Deux heures de propagande soviétique, et pourtant, un chef-d’œuvre à la clef. "La Ligne générale", c'est ce paradoxe : l'idéologie est douteuse, l'histoire simpliste, mais la mise en scène relève du génie. Sergueï Eisenstein montre la pauvreté dans toute son horreur ainsi que la détresse du peuple ; il accorde une grande importance à l'objet qui en dit souvent long sur l'état de la population. Ainsi, une maison coupée en deux ...
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