En 2015, le poète cubain Rafael Alcides décide de terminer les romans qu’il n’avait pas publiés et découvre qu’après des décennies, l’encre faite-maison de la machine à écrire qu’il utilisait, s’est effacée. Il commence à transcrire ce qu’a été l’œuvre de sa vie : la révolution cubaine comme une histoire d’amour désenchantée.