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Synopsis
June Bukridge est une actrice de télévision anglaise qui connaît un certain succès pour son rôle d'une joyeuse nurse de campagne nommée Sister george. Elle vit tranquillement avec sa compagne Childie jusqu'à ce que son émission et son couple soient menacés par l'arrivée d'un producteur téle prêt à tout pour réussir.
Film peu connu et assez mal noté mais qui est certainement un des meilleurs films d'Aldrich . A l'époque il a du pas mal défrayer la chronique car le ton est très irrévérencieux et pessimiste envers Hollywood et la télévision et les institutions en général et le réalisateur y traite des sujets récurrents comme l'homosexualité féminine peu couru en 68 , le paraitre , les principes sociales et la decadence entre autres . De plus ...
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teklow13
53 abonnés
9 critiques
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4,0
Publiée le 16 décembre 2011
A l’image d’un Sam Fuller, Aldrich était un contrebandier et un franc tireur d’Hollywood, il s’éloigne du système avec ce film et devient son propre producteur. Jouissant ainsi d’une liberté totale, dans la forme comme dans le ton de ses films, ce qui était cependant déjà le cas auparavant.
The killing of Sister George est profondément ancré dans l’univers d’Aldrich, œuvre d’une parfaite cohérence. Il est d’ailleurs ...
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JuLieNSauReL
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5,0
Publiée le 21 septembre 2009
Peut-être le film d'Aldrich qui m'a le plus marqué lors de la rétrospective de la Cinémathèque française. L'interprétation y est parfaite ; l'humour, plus anglais, moins vulgaire que dans les précédents films de ce cinéaste ; la provocation, le modernisme et la satire y trouvent toujours une place sans avoir à bousculer le ton du film. Une oeuvre à redécouvrir, à ne pas oublier.
Un visiteur
5,0
Publiée le 18 septembre 2009
Un des meilleurs, peut-être le meilleur film d'Aldrich. En tout cas, c'est le plus complexe, le plus riche, le plus pessimiste, le plus beau. C'est un film où Aldrich traite du front des sujets récurrents dans ces films, mais qui sont d'habitude subreptices: la homosexualité, la decheance, la fragilité, l'artificiel. Ce traitement frontal n'est pas un renoncement à la subtilité, mais surtout, comme chez Fassbinder, un choix du coeur, un ...
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