Les chapitres sont nommés d’après « Moby Dick ». Ils s’enchaînent dans une succession de vagues irrégulières, où des images-métaphores se déploient sur un rythme de flux et de reflux, un rythme de battements de cœur. « Sea Swallow’d » est une dérive, de la mer aux organes, des origines du cinéma à la pulsion.