personnages laissent espérer une deuxième saison encore plus réussie.
EDIT : La série fut malheureusement annulée.
C’est avec Mob City (ex-L.A. Noir, ex-Lost Angels, deux excellents titres, soit-il dit en passant) qu’on le retrouve, minisérie de 6 épisodes qui raconte à sa façon la lutte entre la police et la pègre dans le Los Angeles de la fin des années 40, chose qu’on a déjà vu dans une bonne douzaine d’œuvres, dont le jeu vidéo L.A. Noire, qui se trouve lié à cette série par pas mal d’éléments assez intéressants. En effet, on y retrouve Patrick Fischler en gangster (Meyer Lansky ici, Mickey Cohen auparavant), Michael McGrady en flic et un héros très faible comparé aux autres personnages de la série. En effet, si la saison ne tourne autour que d’une affaire (avec Simon Pegg) et d’un gros personnage, Bugsy Siegel, joué par l’excellent Edward Burns), elle permet aussi à Darabont de réaliser un vrai film noir des années 40 avec des femmes fatales, des traumas post-guerre, des personnages qui lancent du one-liner à foison et des contre-emplois plutôt bons, comme Milo Ventimiglia ou Neal McDonough. Evidemment, tout n’est pas rose, comme l’interprétation plus que médiocre de Jon Bernthal, qui ne peut porter une série sur son dos, ou le manque de développement des personnages. On aurait définitivement préféré voir 10 épisodes, surtout que Robert Knepper y est fabuleux.
Mob City n’est que très peu original et manque de profondeur. Cependant, certaines séquences et certains personnages laissent espérer une deuxième saison encore plus réussie.
EDIT : La série fut malheureusement annulée.
L'aspect psychologique passionnant se perd dans les dialogues et le manque de rythme global de la série qui ne donne que l’impression d’être un cliché ambulant du genre sans rien y apporter. Dommage, vu l’équipe et le travail déployé sur l’ambiance on s’attendait à mieux
Très bonne série qui a malheureusement pas été assez suivi pour être poursuivie mais on a encore ici un casting très efficace (beaucoup de personnages de Walking Dead et ça j'aime dont Jon Bernthal mon préféré) et une histoire qui tient debout et qui est très mouvementée avec beaucoup de rebondissements. Déçu qu'elle n'ait pas continué malgré tout
je rejoins mes camarades moi qui adores cette période des états unis je suis déçu mais très déçu en résumé
C'EST BEAU MAIS C'EST LONG
même pas pu finir l’épisode 2 tellement que je m'ennuyais on est loin mais très loin de LA confidential qui restes une référence et même le pas terrible Gangster squad est plus vivant c'est dire
bref un beau gâchis malgré le casting
C'EST BEAU MAIS C'EST LONG
même pas pu finir l’épisode 2 tellement que je m'ennuyais on est loin mais très loin de LA confidential qui restes une référence et même le pas terrible Gangster squad est plus vivant c'est dire
bref un beau gâchis malgré le casting
Grosse attente de cette année, en ce qui me concerne, qui s'est rapidement transformée en déception.
Le projet était prometteur, le casting faisait rêver, mais trop de mauvais choix ont entraîné le ratage de la série. Le début est pas mal, assez intéressant, mais le reste des épisodes se maintient à un niveau constant, sans surprise et à la limite de l'ennui. C'est incroyable le nombre d'idées à exploiter qui passent finalement à la trappe et on se retrouve avec un résultat tout bonnement moyen.
L'histoire est plutôt banale, à base de règlements de compte, d'opposition gangsters/Police mais d'autres projets ont exploité cet univers avec beaucoup plus d'originalité et d'audace. Mob City n'ose pas et c'est regrettable si on considère le potentiel énorme que contient cette époque et surtout les talents qui participent.
Quelques points positifs néanmoins, le visuel et l'ambiance sont soignés minutieusement, on s'y croit, il ya un charme fou. Ce petit souci du détail nous plonge dans une décennie emblématique et sexy, sans parler du son jazz en fond sonore malheureusement trop oublié passé le cap du deuxième épisode... C'est encore plus dommage que le récit soit si faible quand on pense aux prouesses visuelles.
En conclusion, Mob City est un "sans plus", passablement oubliable, qui a enchaîné les mauvais choix de scénario.
Le projet était prometteur, le casting faisait rêver, mais trop de mauvais choix ont entraîné le ratage de la série. Le début est pas mal, assez intéressant, mais le reste des épisodes se maintient à un niveau constant, sans surprise et à la limite de l'ennui. C'est incroyable le nombre d'idées à exploiter qui passent finalement à la trappe et on se retrouve avec un résultat tout bonnement moyen.
L'histoire est plutôt banale, à base de règlements de compte, d'opposition gangsters/Police mais d'autres projets ont exploité cet univers avec beaucoup plus d'originalité et d'audace. Mob City n'ose pas et c'est regrettable si on considère le potentiel énorme que contient cette époque et surtout les talents qui participent.
Quelques points positifs néanmoins, le visuel et l'ambiance sont soignés minutieusement, on s'y croit, il ya un charme fou. Ce petit souci du détail nous plonge dans une décennie emblématique et sexy, sans parler du son jazz en fond sonore malheureusement trop oublié passé le cap du deuxième épisode... C'est encore plus dommage que le récit soit si faible quand on pense aux prouesses visuelles.
En conclusion, Mob City est un "sans plus", passablement oubliable, qui a enchaîné les mauvais choix de scénario.
une super mini serie avec une flopée de connaissances de la tv , et en fond une musique rappelant les bons films de J Ellroy
Super série de mafieux , la L.A Noire les flic corrompus le tralala des acteur connut cela fais plaisr de retrouver des acteurs de series dans mob city ,ont peux voir que il ne faut pas jouer avec la pègre le "respect " entre flics et truands depuis le debut .
Ps : j'ai adorée cette série regarder en entié .
Ps : j'ai adorée cette série regarder en entié .
Superbe mini série de mafieux, très lente, mais on rentre tout de suite dans l'univers de la série, image très belle, franck darabond est toujours aussi fort pour raconter des histoires, dommage qu' on ne lui ai pas laissé le temps de la développé.
Au debut j en entendais parler sans plus et le mois dernier jai telecharger toute les saison tout enchainer bref dexter est une serie tres reussi et surtout addictive
Auteur et réalisateur de cinéma talentueux ("Les Evadés", "La Ligne verte", …), Frank Darabont s'est depuis lancé dans l'aventure télévisuelle, nouvel eldorado des grands noms du cinéma souhaitant jouir d'une plus importante liberté artistique. En mettant sur les rails le carton "The Walking Dead" dont il a été remercié au terme de la première saison, le voici désormais aux mannettes de "Mob City" qui revient sur le combat de plus d'une décennie entre William Parker, chef de la police de Los Angeles, et le mafieux Mickey Cohen au milieu des années 40. Les personnages brisés par la guerre, des airs de jazz joués dans des clubs enfumés, … cette série réunit tout les ingrédients qui ont fait le succès des films noirs, une reconstitution appliquée qui ravira certainement les amateurs. Mais le handicape du show vient du faite que l'industrie vidéoludique et celle du cinéma ont déjà ressorti le genre du placard avec des histoires similaires. Il est d'ailleurs regrettable que face à ce constat, Darabont ne réussisse pas à traiter son sujet avec plus d'originalité, notamment dans l'écriture. L'intrigue faiblarde est néanmoins enrichie par une passionnante galerie de personnages forts et fouillés, Ed Burns, Robert Knepper en tête mais aussi Neal McDonough et Milo Ventimiglia, très bons dans ces contre-emplois. Pourtant plein de talent chez les zombies seul Jon Bernthal déçoit. Malgré de nombreuses qualités "Mob City" est certainement desservie par un nombre trop léger d'épisodes sensés composer la premier saison, résultat la série n'a pas le temps de trouver son public et n'est, en toute logique, pas reconduite. A croire que le petit écran n'était décidément pas fait pour Frank Darabont.