Début 2011, pendant les 18 jours de soulèvement populaire qui ont mené à la chute de Moubarak, très peu de réalisateurs égyptiens ont pu filmer, bouleversés par l'intensité des évènements. Mais très vite, ils ont repris leurs armes, leur caméras. Ils ont, chacun à sa manière, essayé d'agir, de participer à ce difficile et long processus de transformation qu'est une révolution.