Nice View

A Shenzhen, en 2013, le jeune Jing Hao vit avec sa petite soeur Jing Tong. Leur père est parti est leur mère est décédée d’une grave maladie cardiaque dont est malheureusement également atteinte Jing Tong. Celle-ci a besoin d’une opération urgente pour survivre. Jing Hao ouvre une boutique de réparations de téléphones mais les revenus générés sont insuffisants pour payer les frais médicaux. Afin qu’il puisse rapidement gagner davantage d’argent, un ami lui propose de récupérer les pièces d’un stock de téléphones mobiles défectueux en provenance d’Italie. Il se lance alors dans un commerce risqué en réparant et revendant des téléphones trafiqués. Deux semaines plus tard, les autorités locales interdisent ce business en raison des motifs douteux et illégaux concernant la provenance de ces appareils. Jing Hao est cependant déterminé et propose au constructeur un plan afin de les revendre en réutilisant les pièces détachées dans un cadre parfaitement légal. Il loue alors un nouveau local et recrute une équipe plus ou moins hétéroclite pour mener à bien son projet. «Nice View» est le nom de la boutique.