Katsuni inverse les rôles, pour une fois c’est elle qui défonce les mecs (désolé…j’ai 12000 jeux de mots qui me sont venus à l’esprit en voyant ce court-métrage, il fallait au moins que j’en place un, et estimez-vous heureux que ce soit le plus soft...gnahah). Ni scénario, ni dialogues, dans ce "Burst" qui s’assimile à un travail d’étudiant sans originalité, ni talent quelconque.