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    Toutes les critiques de Positif
    Everybody Loves Touda
    Positif
    4,0
    Presse
    3,3
    L’interprétation remarquable de Nisrin Erradi est complétée par des performances entraînantes.
    Le Beau rôle
    Positif
    4,0
    Presse
    3,5
    Excellent dialoguiste, Rodenbach orchestre sa comédie avec une verve langagière pas si fréquente dans le cinéma français, privilégie l’épure (le film dure 1 h 24) et dirige un impeccable duo d’acteurs : Vimala Pons et William Lebghil.
    Sarah Bernhardt, La Divine
    Positif
    4,0
    Presse
    3,5
    [Une] production luxueuse et séduisante.
    Noël à Miller’s Point

    Noël à Miller’s Point

    Titre original Christmas Eve In Miller’s Point
    Positif
    3,0
    Presse
    3,1
    Ce n'est pas forcément un film pour tous les goûts, mais son émiettement narratif relève de saveurs variées : instants shoot sucré, sens du détail doux-amer, dialogues au gingembre ou acidulés.
    100 000 000 000 000 - cent mille milliards
    Positif
    4,0
    Presse
    3,8
    Vernier, cinéaste singulier, parvient à figurer ce qui gronde et à donner une charge presque tangible à la violence souterraine, sur le point de faire surface.
    Le Conte des contes, les films de Youri Norstein
    Positif
    4,0
    Presse
    4,6
    À la fois film poème et sublime rêverie sur le passé et la mémoire.
    Conclave
    Positif
    4,0
    Presse
    3,5
    Dans ce huis clos festonné de cent huit vieux électeurs, les rebondissements s’entrelacent sur un ton critique et jubilatoire.
    Daddio
    Positif
    4,0
    Presse
    2,7
    Pour son premier film, Christy Hall joue malicieusement de ce topos cinéphilique et sociologique, et pourquoi pas s'il fait effet de réel en même temps que rêver ? Nous jouons aussi le jeu, avec les deux acteurs, au mieux de leur charme.
    Marmaille
    Positif
    4,0
    Presse
    3,3
    [...] la chaleur humaine domine, tout comme l'authenticité des personnages [...].
    Il était une fois Michel Legrand
    Positif
    4,0
    Presse
    3,4
    La réussite du documentaire tient à cette forme de concerto : des vagues d'émotion se lèvent, des thèmes tournoient, disparaissent, des bulles de délices jaillissent, des modulations tonales laissent un manque.
    E.1027, Eileen Gray et la maison en bord de mer

    E.1027, Eileen Gray et la maison en bord de mer

    Titre original E.1027 - Eileen Gray and the House by the Sea
    Positif
    4,0
    Presse
    3,3
    Mieux qu'un éloge d'Eileen Gray, ce film est un hommage digne d'elle par son inventivité et sa beauté plastique.
    Architecton
    Positif
    4,0
    Presse
    3,4
    Dans ce voyage formel, presque muet, le cinéaste semble faire parler les pierres et fait de la concrétude du monde de gigantesques tableaux abstraits (zooms appuyés, ralentis hypnotiques, drones aux mouvements célestes).
    La Bella estate
    Positif
    3,0
    Presse
    2,7
    [...] une reconstitution historique un peu appliquée, façon téléfilm de qualité, avec de beaux tissus, des décors impeccables, mais pas assez de figurants ni d'emportement.
    Leni Riefenstahl, la lumière et les ombres

    Leni Riefenstahl, la lumière et les ombres

    Titre original Riefenstahl
    Positif
    4,0
    Presse
    3,8
    Leni Riefenstahl reste peut-être la plus grande cinéaste de l’avant-guerre, mais elle fut bel et bien une nazie convaincue, puis une vieille dame indigne, incapable à jamais d’assumer l’étendue de ses fourvoiements.
    Heretic
    Positif
    2,0
    Presse
    3,1
    Plus on sent le désir des cinéastes de faire dérailler leur film, plus ils le remettent, malgré eux, sur les rails...
    En fanfare
    Positif
    4,0
    Presse
    3,8
    L'élan vital, surfant habilement sur la ligne de crête de la sensiblerie, doit beaucoup à l'incarnation des deux figures de proue. Benjamin Lavernhe campe un maestro trentenaire avec la sensiblerie et le professionnalisme qu'on lui connaît. Mais c'est bien sûr Pierre Lottin qui crève l'écran (...).
    Grand Tour
    Positif
    4,0
    Presse
    3,4
    Ce souvenir érotique au masculin est la pierre de touche de l’œuvre de Gomes. Un homme-obsession dont la rémanence bouscule notre vision du monde et du cinéma. Grand Tour nous invite à ce bouleversement inédit, ne passez pas outre !
    Kafka, le dernier été

    Kafka, le dernier été

    Titre original Die Herrlichkeit des Lebens
    Positif
    4,0
    Presse
    2,8
    Étant donné l’aura du maître de la littérature moderne et la résonance de son œuvre incisive, le projet est un défi. Qu’à cela ne tienne ! L’acteur a un physique convaincant, Dora est charmante, l’antisémitisme menace, Max Brod est l’ami fidèle. Les vues de la station balnéaire sont nostalgiques et les plongées sur les voyages en train efficaces.
    Le Choix
    Positif
    4,0
    Presse
    2,9
    La prestation admirable de Vincent Lindon est plus riche en émotion que celle, déjà excellente, de Tom Hardy dont l’expressivité était plus contenue.
    La Plus Précieuse Des Marchandises
    Positif
    5,0
    Presse
    4,0
    Avec humilité et délicatesse, en poussant la logique du conte jusqu’à choisir la forme du dessin animé, Michel Hazanavicius, qui a dessiné lui-même chaque personnage, rend justice au matériau de Grumberg tout en donnant naissance à une œuvre autonome qui serre le cœur et rend heureux tout à la fois.
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