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    Caprica
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    Elthib7
    Elthib7

    72 abonnés 1 287 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 1 avril 2016
    Je me souviens que j'avais regardé cette série en vostfr lors de sa sortie il y a 8ans et j'avais pas accroché plus que ça, j'avais même lâché prise avant la fin, mais là je viens de finir de la revoir en VF et bon sang mais ou avais-je la tête ? Elle est superbe! Peut-être que je manquais de maturité à l'époque pour bien tout comprendre toute la profondeur de la série, en tout cas j'ai adoré, c'est tellement dommage qu'elle n'ait duré qu'une saison, au vu de l'aperçu de qu'aurait pu être la série dans les 5 dernières minutes du dernier épisode, y avait un potentiel tellement énorme ! Et Alessandra Torresani hum... superbe ^^
    Bref pour moi une de mes séries préférés c'est sur, un bon 4,5/5 !
    bruno
    bruno

    21 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 19 août 2023
    L’action se déroule sur la planète Caprica, 58 ans avant les événements décrits dans « Battlestar Galactica »,

    La volonté des producteurs était d’élargir d’avantage le panel des spectateurs de BattleStar, un peu trop masculin à leur gout, avec un drame cette fois-ci
    plus intimiste où les relations familiales ainsi que les enjeux politiques prévaudraient davantage que les combats spatiaux. On remarquera aussi, qu’il y avait déjà des avancées Woke, bien avant l’heure.
    Malgré ce dernier aspect, le pari pour moi, est réussi.
    En effet, on s’attache vite à cet univers aux personnages torturés et mus par de sombres motivations.

    On découvre ainsi la genèse des Cylons, robots guerriers construits par Daniel Graystone, un important industriel de Caprica.
    C’est grâce aux améliorations apportées par sa fille Zoe, cette fois dans le domaine d’un jeu virtuel également développé par son père, que les Cylons vont acquérir leur autonomie et décider d’anéantir le genre humain… (cf. BattleStar)

    A partir de ce pitch, la série nous livre une des visions les plus riches qu’ait eu à nous proposer la SF avec notamment la description très fouillée du concept des mondes virtuels et de leurs avatars, susceptibles de s’émanciper et acquérir ainsi une sorte d’immortalité. Nous avons affaire à un monde très cohérent, qui regorge de concepts captivants.
    On trouve ici, une foison d’idées novatrices et excitantes comme on pouvait notamment les apprécier dans « StarGate » et qui hélas, font bien souvent défaut de nos jours, dans les séries d’anticipation.

    Même si les effets spéciaux sont datés, ce prequel réalisé en 2010, n’en demeure pas moins, l’une des grandes réussites de la SF.
    Par ailleurs, les acteurs sont convaincants et donnent une crédibilité accrue à une histoire déjà très bien construite.

    Hélas, Caprica ne connut pas le succès escompté et ne fut pas reconduite. Mais que cela ne vous retienne pas de voir ou revoir cette formidable série.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 327 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,0
    Publiée le 9 janvier 2013
    S'il y a bien un principe vaseux, c'est celui de la prequel. Voilà pourquoi même moi, grand adorateur de "Battlestar Galactica", j'ai marché à reculons vers cette "Caprica". C'était mal connaitre Ronald D. Moore visiblement puisqu'au final, ma découverte de ce « spin off préquelisant » est riche en bonne surprise. D'abord "Caprica" à l'intelligence de ne pas marcher sur les traces de son aînée en développant tout de suite son propre univers, ses propres personnages et sa propre intrigue. A s'étonner presque parfois de voir un élément de l'intrigue ou le nom d'un personnage nous renvoyer vers BSG ! Est-ce à dire qu'un fan de la saga mythique n'est pas sûr de s'y retrouver ? A mon sens certainement pas, car "Caprica" a su finalement conserver les gênes de son prédécesseur sans trop s'attacher aux ressemblances de forme, et c'est là que je trouve que la série fait très fort. Pour moi, les trois éléments qui faisaient que BSG étaient une série de science-fiction hors du commun, c'est qu'elle savait à la fois nous faire regarder l'actualité différemment, qu'elle questionnait en profondeur l’essence humaine, et surtout qu'elle savait le faire avec beaucoup de créativité. Ces trois éléments sont intacts dans "Caprica", la série entend juste explorer les choses selon un autre point de vue. BSG s'intéressait à l'Amérique post-11 septembre, "Caprica" est plus focalisée sur ce que révèle la guerre en Irak du modèle américain, aussi bien sur un plan social, idéologique qu'international. Là encore, cet autre regard conduit à un approfondissement très intéressant sur la nature de l'humain. Je dois d'ailleurs avouer que la manière dont Moore présente la genèse de « l'esprit cylon » m'a autant surpris qu'il m’a captivé, tant elle sait à la fois s’ancrer dans les phénomènes de société du moment qu'elle reste malgré tout dans une lecture universelle et intemporelle. Mais alors, pourquoi se limiter à seulement 2 étoiles me diriez-vous ? Pour quelques détails à dire vrai mais qui, dans l'état actuel des choses, m'ont freiné dans mon plaisir. D'abord la série s'attarde beaucoup sur la question religieuse. Bien qu'elle soit traitée intelligemment et avec recul, j'avoue qu'elle a occupé une place trop importante à mes yeux par rapport aux autres thématiques qui m'intéressaient. Et puis ensuite, il y a un problème qu'on retrouve finalement aussi dans BSG, c'est ce côté « je-pose-seulement-les-choses-et-je-m’en-garde-sous-le-coude-pour-la-suite » de cette saison 1. Dans BSG c'était déjà flagrant et frustrant, tant la seconde partie de la saison 1 multipliait les digressions pour ne pas avancer trop vite... Pour "Caprica" c'est d'autant plus rageant que le projet est aujourd'hui au point mort, et que les chances de voir une saison 2 sont quasiment inexistantes (et cela à cause d'une gestion calamiteuse du projet par Sci-fi, mais bon, c'est un autre sujet...) Du coup, quand on voit le temps perdu dans la saison 1, alors qu'on sent que la série en à dans la chaussette, on se dit « fuck ». Au final donc, le bilan est mitigé. La saison 1 est très prometteuse, mais accouche sur une absence de saison 2. De même, cette seule saison peut suffire à explorer des pistes intéressantes, mais ses détours et ses pertes de temps sont d'autant plus irritants qu'on sait la démarche interrompue. Malgré tout, vous l'aurez compris : même si je n'entends rien vous cacher du sentiment mitigé que vous pourrez ressentir face à cette série, c'est une expérience que je conseille vivement, surtout si vous avez été happé par le vaisseau Galactica...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 29 janvier 2015
    Cette série si parfaite aurait mis KO toute concurrence. Syfy a pris la pire des décisions et se tire une balle dans le pied une fois de plus. si BSG était excellente, Caprica est grandiose. Et malheureusement doit entrer au pantheon des séries maudites.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 2 janvier 2012
    "Caprica... Caprica... oh to be Caprican, the seat of politics, culture, art, science, learning.". Pour citer Gaius Baltar du fond de sa cellule.

    Caprica est et restera, pour moi, la meilleur série qu'il m'a été donné de voir. Le début : impécable. Le milieu : captivant. La fin, le dernier épisode : IN-CRO-YA-BLE !!!
    L'annulation de cette série est une insulte à la SF inteligente, la SF qui développer ses personnages, la SF qui renouvelle le genre. Bien au dessus de BSG, Caprica se hisse pour moi tout en haut de la liste des meilleurs séries que j'ai jamais vu, voire même des films.

    Absolument tout est parfait : l'histoire, les personnages, les inventions, etc. Cette série est une merveille, une seule, tiens pour moi la comparaison : Game Of Throne. Et on considère uniquement la saison avec le tueur de la trinité, et celle d'après, Dexter.

    Je ne sais pas ce que je peut dire plus, à part : Allez immédiatement la voir.
    mahtan-ancalimon
    mahtan-ancalimon

    36 abonnés 651 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 5 mars 2011
    L'originalité de la série et le point de vue prit par les créateurs est intéressante, mais malheureusement il y a des longueurs et des scènes farfelues. Cependant, l'ensemble fait de CAPRICA une bonne série.
    Mulder13
    Mulder13

    24 abonnés 866 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 1 juin 2011
    Passé le plaisir de retrouver l'univers de Battlestar Galactica, la série devient vite un peu trop noire et trop confuse. UNe intrigue un peu plus claire aurait peut-être permit à la série d'aller au-delà d'une saison. A noter cependant que la série est doter d'une fin, les créateurs nous laissant apercevoir comment les intrigues auraient évoluées si la série avait continuée.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    134 abonnés 3 057 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 30 décembre 2020
    Une extension à Battlestar galactica qui est bien dans le meilleur de cette série tentacule, avec des intrigues rondement menées.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 16 mai 2012
    Enfin après tant d’années d’attente le spin-off sur la création des cylons est arrivé et autant le dire tout de suite Caprica met la barre haut…même très haut par rapport au standards des séries TV actuelles. L’histoire se déroule 68 ans avant le chute des 12 colonies et l’exil des derniers survivants de l’espèce humaine sur Caprica un monde qui est très éloignée du notre…et pourtant très proche. En effet, si l’histoire se situe dans un point de l’univers très éloigné de notre planète, le mode de fonctionnement de la société Capricane est à bien des égards similaire à la nôtre et c’est dans ce concept d’anticipation (déjà utilisé dans une moindre mesure dans BSG) que Caprica tire toute sa force. La société crée dans cette série est une société plausible qui pourrait devenir réalité en ce début du XXI siècle : les conséquences du capitalisme, l’évolution technologie informatique affolante, une jeunesse décadente, la montée des extrêmes religieux, le pouvoir et l’influence croissante des médias, la paranoïa d’un système devant bien trop sécuritaire…la recette marche et forme une société occidental terrienne mais, Caprica réussi aussi l’exploit de nous inviter dans une société qui, malgré la ressemblance avec le système Américain s’inspire largement de la chute de l’Empire Romain. A bien des égards Caprica peut être assimilée à cet antique empire : les dieux sont ceux du panthéon romains, les rituels ressemblent à ceux de l’époque, l’architecture bien que moderne transpire de toute pars l’influence de l’antiquité, la jeunesse s’enfonce dans la décadence et le laxisme annoncera sa chute. De nombreux parallèles peuvent être fait à chaque épisode, la série donne à réfléchir et n’essaye pas spécialement de prendre un parti pris (contrairement à Galactica qui est un peu technophobe et moralisateur en fin de série), essayant de dresser un tableau plutôt gris de notre hypothétique futur à travers une galerie de personnages plus ou moins ambigües, chacun commettant des actes héroïques et condamnables mais tous commis dans un seul but : l’épanouissement de soi. Les personnages ajoute donc une richesse supplémentaire à cette univers déjà bien garni : un chef d’entreprise refusant la mort de sa fille parti en quête de l’immortalité technologique, un avocat corrompu à la solde d’une organisation mafieuse, désirant stopper cette folie, une jeune fille égoïste et perdue croyant agir pour le bien, une autre qui essaye d’usurper l’identité d’une autre et cela ne sont que quelques ’unes des intrigues concernant les personnages proposées par la série : elles sont nombreuses, cohérentes et fournisses toutes un certain terrain de réflexion. Les personnages sont aussi magnifiquement interprétés : bien mieux que ceux de Galactica et le doublage Français est vraiment des plus convainquant cela rajoute un point positif à cette histoire riche et tumultueuse. Et que dire de la musique absolument sublime de la série ? À la fois douce et poétique marquant l’ambiance d’une aura sensationnelle et presque magique. Même le côté technique est réussi avec des décors sublimes et des effets spéciaux réussis. Son principal défaut est peut-être le fait de ne pas avoir suffisamment marché pour espérer une suite qui aurait pu nous monter l’évolution du Cylon dans la société humaine. Je n’ai qu’une chose à dire : Caprica est une perle, une merveille débordant d’intelligence, doté d’une esthétique impressionnante dressant un constat des plus alarmants sur notre devenir…si les Cylons ne sont au final que peu présents, ils font néanmoins place à une intrigue des plus intéressante et symbolisent ici une chose que l’humain à toujours craint : la peur de mourir, de tout perdre. A voir de toute urgence.
    PNAP
    PNAP

    9 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 11 novembre 2023
    Et oui les Cylons ont été créés par les humains et merci à Caprica pour tout nous expliquer. Se passant bien avant Battlestar Galactica, Caprica est le commencement de tout, les Cylons, la guerre, les mauvaises décisions humaines, les trahisons, la religion qui encore une fois apporte la discorde entre les peuples… une série indispensable pour toute personne intéressée par sa suite mentionnée un peu plus haut.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 21 mai 2012
    Quelle excellente série. J'étais immergé dans le monde et l'intrigue à chaque épisode. Le scénar et la mise en scène sont vraiment tyrès bons, les acteurs plus que corrects. Certes, aucun nouveau thème de la SF n'est abordé, mais le thème des robots et des mondes virtuels est ici vu sous une forme originale. Amon grand étonnement, je préfère cer spin off à BSG.
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    2,0
    Publiée le 8 février 2016
    Si l'on se jette d'abord tête baissée dans "Caprica", c'est bien sûr par amour pour "Battlestar Galactica". Spin-off de "BSG" se déroulant avant l'invasion Cylon sur Caprica, la série nous relate la création du premier Cylon et nous fait suivre divers personnages dont Joseph Adama, le père de ce bon vieux Bill Adama. C'est prometteur et puis l'on déchante vite. D'abord parce que cette création du premier Cylon pose de sérieuses incohérences avec la fin de "BSG" et puis surtout parce qu'il est très difficile de s'intéresser aux enjeux et aux parcours des personnages passés quelques épisodes. L'écriture, même si elle aborde de nombreux thèmes intéressants comme la religion ou l'intelligence artificielle, souffre d'un vide terrible. Aucun personnage n'est attachant, chacun rencontrant des problèmes qui ne tardent pas à nous laisser indifférents. Si cette première (et dernière) saison remonte un peu le niveau dans sa seconde partie, force est de reconnaître qu'avec sa réalisation relativement laide (l'un des défauts de "BSG" également mais compensé par bien des éléments positifs), "Caprica" nous entraîne dans un monde fade dans lequel on ne souhaite pas s'attarder. Si la qualité des scénarios est certainement en cause, il faut bien avouer que l'ensemble du casting manque de saveur. Seule Polly Walker, la piquante Atia de la série "Rome" vient apporter des nuances et un peu de charisme à son personnage. Le reste est à l'image de la série, ça se laisse regarder mais on n'en retire pas grand chose si ce n'est l’irrépressible envie de remonter à bord du Battlestar Galactica.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    113 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 8 avril 2021
    Une série préquelle à Battlestar Galactica (2ème génération) qui donnait envie de la suivre pour découvrir les origines des Cylons. L'unique saison pose les jalons de la cybernétique de Battlestar ainsi que ceux de la guerre de religion entre polythéisme et monothéisme. Dommage que la série ait été annulée; l'annulation ayant été connue avant même la fin de la diffusion, le dernier épisode tente de raccrocher la fin de Caprica avec l'enchaînement d'évènements devant conduire à la guerre Cylons - Humains. Le milieu de la saison devient un peu poussif avant de reprendre de la dynamique.
    LeLobo
    LeLobo

    45 abonnés 429 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 3 août 2013
    Indéniablement, Caprica décevra beaucoup de spectateurs de BSG, par contre, elle ne décevra pas les amateurs de Science fiction. Pour faire un parallèle un peu osé, de la même façon, ce serait comme un spectateur de la série Star Wars incapable de lire Dune de t.
    Malheureusement, la série finie abandonnée devant le manque d'audience (seulement un million de spectateur, cela semble énorme comme chiffre, mais bien insuffisant devant les 2.5 millions de BSG). Caprica est similaire à beaucoup de séries de SF n'ayant pas connu de succès immédiat, dont fut le vénérable Star trek au passage, et son succès sera nettement plus dilué dans le temps, par le bouche à oreille des amateurs de SF.
    Alors certes, le rythme est lent, l'histoire avance à petite allure, on est presque à l'opposé de BSG dans la narration, mais tout autant, le travail d'anticipation, de pure SF, de cohérence de l'univers est admirable, ainsi que le rendu psychologique. Cela fait davantage penser à des films comme "code 46", "dark city" ou "cargo". En faveur de la série, celle ci fonctionne entièrement par une intrigue "à suivre", aucun épisode isolé, uniquement un scénario global, la rendant passionnante malgré une certaine mollesse.
    Concernant les acteurs, j'apprécie particulièrement le très nonchalant Eric Stoltz que j'avais remarqué dans "Killing zoé". Pour finir sur une petite série de coïncidences anecdotiques: le fille de Stoltz dans Caprica s'appelle aussi Zoé. Et à un moment, sa femme sort un dossier important intitulé "Delphi", hors, l'héroïne de Killing zoé (et petite amie de stoltz dans le film) est incarnée par Julie Delphi.
    djacno T.
    djacno T.

    37 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 17 juillet 2013
    Série qui s'écarte de la série de 1978 et donne une nouvelle dimension à son remake Galactca.
    Contrairement à l'ancienne série les cylons ne sont plus des machines créent par des extraterrestres reptiliens (dont ils ont éliminé la race et détruit les planètes) mais ont été créés par les hommes dont Graystone. On se rapproche donc plus de terminator que de Battlestar Galactica de 1978. L'idée forte de 1978 était qu'il existait plusieurs races dans l'univers et Galactica ressemblait à une arche de Noé à la recherche d'une terre originelle. De plus dans Caprica, les Soldats de l'Unique, l'attentat et la guerre des religions se rapprochent de l'actualité moderne et enlèvent le coté fun et naïf de la série de 1978.
    Même si elle est en désaccord avec l'esprit et la mythologie de Battlestar Galactica de 1978, Caprica donne une nouvelle dimension et une spécificité à Galactica. Caprica est une série bien rythmée qui installe une nouvelle mythologie et présente la famille Adama. Elle efface pas mal d'incohérences de la série Galactica. Il y a pas mal d'action et la psychologie des personnages est bien fouillée.
    Le côté branché et ado s'inscrit bien dans l'histoire même si certaines scènes ne sont pas indispensables.
    On regrette que les moyens ne soit pas toujours à la hauteur (vieux vélos, vielles voitures et intérieurs pas très futuriste,...). Caprica est une bonne série TV qui se regarde facilement même si on peut regretter la rupture complète avec Battlestar Galactica 1978 et 80
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