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Elève du Cours Simon, Pierre Mondy, de son vrai nom Pierre Cuq, débute au cinéma dans Rendez-vous de juillet de Jean Becker en même temps que d'autres jeunes comédiens comme Maurice Ronet ou Nicole Courcel.
Menant dès ses premiers pas une double carrière, théâtrale et cinématographique, il devient alors un des seconds rôles les plus courtisés du cinéma français, présent au générique de films comme Des gens sans importance
d' Henri Verneuil, Le Triporteur de Jacques Pinoteau ou bien encore Ni vu ni connu d' Yves Robert.
En 1960, Pierre Mondy créé la sensation avec sa composition très convaincante du personnage de Napoléon dans l' Austerlitz d'Abel Gance, mais la comédie restera néanmoins par la suite son genre de prédilection.
Il retrouve Yves Robert pour Bébert et l'omnibus ou Les Copains et tourne également chez Robert Dhery , Vos gueules, les mouettes !. En 1969, il réalise par ailleurs son unique long métrage, Appelez moi Mathilde, adaptation d'une comédie théâtrale de Francis Veber avec Guy Bedos, Bernard Blier.
Devenu populaire dans les années 70 avec son rôle du sergent Chaudard dans la série de La septième Compagnie signée Robert Lamoureux ou dans quelques comédies comme Le Téléphone rose d' Edouard Molinaro, Pierre Mondy se fait néanmoins plus rare sur grand écran, préférant le théâtre et surtout la télévision, où il remporte un important succès.
On le retrouve néanmoins à nouveau dans Le Fils prefere de Nicole Garcia et dix ans plus tard, à l'affiche de Lovely Rita de Stéphane Clavier, aux côtés de Christian Clavier et Julie Gayet notamment.
Prolifique au théâtre en tant qu'acteur et que metteur en scène (une soixantaine de pièces), Pierre Mondy travaille également beaucoup pour la télévision. Outre de nombreux téléfilms, il campe ainsi le commissaire Cordier durant quatorze saisons des Cordier, juge et flic et trois saisons de Commissaire Cordier, ainsi qu'un César facétieux face à Alexandre Astier dans la sixième et dernière saison de Kaamelott.
Genres de prédilection
