Derniers Avis : Hook ou la revanche du Capitaine Crochet - Page 5

Un très bon film pour enfant, amusant mais qui n'est pas à la hauteur des autres Spielberg.

Le film que je regardais beaucoup petite et je ne m'en lasse plus !

Cette adaptation du célèbre dessin animé ravira les familles. Porté par deux acteurs époustouflants dans leurs rôles, ce film d’aventure pleine de bons sentiments est un grand divertissement. Une adaptation très réussie.

" Hook ou la revanche du capitaine Crochet " n'est certainement pas le meilleur film de son auteur, le réalisateur que l'on ne présente plus, Steven Spielberg. Il serait cependant dommage de faire l'impasse sur cette adaptation de l'univers de Peter Pan qui présente certes quelques lacunes mais qui propose aussi des variations intéressantes sur des thèmes chers à la fois à Spielberg. Celui-ci a d'ailleurs, pour la petite histoire, monté un spectacle sur la pièce de J.M. Barrie alors qu'il n'avait que 11 ans. Peter Pan et Spielberg, c'est donc une histoire de longue date... Le choix d'employer un Peter Pan plus âgé et plus bedonant était judicieux (le public ciblé était alors plus large) et le ton adopté par Spielberg se voulait plus léger. Les personnages vraiment "méchants" dans le film sont ainsi peu nombreux. Même l'infâme capitaine James Crochet n'est pas aussi infâme que ça. Spielberg prend quelques distances par rapport à l'oeuvre de Barrie et ôte à Peter Pan son côté frondeur, presque froid et même méchant dans le récit original. Un côté que le réalisateur P.J. Hogan a essayé de retrouver (un peu en vain) dans une adaptation plus récente de Peter Pan. Mais qu'importe, Spielberg est sur sa lancée et a décidé de faire une comédie familiale avec une belle brochette d'acteurs : Robin Williams dans le rôle de Peter Pan (comme d'habitude, l'acteur s'en donne à coeur joie) et Dustin Hoffman endosse le crochet de l'ennemi juré de Peter Pan (ça change de " Rain Man " !).
Visuellement, le travail est remarquable et le budget confortable du film (70 millions de dollars) a permis à Spielberg de s'amuser comme un petit fou. Il invite d'ailleurs pas mal de ses amis pour des caméos pas évidents à relever pour les néophytes (George Lucas, Carrie Fisher, Glenn Close, Phil Collins...). Qu'il s'agisse du refuge des enfants perdus, de la ville des pirates ou du bateau de Crochet, les décors sont grands, beaux et très colorés. Et Spielberg de prendre son temps dans le déroulement de son histoire (le film dure quand même 2h25). Et pourtant, l'on ne s'ennuie pas une seule seconde, Spielberg enchaînant l'action et les moments plus calmes avec toute la maestria qui caractérise la plupart de ses films. Sans oublier une nouvelle bande-son réussie de John Williams (ce compositeur est-il capable de décevoir un jour ?).
Personnellement, je n'ai jamais vraiment compris le succès plutôt moyen du film de Spielberg car, s'il n'est pas son travail le plus abouti, " Hook " demeure un très honnête divertissement destiné à toute la famille qui profite d'un ton léger et de moyens importants pour que la magie soit un peu au rendez-vous. Certes, Spielberg s'est éloigné de Barrie et sa vision d'un Peter Pan qui aurait accepté de grandir est parfois maladroite. On pourrait aussi évoquer l'emploi assez bref et classique des enfants perdus, de la fée clochette et du fameux crocodile (sans oublier l'absence du personnage de Lili la Tigresse). Ou encore le cabotinage de Dustin Hoffman qui campe un capitaine Crochet dandy parfois un peu trop théâtral. Il est vrai que le film est bourré à ras-bord de bons sentiments et que l'on a pas de mal à deviner que le film est américain au bout de quelques minutes. Mais bon, Spielberg parvient toujours à s'en sortir avec les honneurs et son Hook est à prendre comme tel, une comédie familiale classique dans laquelle tout finit bien.

Peter Pan, devenu adulte, a tout oublié de ses camarades et de Neverland. Son retour a Londres permet à ses enfants de découvrir qui est leur père, et de faire la rencontre avec son ennemi le Capitaine Crochet.
Cette histoire était faite pour Spielberg. L'enfance, ses rêves oubliés avec l'âge adulte, l'absence des parents, le monde magique de Neverland... Mais étonnamment il ne parvient à créer des moments de magie et de poésie que par moments. Le film est plombé par un manque de rythme qui donne l'étrange sensation que l'histoire ne démarre jamais vraiment. L'introduction est assez longue et surtout on a du mal à croire que Peter Pan est devenu un féroce trader de Wall Street accro à son téléphone portable. Et lorsque Neverland apparaît, on ne peut s'empêcher de penser que les décors ne sont pas très réussis. On sent la finition en studio, du bateau jusqu'au village. Du coup, les lieux de l'île se limitent à deux out trois endroits. Et la mgie n'opère que brièevement. C'est dommage car Spielberg est capable de nous transporter facilement, d'autant plus avec une histoire pareille. Mais la sauce ne prend pas. Un film sympathique, mais soyons honnête pas entièrement réussi.

Taillée sur mesure pour le très populaire cinéaste Steven Spielberg, l’adaptation de l’œuvre de James Matthew Barrie lui offre des possibilités titanesques afin de recouper avec ses thèmes récurrents. L’enfance est un état de stase dont on cherche souvent à en sortir. On cherche à faire évoluer la conscience vers un niveau extrêmement inaccessible, c’est pourquoi le récit partage sa narration entre réalité et fantaisie. S’il ne s’agit pas de la lecture conforme du roman ou bien de l’animation enchantée de Disney, le réalisateur se permet des libertés, découvrant ainsi un ressort scénaristique pur et intéressant. Il libère ainsi les arcanes d'un cinéma familial, qui possède également tous les motifs qui collent à la carrière d'un réalisateur, rêvant toujours les yeux ouverts.

Pas le temps de s'amuser à Londres, la magie est loin d'exister dans un monde qui pousse les travailleurs à se donner corps et âme dans un métier ne profite au big boss. À ce stade, nous arrivons un poil trop tard dans le parcours du protagoniste qui, malgré une vie rangée, doit simplement redevenir un héros et un père. La quête initiatique est un sujet que le metteur en scène prend alors à contre-pied. Ici, il s’agit d’un adulte rigidement ancré dans sa profession et qui entrevoit l’accès vers la délivrance par les souvenirs et la nostalgie. Cet état d’esprit se traduit par une échappatoire évidente, car elle ne soumet pas ou peu de responsabilités. Nous faisons alors un crochet vers l’enfance et l’état d’esprit qui l’accompagne. Cependant, le point de départ diverge des précédents récits. On se délecte d’un Peter Banning (Robin Williams) particulièrement enchaîné à son business. Il est résolu à absoudre un mal-être qui l’a enraciné un moment, avant de virer de bord et d’accepter la fatalité qui lui était destinée. Comme chacun, une fois dans une situation inconfortable, on cherche à se faire oublier ou à disparaître. Le drame qui suit ce constat démontre alors que l’impasse est une dure réalité que Peter se doit d’affronter, dans sa tête et dans les bons souliers.

Mais alors pourquoi son personnage ne constitue pas la charnière centrale du conte ? Le Capitaine James Hook (Dustin Hoffman) et son crochet ne sont pas présents par hasard. Loin de la figure emblématique du némésis de l’enfant éternel, le personnage admet une bien belle évolution. Lui également laisse paraître un malaise à l’égard de son « enfance », un passé lointain où son identité stagnait. Sa force réside dans son développement, un brin manichéen, mais accentué en valeurs morales essentielles à la compréhension de l’œuvre. De même, la fée Clochette (Julia Roberts) constitue une figure féminine que l’enfant ne peut sonder, contrairement à la charge émotionnelle d’un adulte. La famille passe par-dessus tout, c’est bien connu, mais qu’en est-il de l’extravagance des actes ? Les mœurs n’ont un sens que dans les yeux de celui qui possède une vision d’ensemble. Le rôle de Peter est donc de jongler avec son passé, afin de mieux comprendre ce qui le freine dans sa montée spirituelle. Ce qui permet, au dénouement, de générer une ouverture intéressante sur les étapes clé concernant l’ascension de Pan. Entre le vécu et la révélation, le spectateur n’aura plus qu’à sélectionner l’impact qui lui convient.

Avec Spielberg, nous ne sommes pas prêts d’égarer notre enfance dans nos responsabilités quotidiennes. Ce sont également de bonnes raisons qui nous poussent à prendre du recul sur l’éducation que nous avons reçu. « Hook ou la Revanche du Capitaine Crochet » émet toujours ce contraste optimiste entre la réalité et le fantastique. Ne sachant pas comment trancher, ni comment rattraper le manque évident du budget technique, afin de bâtir son univers imaginaire, le réalisateur finit par recycler un style qui a déjà fait ses preuves dans ses précédentes œuvres. Sans le vouloir, il se laisse piégé par une marque de fabrique que l’on jugerait d’enfantin, vis-à-vis de sa filmographie qui se tourne à présent vers des thématiques plus crues et matures. C'est pourtant tout ce qu'il y a de plus illustratif, à l'égard d'un cinéaste qui se projette autant dans son vieux héros ramolli que dans les pensées nostalgiques d'un homme, en défaut de contrechamp. Cela ne nous découragera pas non plus à reprendre un peu de nourriture imaginaire et nos vieilles armes émoussées pour sauver ce qui peut encore l'être. Spielberg le hurle avec une sincérité qui n'est pas près de désenchanter.

Spielberg adaptant Peter Pan de quoi faire rêver. Si le film plaira aux plus jeunes dans une certaine mesure car il faut avouer que c'est une semi-déception quand je le regarde maintenant. Reste quand même Dustin Hoffman parfait en Crochet et une partition de John Williams sympathique.

Dans la filmo de Spielberg, on oublie souvent ce petit film pourtant bien sympathique. Le début est vraiment bon, ce n'est pas une mise en place bâclée et inintéressante pour nous emmener direct à Neverland. Non, le réalisateur prend son temps, et on parvient bien à cerner la vie de Peter Banning avant le grand voyage. Je trouve même que l'arrivée de Crochet et l'énervement de Peter sur ses enfants sont des scènes marquantes. Robin Williams est sympa et joue bien le jeu, tandis que Dustin Hoffman campe un Crochet totalement délirant et amusant (Bob Hoskins est pas mal non plus en mouche). Cependant, on assiste à une baisse de régime au moment où Peter arrive chez les enfants perdus (même si les deux heures passent globalement très bien). Heureusement, ça remonte avec le banquet et la nourriture qui apparaît ainsi qu'avec la scène à l'intérieur de l'arbre, magnifique. Le final est sympa avec la "mort" de Crochet par le crocodile, et la bataille finale est accrocheuse et amusante à défaut d'être très impressionnante (y a jurrasic park pour ça, parce que Hook n'est pas un film jouissif au niveau des scènes d'action comme ce dernier). Le retour de Peter chez lui est joli, simple et pas trop infantile, juste comme il faut. Au final, un joli conte comme on à l'habitude de voir étant enfant et qu'on méprise malheureusement un peu vite sous prétexte qu'on a grandi. La seule véritable ombre au tableau, c'est une exploration trop légère de Neverland. On voit souvent des plans larges montrant une grande île, mais on en explore qu'une infime partie (la forêt et le bateau avec la ville des pirates). De plus, les décors sonnent un peu faux et on a du mal à se sentir au pays imaginaire. Frustrant. spoiler: La mort de Rufio
est aussi assez ratée et maladroite. Mais bon, pour une fois qu'une suite à une histoire qui semblait impossible à continuer est réussie et apporte une réflexion intéressante, on ne va pas s'en plaindre.

Un conte de fée vu par Spielberg ça donne ceci: "Hook: la revanche du Capitaine Crochet" l'adaptation est tellement réussie qu'on pourrait l'identifiée comme une suite officielle du Disney. La mise en scène est soignée, le pays imaginaire colle aux traits originaux du dessin animé (oui je pense qu'il faut un minimum comparé les deux). Le casting est absolument excellent, on a rarement vu autant de têtes d'affiches dans un film pour enfants mais le résultat est fantastique entre le charisme de Dustin Hoffman qui de part sa gestuelle particulière colle parfaitement au méchant de Disney (qui est un des meilleurs méchants créer selon moi), avec Robin Williams dans son exercice favori avec un rôle sur mesure qui déborde d'énergie, et comme d'habitude avec son pouvoir de nous faire passer des rires aux larmes en une seconde, bref une performance excellente à ajouter à son CV. Julia Roberts cette fois dans un second rôle rayonnante comme ...eh bien comme une fée voilà tout, pas n'importe quelle fée bien sur (Clochette) et enfin d'autres rôles moins visibles mais interprété par des géants comme Maggie Smith ou Bob Hoskins. Je pense avoir globalement fait le tour du casting et je n'ai rien d'autre à ajouter si ce n'est d'aller voir ce Spielberg pour enfants au plus vite, après tout pourquoi ne pas être comme Peter Pan pour un fois et ne jamais grandir?

Véritable hymne à l'enfance, que les plus grand apprécions, les décors magiques du pays imaginaire eux séduirons les petits même si le ton du film leur fera préféré les autres adaptations cinématographique de peter pan, car il agit bien la d'un retour pour nous autres adultes à se que nous avions oublié de nôtre enfance. ps : l'interprétation de dustin hoffman du capitaine crochet et le duel final valent à eux seul le film.

Revoir un classique de son enfance des années après est une prise de risque. Car certains films vieillissent et les revoir risquerait de voir le charme et la magie retomber.
Heureusement, le bon cinéma survit au temps et Hook fait partie de ces films qu'on peut revoir sans avoir les yeux qui piquent !
Ce film d'aventure a toutes les qualités d'un chef d’œuvre du genre. A commencer par son scénario. Quelle merveilleuse idée que celle d'avoir imaginé la suite du célèbre roman Peter Pan ! L'histoire est en même temps nouvelle et novatrice, mais elle n'en reste pas moins fidèle à l'esprit de l'original.
Les décors sont magnifiques et invitent à la rêverie et à l'imaginaire. La BO, signée John Williams, est le point d'orgue de l'ambiance rêvée de ce film d'aventure.
Le duo Dustin Hoffman/Robin Williams est tout simplement l'un des meilleurs vu dans ce genre de cinéma car ils sont bien plus que de simples interprètes, ils savent transcender leurs rôles pour nous toucher directement.
Steven Spielberg signe là un très grand film sur l'enfance et l'imaginaire comme il en a le secret et comme on aimerait en revoir aujourd'hui....

Un conte fantastique signé Steven Spielberg dans lequel Peter Pan a un jour décidé de quitter le pays imaginaire pour la vie réelle. Un scénario enfantin pour un casting prestigieux dont seul Robin Williams, Dustin Hoffman et Bob Hoskins arrivent à se démarquer par leurs incroyables talents d'acteur. à voir au moins une fois dans sa vie!

L'un de mes films d'enfance préférés, destinés aux plus petits ou à ceux qui ne veulent pas grandir, "Hook" est rempli de magie, ce qui nous raméne pendant un moment à notre enfance, on envie et adule à l'instar "des enfant perdus" Robin Williams avocat trés pris par son travail qui se révéle être Peter Pan dans le trés beau monde imaginaire filmé par la caméra de Steven Spielberg, on tremble devant le terrible Dustin Hoffmann sous les traits du Capitaine Crochet, puis on finit par rire de son ridicule et enfin on se prend d'amitié pour la fée Clochette qu'incarne Julia Roberts. On notera aussi la présence de Glenn Close, Phil Collins et Maggie Smith ( vu dans Harry Potter). Bref un film pour retourner au pays de l'enfance ne serais ce que le temps d'une soirée !

un merveilleux film pour ceux qui ont gardé leur ame d'enfant

Dustin Hoffman et Robbie Williams forment un duo convaincant, décrié par la critique, ce peter pan version spielberg est réussi, les décors sont très beaux et il y a beaucoup d'humour en prime, à voir!