Généreux, impulsif, dansant, l'Amour Ouf court dans tous les sens. Parfois trop mais il le fait avec une telle passion et une telle fougue que notre petit cœur se laisse emporter par cette histoire d'amour passionnel et électrique.
L'énorme déception de cette année. On peut saluer l'audace de Todd Philipps d'avoir voulu surprendre. Dommage que le résultat soit des plus ratés... et ennuyeux. Rien ne fonctionne dans ce film.
Survolté, rageur, ultra-violent, Kill fait mal là où il tape. A grand coup de marteau et de machette en pleine tronche ! Quel pied pour les fans d'action surénervée ! Un film qui fera sans aucun doute date. Giclées de de sang garanties sur les écrans des salles de cinéma.
Un gâchis d’autant plus regrettable que l’univers de The Crow regorge de potentiel inexploré, notamment du côté des comics et des romans dérivés. Si ce reboot avait pour ambition de relancer la franchise, il semble surtout l’avoir enterrée un peu plus.
Avec Alien : Romulus, Fede Álvarez prouve une nouvelle fois qu’il est clairement l’un des nouveaux maîtres de l’horreur. Marchant dans les pas de Ridley Scott et James Cameron, il nous offre un Alien 1.5 qui envoie du lourd.
Bourré de fan-service jusqu’à la moelle, extrêmement bourrin, gore, vulgaire et irrévérencieux, ce nouvel épisode des aventures de Wade Wilson reprend la recette qui a fait le succès des deux précédents opus, tout en poussant les curseurs au maximum.
Pas de quoi bouder son plaisir pour autant : rangez votre cerveau dans votre poche et laissez-vous emporter par cette tornade de fun qui ravive la flamme des gros films de l’été façon Armageddon, Volcano ou encore San Andreas !
To the Moon est une comédie agréable, menée par l’impeccable duo glamour que forment Scarlett Johansson et Channing Tatum. Toutefois, il est clair que nous n’avons pas affaire à un grand film : c’est une rom-com classique, dont la principale originalité réside dans sa toile de fond et son contexte historique.
Un peu longuet et mollasson sans pour autant être déplaisant, Longlegs doit beaucoup à son atmosphère hypnotisante ainsi qu’aux performances de ses têtes d’affiche : Maika Monroe (It Follows) et Nicolas Cage, tous deux excellents sous les traits de personnages complexes.
Le frisson n’est pas autant au rendez-vous que dans les deux films précédents, et les bons sentiments sonnent cette fois-ci légèrement moins juste qu’auparavant. Ce préquel offre néanmoins un spectacle extrêmement divertissant, rondement mené et porté par un duo d’acteurs fabuleux.
Malgré la richesse du bouquin d'Alexandre Dumas, Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière sont parvenus à extirper ce qu'il y avait de meilleur et de plus approprié pour en faire un grand film de cape et d'épées.
(...) Thriller brutal et tragicomique quelque part entre les frères Coen et David Lynch, sur fond de Thelma et Louise de Ridley Scott. Une ove story sous stéroïdes décomplexée dont on ne ressort pas indemne.
Une énorme claque cinématographique. On a pris un pied minime devant cette fresque épique, qui puise dans les 4 films qui l’ont précédé pour nous offrir ce qui est incontestablement l’opus le plus ambitieux de la saga.
Non exemple de défauts (notamment dans l'écriture et dans le rythme), When Evil Lurks expose assez d'atouts sanguinolents audacieux, de maîtrise visuelle, d'authenticité et de férocité pour mériter son statut de phénomène de festival.