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    Toutes les critiques de La Septième Obsession
    L’Affaire Nevenka

    L’Affaire Nevenka

    Titre original Soy Nevenka
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    3,6
    Récit d’une première femme qui parvient à faire traduire en justice un homme politique influent et populaire pour harcèlement sexuel au travail, bien avant l’ère #MeToo, L’AFFAIRE NEVENKA est un film de résistance nécessaire.
    Diamant brut
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    3,2
    Jardin intime et secret pour une jeune fille qui, paradoxalement, ambitionne de tout montrer à la télé. Superbe coup d’essai.
    La Plus Précieuse Des Marchandises
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    4,0
    On est immédiatement pris d’affection pour le propos, le trait et le nombre de frames par seconde. Il est toujours agréable de se sentir dans l’atelier dès lors qu’on s’éloigne de Pixar et de ses concurrents.
    Trois amies
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    3,9
    Si la beauté de TROIS AMIES se tient à un enjeu de dignité – comment être honnête sans blesser l’autre –, il en est la promesse par sa retenue, son élégance et sa délicatesse.
    La Passion selon Béatrice
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    3,0
    Fabrice Du Welz, par un biopic déguisé, rétablit cette erreur du cinéma, si évidente lorsqu’on rencontre l’actrice, cette erreur de la faire jouer tant elle est déjà un personnage, déjà trop romanesque pour la vie, trop sorcière pour être actrice, trop actrice pour une vie ordinaire.
    The Substance
    La Septième Obsession
    5,0
    Presse
    3,6
    Pour Coralie Fargeat, cela revient aussi à ne rien céder sur ses propres désirs de cinéaste ; à tendre ce fil jusqu’au bout d’un dernier plan inoubliable d’audace et de dérision, point final d’une expérience tout sauf interchangeable.
    Tótem
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    3,8
    Le rythme et la mise en scène au cordeau de la cinéaste finissent de donner au film sa belle fluidité, jamais artificielle, pendant que les ruptures de ton, du rire à une émotion, s’enchaînent de manière organique, faisant de TÓTEM une œuvre profonde et sensible dans laquelle la vie semble vouloir, le temps d’un moment partagé, prendre le dessus sur la mort. Tout en parvenant à éviter l’écueil de la joliesse de tant de films sur l’enfance, ou de la délicatesse surjouée par un réalisme si prisé actuellement.
    Anora
    La Septième Obsession
    5,0
    Presse
    4,2
    Curieuse fin que celle d’ANORA, qui, en faisant se rencontrer deux âmes n’ayant jamais été définies comme telles, mais par leur corps et la meilleure manière de s’en servir, met soudain le spectateur face à ses responsabilités dans toute cette histoire. À vous de faire mieux la prochaine fois, nous susurre Sean Baker. Comment dit-on déjà ? Ah oui. Ça valait bien une Palme d’or.
    Viêt and Nam
    La Septième Obsession
    3,0
    Presse
    3,4
    Une force formelle avec laquelle Tru’o’ng Minh Quý nous égare sans nous perdre dans un dédale mémoriel et bruissant, secondé par l’envoûtante partition sonore de Vincent Villa. Une révélation.
    Barbès, little Algérie
    La Septième Obsession
    3,0
    Presse
    3,4
    Une lucidité de ton et une véracité de regard infusant une mélodique et mélancolique fiction du déracinement, innervée par une humanité déchirante et traversée par une gravité sourde.
    The Devil’s Bath

    The Devil’s Bath

    Titre original Des Teufels Bad
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    3,5
    Une « guerre intérieure » d’une intensité rare.
    Drone
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    3,3
    Or ici, il s’agit d’un drone : un œil-caméra qui nous fait épouser son point de vue. Mais c’est alors qu’Émilie – et nous avec elle – s’émancipe : elle refuse ce regard et décide de le combattre.
    All We Imagine as Light
    La Septième Obsession
    3,0
    Presse
    3,8
    Là, face à la mer et au silence qui dit tout, en chœur avec celles qui l’ont mené à bon port, le spectateur entend enfin ce qu’il ressentait : qu’ici, et surtout « ici, c’est beau ».
    The Outrun
    La Septième Obsession
    3,0
    Presse
    3,4
    La fin, cosmique et salvatrice, est l’une des plus belles de l’année.
    Le Robot Sauvage

    Le Robot Sauvage

    Titre original The Wild Robot
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    3,8
    Pourtant, il ne s’agit pas pour Sanders d’en faire le miroir de nos défaillances, mais d’inspirer une certaine transcendance. « Roz » est une esclave, la variation d’un modèle, ni bon ni mauvais. Son chemin est celui d’une libération (de son programme, du système qui l’a engendré), dans une belle incitation à prendre enfin le contrôle de sa vie.
    Miséricorde
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    3,9
    Une valse des interdits menée avec une corruptrice et délectable suavité.
    Tatami
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    3,8
    Une élégie de la désobéissance en forme de compte à rebours et aux accents de pur thriller orchestré par deux cinéastes connaissant mieux que quiconque le conflit délétère qui se déroule, inspiré par ailleurs d’une histoire vraie réinventée à travers le prisme de la fiction paranoïaque.
    Megalopolis
    La Septième Obsession
    3,0
    Presse
    3,2
    Megalopolis répond donc à une attente avide de merveilleux (sa grande forme, son genre péplum et futuriste), mais, et c’est là sa beauté, élève en même temps à une esthétique, à un « modèle de vie » : préférer l’utopie au pouvoir, inventer un monde où vivre, ressentir et aimer ensemble. Rien n’existe finalement en dehors des frontières de l’imagination d’une culture, et la force du film est d’embrasser ce qui la nourrit.
    Les Graines du figuier sauvage

    Les Graines du figuier sauvage

    Titre original The Seed of the Sacred Fig
    La Septième Obsession
    3,0
    Presse
    4,4
    Un hommage assumé au film noir pour cette chronique familiale et tragique, dénonciation on ne peut plus frontale et affirmée de l’actuel pouvoir iranien. Un film implacable sur l’obédience et sa gangrène sociétale, avec les femmes pour sempiternelles victimes.
    Ni Chaînes Ni Maîtres
    La Septième Obsession
    4,0
    Presse
    3,4
    Le réalisateur débutant impose à sa mise en scène une pulsation saccadée et exponentielle qu’il maîtrise jusqu’au bout. La noirceur et le nihilisme qui parcourent son scénario, ainsi que son travail anxiogène sur le cadre, trouvent leur acmé dans une fin opératique, tragique et cependant non dénuée d’une forme inattendue d’espoir.
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