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Synopsis
Pour la première fois, après trois ans d’existence, le CGLPL (Contrôle général des lieux de privation de liberté) accepte qu’une équipe de tournage le suive dans son travail, minutieux, essentiel de contrôle des droits fondamentaux dans les prisons, hôpitaux psychiatriques, commissariats… Stéphane Mercurio a suivi une quinzaine de contrôleurs. Leurs lieux de mission : la maison d’arrêt de femmes de Versailles, l’hôpital psychiatrique d’Evreux, la Centrale de l’île de Ré, et enfin la toute nouvelle prison de Bourg-en-Bresse. Pendant ces quelques semaines d’immersion à leurs côtés au coeur des quartiers disciplinaires, dans les cours de promenade des prisons ou dans le secret des chambres d’isolement, un voile se lève sur l’enfermement et la réalité des droits fondamentaux en ces lieux
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A l'ombre de la république (2012) suit le quotidien d’une équipe du CGLPL (Contrôle Général des Lieux de Privation de Liberté), une autorité administrative indépendante créée fin 2007 et qui est chargée de veiller au respect des droits fondamentaux des personnes privées de liberté (droit à la dignité, à la liberté de parole et de conscience, au maintient des liens familiaux, au soin, au travail, etc). C’est la première fois ...
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pierrre s.
426 abonnés
3 304 critiques
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3,0
Publiée le 11 janvier 2022
Un documentaire qui nous plonge dans les lieux dit de "privation de liberté ", le terme fait froid dans le dos. On y découvre la vie (ou la survie) derrière les murs et des conditions de détention pas toujours rose. Cependant on peut reprocher à la réalisatrice une certaine naïveté. En effet difficile pour nous de plaindre ou d'avoir de l'empathie pour des détenus qui nous explique que la vie est dure en prison.
cyclo86
15 abonnés
129 critiques
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4,5
Publiée le 22 novembre 2015
Le film documentaire de Stéphane Mercurio, "À l'ombre de la république", pointe du doigt des territoires que la population en général ne fréquente guère, les prisons (que je connais aussi en partie, en tout cas j'y suis souvent entré pour y faire des aimations-lecture) et les hôpitaux psychiatriques (là, terra incognita totalement pour moi). Nous y suivons le travail du Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL, ...
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Un visiteur
4,0
Publiée le 16 mars 2012
Stéphane Mercurio est une engagée. Ce statut se retrouve non seulement dans son parcours professionnel (elle a été rédactrice en chef du journal La Rue) mais également dans sa filmographie. Réalisatrice de nombreux documentaires sur des sujets qui interpellent (A côté, Mourir ? Plutôt crever !), elle propose à chaque fois un discours iconoclaste. Son dernier film, A l’ombre de la République ne déroge pas à la règle.
La suite est ...
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D'après Stephane Mercurio, le film a essayé d'éviter la tonalité froide inhérente aux lieux de rétention, privilégiant une description plus humaine, plus chaleureuse, à l'image du travail des gens du CGLPL. Selon elle, le film a cette personnalité "en raison de la place qui est accordée à la parole des hommes et des femmes privés de liberté. Elle contribue également à mettre en lumière les difficultés que rencontrent les personnels pour accompli
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Aux quatre coins de la France
La réalisatrice est allée tourner son documentaire dans 4 centres de détention à travers la France : la maison d'arrêt de femmes de Versailles (78), l'hôpital psychiatrique de la Navarre à Evreux (27), le centre pénitentiaire de Bourg-en-Bresse (01) et la centrale de Saint-Martin de Ré (17).
Des détenus floutés ?
Pour le tournage, les détenus le souhaitant ont pu témoigner à visage découvert, un fait par la suite contesté par l'administration carcérale. En cause, l'article 41 de la loi pénitentiaire, qui pousse les établissements à flouter ou non les visages sans véritable raison, au mépris des choix et des droits des détenus. Comme l'explique Jean-Michel Delarue, contrôleur général des lieux de privation de liberté, qui regrette ces agissements : "Pouvoi
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