Tout le comportement de Joseph le définit comme un homme détruit et aspiré par toujours plus d'autodestruction, capable de violences et provocations aussi stupides qu'injustifiées ainsi que de réactions racistes. Après une invective avec des clients d'un pub, il frappe son chien au point de devoir l'achever en l'empoisonnant. Il s'en lamente auprès du guichetier du bureau de poste, qui n'en est pas ému et lui rétorque que ce n'est pas la première fois. L'homme, pakistanais, réagit naturellement à l'assimilation faite avec mépris entre son origine et les poseurs de bombes.
Bafta du Meilleur Court Métrage de fiction 2008