Après avoir été préposé à La Poste, Jean-Jacques Zilbermann décide de vivre de sa passion : le cinéma. D'abord projectionniste, il se lance au début des années 70 dans la réalisation de documentaires ("Faites chauffer l'école", 1971; "Vivre heureux en Ardèche", 1974; "La Cigogne en rogne", 1974). Il participe ensuite, avec quelques amis cinéphiles, au rachat et à la relance de deux grandes salles de cinéma : l'Escurial, au début des années 80, et surtout le Max Linder, rebaptisé Max Linder Panorama en 1987.En 1993, Jean-Jacques Zilbermann réalise son premier long-métrage, Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes, dans laquelle il dirige Josiane Balasko. Quatre ans plus tard, il récidive dans la comédie avec L' Homme est une femme comme les autres, porté par Antoine de Caunes et Elsa Zylberstein. En 2003, il nuance son cinéma d'une touche ...
Lire plus
Antoine de Caunes, Mehdi Dehbi, Jean-Jacques Zilbermann Interview : La Folle histoire d'amour de Simon Eskenazy