Dans la banlieue sinistrée de Dublin, des enfants capturent les chevaux sauvages. Sans concession, mais non sans empathie, le film montre une violence sociale autant qu’intime, subie et exercée par le jeune protagoniste, pour qui le cheval est à la fois un exutoire et un dernier rempart de tendresse. Une réflexion sensible intégrant l’animal au coeur d’un champ social censé être le propre de l’humain.