Sur mon chemin, j’ai rencontré un vieil homme qui m’a invité à écouter. Une mémoire. Cet homme, Ramazan Güngör, marqué parfois durement par les vicissitudes du temps et de l’âge, n’est pas une personne comme les autres. Il est l’un des derniers bardes d’une épopée en passe d’être révolue.