Lazare Silbermann. Ce nom qui sonne si bien est celui de mon père. Pourtant je ne l’ai jamais appelé comme cela. Pour moi, mon père c’est Claude Silvestre. La maladie d’Alzheimer nous séparera trop tôt pour qu’il puisse un jour me raconter son histoire. Aujourd’hui, je fais face à l’absence et au silence.