Charles Vidor est vraiment un metteur en scène éclectique, dans une carrière qui va de 'Gilda' au 'Cygne', en passant par la version 1957 de 'L'Adieu aux armes'. Il signe ici un intéressant film d'atmosphère, dans une lande brumeuse et gothique, respectant l'unité de lieu. Pas d'évasion, pas d'ouverture sur d'autres espaces. Les intervenants arrivent de l'extérieur et bouleversent l'équilibre déjà fragile de l'endroit : spoiler: Les ...
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