En 1958, Egon Olsen, un enfant génie, tente d'échapper à l'orphelinat où il vit lorsqu'il apprend qu'il est prêt à être adopté par un couple riche. Des problèmes surviennent lorsqu'il s'avère que le couple se sont scientifiques de fusée qui veulent l'utiliser comme sujet de test et l'envoyer dans l'espace...
Un éminent psychiatre, le Dr. Snow, suit un scientifique qui souffre de troubles émotionnels. Tous les deux sont kidnappés par une organisation secrète qui cherche à s'accaparer le fruit des recherches du savant.
Willi, erre dans les rues de Hambourg où il mène une vie de galères et tombe amoureux d'une prostituée qu'il sauve un soir in extremis. Le film culte de Roland Klick avec Charly Wierczejewski, Eva Mattes et Michael Degen.
Fabienne doit trouver un espion pour l'échanger contre son mari, en réalité un agent double. Mais elle tombe amoureuse de l'homme qui pourrait sauver son mari.
Une adolescente rebelle est confrontée à un choix insoutenable. Perdre l'homme qu'elle aime ou vendre sa virginité aux enchères pour lui sauver la vie.
Mis sur la touche après un accident, un policier choisit de se retirer à la campagne. Quand survient une mort suspecte, il découvre que le paisible village où il s'est installé cache de nombreux secrets.
Quatre gangsters amateurs veulent réussir un gros coup. Menée par Marc, la bande a décidé de frapper fort cette fois-ci. Leur idée ? Kidnapper Vénus de Palma, la fille d'un milliardaire, et demander une énorme rançon. Une fois enlevée, la riche héritière d'une vingtaine d'années s'avère rapidement bien plus futée que ses ravisseurs empotés. Excentrique et maligne, Vénus de Palma parvient à charmer quelques gangsters. Cette jeune femme rusée et machiavélique sème rapidement la zizanie chez les malfrats de petite zone au point de déclencher un carnage entre bandes rivales. Pour Marc et ses acolytes, le coup du siècle devient vite un cauchemar. Signée par Nelly Kaplan, réalisatrice de «La Fiancée du pirate», cette comédie s'avère riche en gags et en rebondissements.
D’un épisode à l’autre, « La Flor » change radicalement d’univers, et chaque actrice passe d’un monde à l’autre, d’une fiction à un autre, d’un emploi à un autre, comme dans un bal masqué.Ce sont les actrices qui font avancer le récit, ce sont elles aussi qu’au fur et à mesure, le film révèle. Au bout de l’histoire, à la fin du film, toutes ces images finiront par dresser leurs quatre portraits.