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Votre avis sur Following ?
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Caine78
Fonctionnant plutôt bien pendant plusieurs épisodes, « Following » finit par montrer ses limites assez vite, et ce principalement pour une raison : la crédibilité. Autant je veux bien que ce genre de séries populaires ne fassent pas dans la rigueur absolue et se permettent quelques facilités, mais là, ça en devient n'importe quoi. Ce ne sont même plus des ficelles mais carrément des cordes de bateaux, le but étant clairement de faire avancer tant bien que mal un récit clairement parfois en grande difficulté et sensiblement en manque d'idées (la plus belle restant l'ombre étrange et ambiguë d'Edgar Allan Poe comme source d'inspiration du Mal). Passe encore la forme passe-partout et des personnages n'ayant rien de très novateur, voir le scénario espérer faire gober tout et n'importe quoi aux spectateurs, que ce soit en nous faisant apparaître une police souvent d'une rare incompétence ou en proposant des situations souvent invraisemblables finit par gonfler un peu. Malgré tout, il serait malhonnête d'écrire que l'on s'ennuie et si l'on accepte un tant soit peu ce côté « WTF », avouons que tout cela n'est pas si mal menée, la psychologie des différents tueurs en série s'avérant plutôt crédible, quelques moments réussissant même à créer un véritable malaise, l'affrontement entre le toujours excellent Kevin Bacon et le talentueux James Purefoy ayant une certaine gueule. Pas franchement abouti donc, voire parfois assez risible, mais pouvant se regarder sans ennui, à condition de ne (vraiment) pas être trop regardant concernant la cohérence des différentes péripéties...
Alain D.
La saison 1de la série, crée par Kevin Williamson, est bourrée d'action, avec une bonne BO et un casting incroyablement riche : Kevin Bacon est très bon dans le rôle principal de Ryan Hardy. Il est superbement entouré de James Purefoy (Joe Carroll) et une pléiade de jolis seconds rôles : Nico Tortorella Rôle (Jacob), Valorie Curry 'Emma) …
Un petit bémol toutefois : à partir de l'épisode 6, l'histoire prend une tournure encore plus inattendue et le scénario devient encore plus délirant perdant en moins crédibilité.
Un petit bémol toutefois : à partir de l'épisode 6, l'histoire prend une tournure encore plus inattendue et le scénario devient encore plus délirant perdant en moins crédibilité.
La référence à Edgar Allan Poe est bienvenue, la confrontation entre les deux protagonistes est captivante.
Des personnages très intéressants font leur apparition mais dans l'ensemble, cette saison est un cran en-dessous de la précédente.
QUOI !!!! JE VAIS ALLEZ ME PLAINDRE AUPRÈS DE HBO 3 MILLIONS D'AUDIENCES CE N'EST PAS ASSEZ POUR CONTINUER CETTE SÉRIE ??? Bref calmons nous The Following série avec Kevin Bacon James Purefoy Shawn Ashmore Jessica Stroup etc...Une première saison des plus réussis une deuxième saison qui nous laisse sur le c** et une saison 3 excellente même si on n'arrête pas de penser a HBO qui a annulé la série cette série j'y tenais particulièrement je suis dégouté surtout avec un cliffhanger comme celui la. Ahlalala je veux une suite me***. C'était une des meilleurs séries a ce jour ah par contre les experts on en fait une 47ème saison parce que les gens aiment la me*** désolé. Je préfère cette série a HoT franchement.
Si le jeu des acteurs est parfait, j'ai été très déçu par le scénario, qui manque de profondeur et de travail. Evidemment, il y a des rebondissements, mais totalement artificiels, puisque la secte est partout : il suffit tout d'un coup de décider qu'untel fait partie de la secte, sans préparation, et hop, j'ai mon rebondissement. Ces coups de théâtre pourraient au moins être valorisés par le travail du FBI, même pas: on a l'impression de débutants qui se laissent piéger à chaque fois trop facilement. Mince alors, on l'avait pas vu venir ça. Tout ceci donne l'impression d'une intrigue brouillonne, qui fait du sur place (j'avance, je recule) et se répète souvent. Certains épisodes sont même longs à regarder.
J'ai eu envie de regarder cette série, suite au casting de Kevin Bacon, et dans les tous premiers épisodes. Je me dis que je tiens peut être une bonne série, un bon triller psychologique.
Seulement, par la suite, j'ai été sacrement déçu. Le scénario perd toute crédibilité, un réel de manque de réalisme. Un scénario veut nous faire croire qu'un professeur d'université (dangereux criminel) est capable d’endoctriner un nombre incroyable de personne, de les transformer en véritable machine à tuer, et pour couronner le tout, presque tous dotées d'une extrême loyauté prêt s'auto sacrifier.
Selon moi, très loin d'un Dexter, d'un Breaking Bad.
Seulement, par la suite, j'ai été sacrement déçu. Le scénario perd toute crédibilité, un réel de manque de réalisme. Un scénario veut nous faire croire qu'un professeur d'université (dangereux criminel) est capable d’endoctriner un nombre incroyable de personne, de les transformer en véritable machine à tuer, et pour couronner le tout, presque tous dotées d'une extrême loyauté prêt s'auto sacrifier.
Selon moi, très loin d'un Dexter, d'un Breaking Bad.
Série alimentaire sans originalité, The Following assume clichés après clichés l'invraisemblable orchestre criminel du "grand méchant" Joe Carrol et la traque convenu du "grand gentil" interprété par Kevin Bacon.
Complètement déganté ! A réveiller notre esprit criminel avec une grande soif de meute !
Séries original , qui sort du lot
Séries original , qui sort du lot
this is my movies
Kevin Williamson est un sacré roublard. Auréolé du succès de "Scream", il ne cesse depuis de jouer là dessus tout en créant diverses séries pour la TV. "The following" est celle qui me branchait le plus grâce à son casting et à un pitch accrocheur. Après un bon départ, la série est vite devenue assez répétitive, complètement invraisemblable, virant même au soap avant de se flinguer toute seule au début de la S2. Une saison qui n'aurait jamais dû existé sous cette forme, introduisant tout un tas de persos inutiles et exaspérants (comme les jumeaux, joués par le même acteur au charisme et au talent défaillant). Si
spoiler:
la série tue régulièrement des personnages principaux
, elle reste aussi incroyablement balisée, peinant à se renouveler durablement et surtout, elle manque d'imagination et de constance. Avec ses forces d'intervention incapables de monter une souricière efficace, ses services de protection inutiles qui se font dessouder en quelques secondes, des héros qui maîtrisent la technologie mais régulièrement incapable d'être malin, des méchants très méchants qui tuent tout ce qui passe devant eux (le body count par épisode est assez impressionnant et les mises à mort variées mais si possible à l'arme blanche), une finesse psychologique régulièrement absente, des rebondissements dignes des soaps les plus mal écrits bref, ça devient lassant. Surtout que la S3 était pas trop mal et commençait à se diriger vers quelque chose de vraiment excitant, hélas trop tard. Si elle avait constitué la S2, la série aurait pu durer un peu plus longtemps, même si certains défauts sont trop rédhibitoires pour en faire un must. Dommage, car K. Bacon était plutôt bon. Le reste oscille entre insipide, pas crédible, horripilant, bof et indifférence. On ne m'y reprendra plus Kevin !
, elle reste aussi incroyablement balisée, peinant à se renouveler durablement et surtout, elle manque d'imagination et de constance. Avec ses forces d'intervention incapables de monter une souricière efficace, ses services de protection inutiles qui se font dessouder en quelques secondes, des héros qui maîtrisent la technologie mais régulièrement incapable d'être malin, des méchants très méchants qui tuent tout ce qui passe devant eux (le body count par épisode est assez impressionnant et les mises à mort variées mais si possible à l'arme blanche), une finesse psychologique régulièrement absente, des rebondissements dignes des soaps les plus mal écrits bref, ça devient lassant. Surtout que la S3 était pas trop mal et commençait à se diriger vers quelque chose de vraiment excitant, hélas trop tard. Si elle avait constitué la S2, la série aurait pu durer un peu plus longtemps, même si certains défauts sont trop rédhibitoires pour en faire un must. Dommage, car K. Bacon était plutôt bon. Le reste oscille entre insipide, pas crédible, horripilant, bof et indifférence. On ne m'y reprendra plus Kevin !
Depuis Scream, véritable phénomène à l'époque, son scénariste Kevin Williamson avait surfé sur la vague du slasher moovie pour et avec des ados. C'est avec une série à l'idée de départ séduisante (même si complètement farfelue) qu'il nous revient. Following met en scène Kevin Bacon (Ryan Hardy) et James Purefoy (Joe Carrol) dans un face à face tueur en série/superprofiler qui tente de se renouveler grâce justement à son récit totalement improbable. La première saison malgré ses différentes phases plus ou beaucoup moins réussies, tient la route tant bien que mal grâce au scénario, à certains détails qui pimentent le tout (le pacemaker de Ryan) et à l'originalité du postulat de départ.Toute l'ambiance, essentiellement basée sur l'adoration de Carrol pour Edgar Allan Poe rend le tout intéressant. Pourtant, passé cette première saison acceptable, la suite n'est qu'un énorme gâchis scénaristique. Le déroulement de l'histoire, les coïncidences, les hasards, tout devient bien trop gros et calculé pour qu'on y trouve son compte. L'ambiance et la folie autour de Poe laisse place à un simple prétexte pour en rajouter des tartines dans le gore et l'improbable. La 2ème saison se vautre littéralement et la 3ème, si elle remonte un poil le niveau ne réussit finalement pas à nous convaincre. La série tente sans cesse de tenir la distance grâce à l'introduction de nouveau personnages mais elle ne tient malheureusement plus que par l'interprétation de James Purefoy, véritable fil d’Ariane sur l'ensemble de l'intrigue. Son jeu est tout simplement excellent de plaisir et d'inhumanité. Bref, arrêtez-vous à la première saison si vous n'êtes déjà pas trop regardant.
J'aurais volontiers mis cinq étoiles, pour les deux premières saisons, qui sont géniales. Hélas, la troisième saison ne tient pas ses promesses, et pour une raison simple. Joe Carroll n'y fait que de brèves apparitions, et à mon sens, la série reposait beaucoup sur la relation ambiguë entre le tueur et Ryan Hardy. Les nouveaux tueurs introduits dans la saison 3 n'ont pas les épaules pour remplacer Joe Carroll en tant qu'antagonistes, ce qui a beaucoup refroidi mon addiction pour la série. J'imagine que c'est pour cette raison que la série a été annulée, ( enfin, c'est ce que j'imagine, je n'ai pas vérifié. ) Bon, dommage, toutefois, parce que nous ne saurons jamais ce que les scénaristes avaient inventé pour la suite, et la série se termine hélas en eau de boudin.
Apologie de la tuerie en série ce que les américains adorent, pour ma part je ne vois rien d'intéressant dans cette série a part voir des tarés avoir du plaisir à tuer, et de plus d'une manière assez facile même si les flics sont dans les parages.
Tout le monde y passe, les civils, les policiers, les marshal, et beaucoup de faciliter et d'incohérence dans la mise en scène.
Tout le monde y passe, les civils, les policiers, les marshal, et beaucoup de faciliter et d'incohérence dans la mise en scène.
Massacre à la tronçonneuse
La première saison de « The Following » est piégeante, le serial-killer est plutôt charismatique, Kevin Bacon est efficace sans être sexy et l’intrigue peut sembler envoutante : épidémie d’un virus du crime. Les fans de Joe Carroll en plus de le soutenir, tuent pour lui.
Hélas ça part très vite en cacahuète et le tout tourne au grand n’importe quoi.
Les séries nous rendent dingues et on veut connaître la fin de l’histoire, donc trois saisons, 45 épisodes. Côté flics : 500 morts, côté criminels: 4000 morts, il faut admettre qu’au bout d’un moment j’ai arrêté de compter.
La vie de Ryan Hardy vire un cauchemar et ses obsessions dépassent la réalité.
Ensuite c’est presque de la propagande pour l’auto-justice, les armes et la violence en tous genres. Fortement déconseillé même si je suis allée jusqu’au bout c’est ma curiosité morbide qui m’a entraînée. Les personnages sont sans grand intérêt, les destins de chacuns insignifiants et la véracité des multiples scénarios est totalement improbables. Bref je vais revenir à l’essentiel et passer à une catégorie de série qui élève un peu plus l »esprit.
Quant à la fin, c’est vraiment bidon, on suppose qu’ils espéraient une quatrième saison mais faute d’audience nous avons été épargné.
La première saison de « The Following » est piégeante, le serial-killer est plutôt charismatique, Kevin Bacon est efficace sans être sexy et l’intrigue peut sembler envoutante : épidémie d’un virus du crime. Les fans de Joe Carroll en plus de le soutenir, tuent pour lui.
Hélas ça part très vite en cacahuète et le tout tourne au grand n’importe quoi.
Les séries nous rendent dingues et on veut connaître la fin de l’histoire, donc trois saisons, 45 épisodes. Côté flics : 500 morts, côté criminels: 4000 morts, il faut admettre qu’au bout d’un moment j’ai arrêté de compter.
La vie de Ryan Hardy vire un cauchemar et ses obsessions dépassent la réalité.
Ensuite c’est presque de la propagande pour l’auto-justice, les armes et la violence en tous genres. Fortement déconseillé même si je suis allée jusqu’au bout c’est ma curiosité morbide qui m’a entraînée. Les personnages sont sans grand intérêt, les destins de chacuns insignifiants et la véracité des multiples scénarios est totalement improbables. Bref je vais revenir à l’essentiel et passer à une catégorie de série qui élève un peu plus l »esprit.
Quant à la fin, c’est vraiment bidon, on suppose qu’ils espéraient une quatrième saison mais faute d’audience nous avons été épargné.
Bonne série policière.. Enquête menée tambour battant, la série alterne présent et flashback ainsi qu'action et suspens, le tout avec des bons acteurs.