Suivant un procédé très « Labarthien », le réalisateur réutilise le matériel d’un de ses films précédents, en l’occurrence Solo, pour en créer un autre. L’occasion lui est offerte quand la chorégraphe Carolyn Carlson décide, 25 ans après sa création, de reprendre Blue Lady, en transmettant son travail à un jeune danseur, Tero Saarinen.