Aujourd'hui, nous avons les hypocondriaques. Du temps du Molière, nous avions Le Malade imaginaire. Bien qu'il soit en parfaite santé, Argan ne cesse de se goinfrer de remèdes en tout genre. Pour s'assurer la tranquillité d'esprit, il ira jusqu'à contraindre sa fille à épouser un médecin... La dernière œuvre de Jean-Baptiste Poquelin.