Très bon film old school sur le basket avec 2 acteurs un peu nouveau sur le circuit qui nous communiquent facillement leurs enthousaisme. Drôle et rythmé à la fois.
j'avais eu ce film a l'époque grâce à des paquets de céréales, et j'en suis fan depuis! Bon film sur le basket même si les vêtements ont pris un sacré coup de vieux, j'adore
Bonne et agréable comédie autour du basket-ball, de l'amitié, l'amour ou encore de l'arnaque. Le scénario est bien écrit, les rebondissements bien pensés et les personnages attachant. Certaines scènes sont vraiment bien faite, notamment sur les terrains de basket, et certaines situations bien pensées. Woody Harrelson, Wesley Snipe et le charme de Rosie Perez feront le reste. Les musiques sont bonnes et l'ensemble est vraiment charmant et attachant. Une bonne comédie, très sympathique et réussi.
Harrelson (quand il avait encore tous ses cheveux) et Snipes dans une comédie de bouffons autour du basket de rue, une pratique qui dépayse de notre côté de l'atlantique mais dont la répétition ici nous gave rapidement.
Autant dire que ça ne vole pas haut et que ça s'étire en longueurs de plus en plus hystériques tandis que ça tchatche, ça se vanne, ça se traite de tous les noms et que ça combine des magouilles à la petite semaine tout en s'accrochant au panier, sauf Woody qui n'y arrive pas parce qu'il est blanc et que les blancs ne savent pas sauter (?!).
C'était le message de ce film de boulets, merci d'avoir regardé (on est pas obligé de regarder jusqu'au bout non plus : le fouteballe passe pour un sport d'intellectuels raffinés en comparaison du bassequette... quoique ! à quand un navet sur le handeballe pendant qu'on y est ?).
Encore peu connus à l’époque, Woody Harrelson et Wesley Snipes ont pourtant donné une véritable identité à cette gentille comédie qu’on aurait pu imaginer bien plus insipide. Ron Shelton leur propose en effet dans White Men Can't Jump de casser l’image que beaucoup se faisaient du Basket-Ball dans les années 80; à savoir un sport uniquement réserve aux noirs. Quelques séquences se détachent des autres et insistent sur le bien fondé du sport, qui gardera la volonté de voir les rivalités entre races s’éteindre. Surprenant et réaliste, cette troisième production de Shelton a la particularité de respire la nostalgie d’une époque malheureusement révolue.
Ce sympathique divertissement très vintage et dans l’air du temps au début des années 90 peut sembler aujourd’hui parfaitement démodé mais son énergie dynamique est toujours aussi agréable à partager grâce au duo explosif formé par Wesley Snipes et Woody Harrelson. Bien que son écriture comique ne fasse pas souvent mouche, Ron Shelton signe ici son meilleur film où il réussit à dépeindre avec de bonne humeur ces banlieues californiennes généralement uniquement assimilées à la guerre des gangs et à filmer des scènes de sport vivifiantes.
toujours aussi cool cette comédie sportive avec snipes et harrelson même vingt ans après sa sortie. un film culte sur le basket, servi par des dialogues poilants.
Pour ses débuts au cinéma, on ne s'attendait pas à voir Woody Harrelson dans un film de basketteurs noirs américains, très bonne ambiance pour ceux qui aiment le basketball et le hip-hop...
Film de tchatche avec en toile de fond de l arnaque et du basket de rue « les blancs ne savent pas sauter » transpire les années 90 par toutes ses pores. C est flashy, souvent de mauvais goût mais sans arrière pensée ou cynisme. Le film repose avant tout sur son duo Wesley Snipes Woody Harrelson qui fonctionne bien. Rien d’extraordinaire mais son côté capsule temporelle et est amusant.
Comédie écrite et réalisée par Ron Sheldon, Les Blancs Ne Savent Pas Sauter est un film plutôt moyen. L'histoire nous fait suivre deux hommes qui vont s'allier afin d'affronter d'autres adversaires dans des matchs de basket urbains en deux contre deux, avec pour objectif de gagner de l'agent venant des paris qu'ils placent sur leur victoire. Si la première demi-heure est sympathique, on se rend vite compte que ce scénario tourne en rond et est extrêmement redondant une fois passé l'effet de découverte. La faute aux près de deux heures de bobine alors que le film ne méritait pas plus d'une heure et demi générique compris tant il y a peu de choses à développer. L'histoire se laisse tout de même suivre mais l'enjeu et l’intérêt ne sont hélas pas de la partie. La grande force du long-métrage vient de son duo d'acteurs qu'il met en scène, à savoir Wesley Snipes et Woody Harrelson. Les personnages qu'ils incarnent se provoquent constamment et une belle complicité se créer entre ces deux énergumènes plein d'énergies même si parfois ils sont presque fatigants tant ça ne s'arrête jamais. Les autres rôles qui les entourent sont plaisants hormis celui incarnée par Rosie Perez qui est à la limite de l’insupportable. Les cris et les larmes de Gloria sont épuisants et malheureusement elle est assez souvent présente à l'écran faisant de ses scènes des moments peu agréables. Du coup les relations qu'entretient tout ce beau monde sont en demi-teinte à cause de cette dernière. Heureusement les dialogues incisifs, explicites, provocateurs et grossiers décrochent pas mal de sourires même si là encore, les punchlines finissent par s’essouffler et user au fil des minutes. L'ensemble est convenablement mis en scène, offrant des matchs dynamiques dans des lieux assez quelconques. On ne peut pas dire qu'esthétiquement le film soit très attirant même si son ambiance est une de ses plus grande réussite, notamment grâce à la b.o. très plaisante qui donne pas mal de rythme. Reste une fin assez neutre manquant un peu d'idée, à l'image de cette histoire peu convaincante. Vous l'aurez compris, Les Blancs Ne Savent Pas Sauter est un film correct qui fini par lasser même s'il possède quelques qualités.
Vu a l'instant, parce que j'ai vu pleins de vidéos via fb et surtout qu'il vient d'y avoir un remake semble-t-il... Le 1er du nom est sympa et vaut surtout pour le duo
Plutôt sympa, parfois très drôle (genre la première séquence) et le duo Snipes-Harrelson fonctionne à merveille, mais je trouve que le film se répète beaucoup en plus d'user de facilités pour dérouler son scénario (la scène du Jeopardy qui sort du chapeau), ça fini par tomber à plat.