Christophe Loizillon commence à réaliser des courts métrages expérimentaux dans les années 80. Il montre un intérêt particulier pour le processus de création et l'artisanat (Felice Varini, Eugene Leroy).
Il reprend cette thématique dans son premier long métrage Le Silence de Rak en 1996, enrichie d'une réflexion sur travail et le temps. Il signe son second long métrage Ma caméra et moi en 2001.
Il fait également des apparitions en tant que comédien dans les longs métrages de ses amis comme Laurence Ferreira Barbosa (J'ai horreur de l'amour) ou encore Stephane Clavier (La voie est libre).