Avis Caprica - Page 3

Salut ,

si vous avez adoré comme moi Battlestar Galactica , il est plus qu’intéressant de connaitre les "origines".
Caprica comporte 18 épisodes dans lesquels vous découvrirez comment tout a commencé , la creation des premiers cylons , et la famille Adama ;)

Seigneur !
La série de mes rêves, assassinée par Syfy
Quelle tristesse, cette merveille, ne répondant à aucun critère
habituel des séries à succès ( la preuve sa destruction pure et simple)
un drame, de science fiction brillante , axée sur la psychologie des personnages
le tout saupoudrée d'une esthétique mêlant steampunk et univers rétro de style
année 30. Parfait bijou sur la couronne Battlestar, un diamant, mais un diamant maudit...
Mauvaise Programmation, donc mauvaise audience, série divisée en deux paquets d'épisodes, diffusés avec des mois d'intervalle, bref....
Caprica est un chef d'oeuvre et comme tous les chefs d'oeuvres, sa réception n'est absolument pas à la portée du spectateur dont l'attente est immédiate, une série pareille se mérite.

Déçue surtout que Battlestar Gallactica était d'une qualité superbe ! dommage pas étonnant que ce soit arrêté

Apres 4 épisodes je n'arrive toujours pas a apprécier. Ca traine trop. L’ambiance n'a rien a voir avec battlestar et je ne retrouve pas cette petite choses qui rendais battlestar si extraordinaire.

déçu :(

Caprica est le bon filon pour replonger les fans du BSG dans le monde des cylons ou pour le découvrir. Mais la série se traine un peu. Sur une saison deux épisodes non pas lieu d'exister. Pour le casting Magda Apanowicz est une actrice moyenne qui ne transmet aucune émotion. Cependant Eric Stoltz et Esai Morales s'accaparent l'écran. Paula Malcomson est plus discrète et dévoile un charme grandissant au long de la série. Alessandra Torresani qui fait la tête d'affiche ne peut jouer que sur son physique atypique est quelques mimiques un peu trop abusées. Elle a aussi du mal faire transmettre des émotions malgré son importance dans la série. Sasha Roiz à un rôle sur mesure qui lui colle à la peau. Polly Walker est à sa place. Bref ! Cette première saison insiste bien sur la technologie de la résurrection mais devrait insister plus sur le réel control des cylons.

La première partie de la série est vraiment passionnante, après avoir suivi Battlestar Galactica je me suis dis que je ne serai pas déçu ! Mais la seconde partie la série perd vraiment de son élan et est plus molle... Vraiment dommage !
Mais Caprica reste quand même une bonne série !

Immersion !
R.D.Moore nous gratifie encore de son génie... Ambiance hypnotique, scénario, acteur, questionnement de nos habitudes, de notre société contemporaine à travers sa fiction, avec un fond religieux non dénué d'une certaine profondeur -ce qui manque à TOUTE les autres séries...
Vraiment très dommage qu'elle n'ai pas trouvé son publique et que la saison se referme sur elle-même. Le public trouvé par la précédente, BattleStar Gallactica devait être constitué de pas mal de personnes plus intéressées par l'action trépidante et la gestion du budget toujours très bonne (il y a des films très chers avec des effets moins bons) que par la maturité, l'esprit alerte et critique qu'exige le style du réalisateur pour le savourer à plein !

Il s'agit d'un péplum... genre plutôt rare en série ! Il n'a rien des combats de gladiateurs en jupette des années 1950/1960, cette série est très moderne. Les combats sont chorégraphiés, élégants, violents. Les lieux sont bien reconstruits. Historiquement, la trame est juste, même si l'histoire est ensuite romancée. Les acteurs sont bien choisis, charismatiques. C'est plein de sueur, d'hémoglobine, de violence ; c'est âpre, c'est charnel, c'est sexuel, mais ce n'est jamais vulgaire ou outrancier. Une vraie réussite !

Je n’ai pas (encore) vu Battlestar Galactica, mais j’me suis fait embarquer par l’univers bien particulier de la série, et ce dès le premier épisode. Un peu fâché qu’on en reste la dès la saison 1.
Du coup je pense me lancer dans la version 2005 de Battlestar Galactica…

Retrouvez la suite sur http://www.webotoff.fr/2011/02/caprica-mort-prematuree-dune-oeuvre-culte/

Faute d’audience, la préquelle de Battlestar Galactica a dû être annulée à l’issue de sa première saison, pourtant Caprica vaut vraiment le coup d’y jeter un oeil et s’inscrit parfaitement dans la mythologie BSG. Beaucoup moins ancrée science-fiction que son aînée, Caprica délaisse les vaisseaux spatiaux et les dogs fights pour rester un peu plus terre à terre. Se tournant plus vers le drame familial, Caprica décrit un futur proche et aborde des dilemmes éthiques auxquels notre race pourrait être confronté.



Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine…

Se déroulant une cinquantaine d’années avant la destruction des douze colonies par les Cylons, Caprica suit deux familles qui auront des rôles capitaux sur l’avenir de l’humanité entière. D’un côté la famille capricane Graystone et de l’autre la famille Adama originaire de Tauron. N’ayant à première vue rien en commun, ces deux clans vont voir leur destins se lier suite aux agissements terroristes d’un groupuscule qui revendique un dieu unique face à une société polythéiste.

CEO de Graystone Industries, Daniel Graystone, est devenu richissime grâce à l’invention d’un monde virtuel que les douzes colonies s’arrachent. Il est le père de la jeune surdouée Zoé Graystone qui a réussi à digitaliser entièrement sa propre personne. Malheureusement, lorsqu’elle est tuée dans un attentat, Zoé se retrouve ressuscitée malgré elle par son père alors qu’il tente de créer le premier robot douée d’une intelligence propre.




En face, nous trouvons Joseph Adama, un avocat immigré de Tauron, qui se trouve mêlé à ces évènements. En effet, l’attentat qui a tué Zoé Graystone, a aussi emporté sa femme et sa fille. Se retouvant seul avec son fils William, Joseph va rencontrer Daniel Graystone et découvrir que sa fille Tamara peut être elle aussi digitaliser à l’intérieur de ce monde virtuel.
En tentant de ressuciter Zoé sous la forme d’un robot, Daniel va implanter la version digitale dans le cerveau d’un androïd qui deviendra alors le tout premier Cylon.

Capricaaaa, ton univers impitoyaaaableuh !

Voilà pour le pitch qui résume par la même occasion le pilote de la série. Comme précisé plus haut, le ton dramatique est donné dès le départ. Le rythme est beaucoup plus posé par rapport à Battlestar Galactica. Un peu trop d’ailleurs car l’un des défaut de ce spin-off est qu’il a un peu de mal a trouver ses marques. En effet, malgré un pilote qui pose bien les bases, les premiers épisodes pataugent un petit peu. Caprica dispose un peu trop de personnages principaux et on ressent une trop grande inégalité dans le traitement de certains. L’exemple le plus probant est celui de Tamara, la fille de Joseph Adama. En effet, son rôle n’a pas énormément de sens et tout au long de la saison elle apparaît, disparaît puis réapparaît sans trop de raison pour être complètement oublié par les auteurs à la fin. Ainsi cette inégalité de traitement pour certain personnages perd un peu le spectateur.

Même si ces éléments sont un peu déroutants, le contexte quant à lui permet de bien rester accroché. En effet la présentation des colonies de l’avant guerre est très intéressante. On y découvre un peu plus leurs traditions et cultures, en particulier celles de Caprica et de Tauron. Le background est très réussi, on y retrouve un style vestimentaire et une ambiance très années 50 tout en étant mêlé avec de la haute technologie. Tout comme dans Battlestar Galactica, l’aspect religieux est très présent et on voit se développer les courants monothéistes au sein d’une majorité polythéiste. Il est amusant de voir à quels points les détails ont été peaufinés pour rendre ces sociétés totalement plausibles et réalistes.



Si la série se focalise essentiellement sur Caprica qui est le centre névralgique des douze colonies, la série s’étend aussi sur les Taurons dont les us et coutûmes sont très marqués. Peuple très fier et respectueux de leur code d’honneur, cette colonie est surtout connue pour l’étendue de leur mafia. Très proche de cette mafia, Joseph Adama en sera d’autant plus impliqué au fur et à mesure de l’histoire. Associé à cette ambiance très fifties, cela donne un petit côté Le Parrain / Les Affranchis à la série qui est plutôt appréciable.

Présenté à tort comme un soap-opéra, Caprica est bien loin de ce raccourci. En effet même si la série tourne essentiellement autour du couple Daniel & Amanda Graystone, de leur relation avec leur fille ou bien des magouilles entre Joseph Adama et son frère Sam, les thèmes principaux restent avant tout la religion, l’extrémisme, le terrorisme, ou encore le deuil. Et comme toujours avec Ronald D. Moore, ces sujets sont traités d’une main de maître avec subtilité et justesse.

Retrouvez la suite sur http://www.webotoff.fr/2011/02/caprica-mort-prematuree-dune-oeuvre-culte/

Hi la marmailles caprica enfin une série qui aborde un univers ..ouais les keum les Meuf et pas dans le RER ... battlestar Galactica ou comment des humains vivent survivent aborde un Quotidien a bord de vaisseaux lancé sur les mers ou océan des cieux le cosmos l'espace un empire une société humanoïde qui est rattrapé par son entropomirphisme galopant...entre autre choses ..ok les lolottes et loulous les 12 colonies leurs fondation l'évolution des vie est existence l'IA poussée à s ok n paroxysme les maux qui ronge l'individu ses croyances ésotérique la place l'humain dans un système ou l'argent fait le pouvoirs mais mais pourquoi pour qui par qui comment quand tout le monde dépose ses devoirs entre les mains de supposer leaders quand l'humanité n'est plus qu'un outils quand le confort de quelques un prend le dessus sur le bien commun et que la technologie est utilisée par de talentueuse mersonnes inventé crée par est pour palier aux maux aux manques de tout le monde quand la solitude l'ostracisme ect finit par contaminer et caurompre jusqu'à l'âme le coeur de tout une société la technologie en toutes choses finit par prendre son propre chemins aidé en cela par quelques êtres animés par l'apat du gain les pouvoirs voire même le statut a l'égale des divinités est autres deitee ...les de ilon des robot a tout faire en toute autonomie est cela dans tout les échelons de ces mondes ...des femmes des hommes dans leurs existences quotidienne ok ce n'est un Space 1999 ou un deep Space nines ou encore du western galactique non ici l'ont offre aux spectateaurs l'occasion de comprendre comment votre ( Alexa ou Cortana ou vos Smartphone pourrait par nos choix ou absence de prise de décision ou d'inplication politique est autres devoirs quand ont vie avec les autres est que chaqu'un dans ses fonction professionnel familiale & socialopolitiquement correcte va tranquilou contribuer a u début d'une nouvelle espèce est a son assention au rangs d'etre doué d'intelligence est de pensé ,d'imagination ,de désirs ect bien venue dans le pré quel de chrome and blood ou si vous préférez BATTLESTAR GALACTICA caprica unf perle rare trops rare .... 09/2024 el solo Solo Hell .

Avec un début très dynamique, la série s'enlise dans une lenteur où l'en s'ennuie ferme.

Pas facile de faire une suite ou un prélude à BSG mais je suis super content du résultat. On se laisse immerger par l'histoire et les éléments commencent à se mettre en place.

J'attends impatiemment la suite !

Le digne successeur de Battlestar Galactika!! Une série fascinante reprenant les origines du conflit meurtrier ayant engendré la disparition de la plus grande partie de l'humanité! Intense, surprenante, la série développe un univers propre qui va au delà de ce qui a été vu dans BSG!! Vraiment dommage qu'elle ait été annulée au bout d'une seule et unique saison!

Aprés avoir dévoré battlestar galactica et adoré, je suis bien content de retrouver l'univers de cette série dans Caprica, brillante idée que de nous apprendre tout sur la création des cylons, le rythme est intéréssant, les acteurs hallucinants, a voir pour la suite...