Du beau monde : Age/Scarpelli pour le scénario, Nino Rota pour la musique, Mastroianni et de Sica devant la caméra, Monicelli, derrière. Un an avant Le pigeon, deux avant la grande guerre, cette comédie méconnue est un petit régal, tendrement féroce pour stigmatiser l'obscurantisme des campagnes italiennes et les croyances de ses habitants en la superstition plutôt qu'en la médecine. Plus tendre que méchant, néanmoins.