Quand les anges tombent

30 octobre 1996 en salle | 0h 23min | Comédie

Date de reprise 30 octobre 1996

De Roman Polanski

Titre original Gdy spadaja z nieba anjoly

Spectateurs

2,7 15 notes, 5 critiques

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Synopsis

Un court metrage tourne par Polanski quand il etait encore a l'ecole de cinema de Lodz. Une dame pipi oppose au triste spectacle de l'urinoir l'imagerie flamboyante de ses souvenirs.

Critiques Spectateurs

🎬 RENGER 📼

7 201 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

2,0

Publiée le 28 octobre 2010

Quand les anges tombent (1958) est un court-métrage en noir & blanc de vingt minutes sur une "dame-pipi". Roman Polanski nous fait ressentir le quotidien de cette femme, sa solitude et son ennui sont palpable. Pour passer le temps, elle se remémore des souvenirs lointains. On revit avec elle ses souvenirs de jeunesse (pour différencier le présent du passé, Roman Polanski a choisit de se démarquer de ce que font les réalisateurs ...
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Un visiteur

1,5

Publiée le 14 avril 2011

Un court-métrage mélancolique de Polanski, qui représente le passé en couleurs et le présent en noir et blanc. Pas de grosses surprises néanmoins, et même un relatif ennui à la vision de ce film...

Alain D.

585 abonnés 3 281 critiques Suivre son activité

3,5

Publiée le 16 avril 2016

Un format court émouvant et efficace réalisé par Roman Polański en 1958. Ce film en N&B, avec de superbes évocations en couleur, nous offre quelques images de très grande classe avec des personnages au faciès très photogénique. La bande son se révèle également très aboutie.
Le pitch : Dans son sous-sol triste, une dame pipi au travail s’évade en souvenirs.

QuelquesFilms.fr

268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

2,5

Publiée le 28 juin 2013

Le cinéaste a tourné dix courts-métrages en Pologne, notamment quand il était étudiant à l'école de cinéma de Lodz. Celui-ci est son film de fin d'étude.
Sophistiqué visuellement, avec un parti pris : noir et blanc pour évoquer le présent, couleur pour le passé. C'est beau mais un peu abscons.
Barbara Lass (de son vrai nom Barbara Kwiatkowska, ainsi créditée dans le film) fut l'épouse du réalisateur entre 1959 et 1962.

5 Critiques Spectateurs