On retrouve beaucoup de défauts propres aux mauvais documentaires dans Economics of Hapiness : une constante musique "émouvante" en back ground, des flash back au ralenti illustrant des discours catastrophistes et des intervenants aux prises de parole aussi courtes et empruntés de certitudes que les citations philosophiques du mur Facebook de ma tante Jeanine...
Les choix d'intervention (le coeur du documentaire) sont souvent discutables. ...
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