Un rêve enfantin poétique, dans le labyrinthe du métro parisien des années 50. L'histoire est simple et belle, l'univers plutôt sombre et presque inquiétant. L'onirisme de la mise en scène et la beauté des images en font un beau poème qui n'est pas sans rappeler sous certains aspects les films de Jean Cocteau.
Alain D.
599 abonnés
3 293 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 25 octobre 2020
Un court métrage en N&B parfaitement mis en scène par Georges Franju en 1958. Sur une musique de Georges Delerue, il nous propose de belles images de Paris, un scénario sans dialogues mais subtilement mystérieux et avec de bons effets visuels ; une histoire simple et efficace basée sur l'imagination.