On connaît Don Juan, on connaît Faust : mais c’est Grabbe qui, le premier, eut l’idée de les réunir dans une pièce saugrenue où les deux vils surhommes se disputent l’amour d’une femme. Jusqu’où pousseront-ils l’infamie pour réaliser leurs desseins et, surtout, lequel du séducteur invétéré ou du savant damné aura finalement le dernier mot ?