Darbois, manufacturier, reçoit un télégramme de son ingénieur Brémond lui annonçant son retour de l'étranger avec une formule secrète pour fabriquer du caoutchouc artificiel. Berwick, homme d'affaires véreux, sollicite Darbois pour son trust, mais ce dernier refuse. Dans la grisaille revendiquée de la série (le quotidien, toujours le quotidien, rien que le quotidien…), et malgré son sujet anti-cinématographique, Le Trust recèle quelques scènes rafraîchissantes et, surtout, une sorte de prémonition esthétique quant à l’avenir de son réalisateur.