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Synopsis
Beatrice Hunsdorfer, femme abandonnée de quarante ans, élève seule ses deux filles de treize et dix-sept ans. Elle tente de rompre la routine en faisant des rencontres qui sont toujours de courte durée.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 952 abonnés
12 478 critiques
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4,0
Publiée le 23 juillet 2020
Un très belle oeuvre mèconnue et gageons que les gens la reconnaîtront malgrè son titre insolite! Le public sera èmu s'il se laisse èmouvoir! Paul Newman nous prèsente de façon admirable une famille troublèe par le caractère, quelque peu nèvrosè, de la mère! Drame magnifiquement interprètè par Nell Potts (fille de Newman & Woodward) et Roberta Wallach (fille du grand Elli), qui incarnent les filles Joanne Woodward, une mère ...
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Vladimir.Potsch
20 abonnés
389 critiques
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5,0
Publiée le 13 septembre 2008
Le titre est une métaphore de l'impact qu'a l'attitude d'une mère de famille américaine, un peu déséquilibrée par une vie trop dure, sur la personnalité de chacune de ses deux filles. Alors que l'ainée, qui a subi de plein fouet et pendant trop lomptemps les frasques de sa mère, en sort affaiblie, la plus jeune, qui a réussi à se garder un espace de liberté dans l'univers tendu et incohérent qui l'entoure, tire bénéfice de cette ...
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willyzacc
79 abonnés
1 544 critiques
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4,0
Publiée le 22 septembre 2011
Newman nous sert une tranche de vie de Béatrice Hunsdorfer (Joanne Woodward prix d'intérprétion du festival de Cannes 1973) mère de deux filles Matilda (Nells Pott) et Ruth (Robertah Wallach). L'histoire en elle même n'est pas intéréssante ce sont les relations entre les personnages qui intérésse ici le réalisateur.
Le film se base essentiellement sur la folie de la mère (qui apparament l'était depuis son plus jeune âge) et qui ...
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vince113
43 abonnés
208 critiques
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5,0
Publiée le 2 novembre 2009
Impardonnable oubli de l'histoire officielle : Paul Newman est aussi un immense réalisateur ! Pour preuve, ce film magistral et bouleversant où le cinéaste fait preuve d'une rare subtilité, d'une incroyable liberté et d'un geste magistral de metteur en scène. Et ce autant dans la conduite du récit (la chronique familiale s'ouvre aux vents contraires des élans de chaque personnage et se libère avec majesté et force du naturalisme) que ...
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Paul Newman était en admiration devant le travail d'actrice de sa femme Joanne Woodward, allant jusqu'à déclarer, entre les lignes, que l'entreprise de ce film était une sorte de défi : "J'ai acheté ce texte parce que je pensais que c'était un rôle impossible à jouer pour ma femme... Mais à chaque fois que je la mets devant une caméra, elle me prouve entièrement le contraire."
"Rien de plus normal"
Paul Newman voyait son évolution de son travail d'acteur à celui de metteur en scène comme la chose la plus naturelle au monde. C'est d'ailleurs ce qu'il avait annoncé lors d'une conférence de presse, le 12 mai 1985 : "Passer à la réalisation, c'est juste le prolongement de mon travail d'acteur. Quand on aime les acteurs autant que je les aime, il n'y a rien de plus normal."
Troisième réalisation
De l'influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites est le troisième long-métrage en tant que réalisateur de Paul Newman. Il avait préalablement mis en scène Rachel, Rachel (1968) et Le Clan des irréductibles (1971). Ce film sera suivi de deux autres : L'Affrontement (1983) et La Menagerie de verre (1987). De l'influence des rayons... n'est pourtant que son second film avoué car Paul Newman a par la suite renié Le Clan des irréduc
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