Alexandru, 90 ans, jardine, blague, continue à réparer des montres dans l’atelier ouvert par son père en 1909, quelque part dans le sud de la Roumanie. Mais ce qui est invisible pour tous, et qui a bouleversé à jamais sa vie, c’est son passé de prisonnier politique. Une tentative d’inscrire des éléments de mémoire épars de l’un des derniers témoins directs de ces camps de travail forcés et prisons politiques roumaines tout autant qu’une ode à la résilience.