Quoi de plus théâtral que de donner à son film un titre à l'orée même du quiproquo ou de l'ironie ? Pourtant, Germaine Dulac souhaite ici se débarrasser du théâtre en plongeant son film dans un exercice de style plus propice à l'imagerie et à la rêverie salvatrice qu'aux divers comiques gestuels. A l'aide d'un montage audacieux pour son époque, Dulac permet au spectateur de découvrir la richesse de l'imaginaire de madame Beudet, en ...
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