Pour se défaire des idées de mort qui l’obsèdent, Prokhorov part en voyage, sans bagage et sans but, et se retrouve dans la petite ville où il est né et a grandi, mais il n’y trouve pas de réconfort car il est en train de mourir...
Film mi-poétique, mi-documentaire, variations sur la vie, la dépossession, l'errance, les souvenirs. Film lent, sans recherche esthétique, souvent répétitif, dialogue succinct, photographie très sombre et terne. Volonté du cinéaste d'un certain hiératisme, dans l'image comme dans les sentiments. Quelques séquences plus vives : bal, fête de Noêl. Quelques interrogations métaphysiques. Cinématographiquement, le film est moyen par le ...
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