Pendant le siège de Sarajevo, entre 1992 et 1995, un passage creusé en secret sous la piste d'atterrissage de l'aéroport représente la seule liaison possible avec l'extérieur. Ce « tunnel », témoin de nombreuses histoires tristes, représente aussi la dernière chance, pour une chorale invitée à participer à une tournée européenne, de pouvoir quitter la ville assiégée.