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    Who's that Knocking at My Door
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    54 critiques spectateurs

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    Artriste
    Artriste

    115 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2022
    Premier long-métrage réalisé par Martin Scorsese, Who's That Knocking At My Door est un projet un peu brouillon dans ses intentions. L'histoire nous fait suivre J.R. un jeune homme vivant de magouilles, qui va rencontrer une femme qu'il va rapidement désirer épouser. Seulement, en apprenant quelque chose sur le passé de sa future épouse, il va alors la repousser. Ce scénario assez minimaliste est agréable à suivre sur toute sa durée, d'autant que celle-ci est assez courte avec moins d'une heure et demie au compteur. Cependant, ce récit est assez flou et ne raconte pas grand-chose, on a du mal à comprendre quel est le but de toutes ces séquences qui s'enchainent sans vraiment de liant. Si les moments entre les deux tourtereaux sont appréciables, les passages avec ses amis sont moins intéressants. Il faut dire que les personnages ne sont pas très approfondis hormis les amoureux au cœur de cette romance, bien incarnés par Harvey Keitel en homme maladroit dans ses réactions et Zina Bethune une femme aimante. Les autres rôles sont moins en vue même si les protagonistes qui les entourent sont sympathiques. Malheureusement tous ces individus nous offrent des échanges ne procurant pas véritablement d'émotions, dû à un ton trop neutre et des dialogues convenables mais qui manquent de sentiments. Si le fond semble dépourvu de cohérence, c'est en grande partie à cause de la forme et de la réalisation décomplexée de Martin Scorsese qui part dans tous les sens en recrachant ses références. Il y a trop d'idées de mise en scène à la seconde ce qui la rend souvent déroutante. Certaines coupes sont étranges, certaines transitions sont brutales et le montage est assez incompréhensible et manque de cohérence. Cette folie visuelle permet également d'avoir des plans marquants et inattendus même si le noir et blanc aurait pu être plus travaillé afin de dégager une esthétique et donc une photographie plus soignée. Malgré cela, ces images sont accompagnées par une excellente b.o. conférant à elle seule toute l'ambiance au film avec ses morceaux portés sur le rock qui donnent une certaine puissance aux scènes en remplaçant les mots par ses notes. Reste une fin qui laisse perplexe tant elle manque d'imagination, venant ainsi mettre un terme à Who's That Knocking At My Door, qui au final mérite le coup d’œil bien que ce film ressemble plus à une expérience cinématographique qu'à une œuvre aboutie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 août 2021
    Ce premier film de Martin Scorsese est à la base un projet de fin d’études tourné en plusieurs fois sur une période de 3 ans, pour un riquiqui budget de 30 000 dollars. Scorsese met en place des éléments qui forgeront l’ensemble de sa filmographie, notamment son quartier natal Little Italy et aussi la religion qui occupe une place très importante dans la vie du jeune cinéaste. Le style renvoie à la Nouvelle Vague et nous pouvons faire un parallèle entre ce film et « À bout de souffle » de Jean Luc Godard, dont Scorsese s’est sans doute beaucoup inspiré. « Who’s that Knocking at My Door » reste surtout une curiosité expérimentale et décousue aux allures de film amateur...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2021
    Aussi connu sous le nom de “I Call First”, “Who's that knocking at my door” est le tout premier long-métrage de Martin Scorsese, qu’il a réalisé de 1965 à 1967. Le film suit un jeune homme vivant de magouilles et qui rencontre une femme qu’il a aussitôt envie d’épouser. C’est en apprenant qu’elle a été violée par le passé qu’il la repousse, avant de revenir une nouvelle fois vers elle avec la maladroite phrase “Je te pardonne”. “Who's that knocking at my door” est un film aux idées libres qui nous fait découvrir le milieu italo-américain de New York. La musique omniprésente est très rock’n’roll et dynamise une histoire parfois brouillonne où l’on peut se perdre. Un premier coup d’essai qu’il est intéressant de découvrir quelques années avant “Bertha Boxcar” et “Mean Streets”.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    289 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mars 2019
    Un premier film de la part de Martin Scorsese assez éloigné de l'ambition des œuvres qu'il fera par la suite. "Who's that..." ressemble à s'y méprendre à "À bout de souffle", avec Harvey Keitel dans la peau de Belmondo. On apprend donc là l'un des aspects les moins connus de Scorsese, à savoir son intérêt pour la nouvelle vague française, tant ce film y semble proche dans l'esprit. L'histoire est très basique, sur fond d'histoire d'amour. L'image est belle, avec cette atmosphère particulière présentant un New York populaire. L'ensemble paraît bricolé, mais le génie du réalisateur est déjà là, faisant quelque chose de plutôt réussi avec peu de moyens.
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2021
    Harvey Keitel est le visage d'un début de carrière. Avant de faire le bonheur de Ridley Scott et Quentin Tarantino, il est choisi pour incarner une certaine jeunesse américaine filmé par le futur très grand Martin Scorsese. Le cinéaste américain qui prouve déjà ici l'étendu de son talent de metteur en scène. Un noir et blanc solaire, des petites frappes très juvéniles et inoffensives. La religion déjà bien présente et pesante, au cœur du sujet principal du film : le mariage. Le passé malheureux de cette jeune femme cause le questionnement d'un jeune homme à principe. La transgression et la réflexion est déjà présente. Who's that knocking at my door se veut social.
    Matthias T.
    Matthias T.

    44 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2017
    Un film libre, non dénué de maladresses mais doté d'une mise en scène et d'un montage particulièrement inspirés.
    pelu
    pelu

    17 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 mars 2017
    Un vrai galop d essai qui ne laisse rien présager à ce stade la carrière qui va suivre, mais ce film est la genèse de son créateur de son cinéma... Un brouillon mal fait maladroit mais pour autant on y ressent son énergie ses personnages sa passion de la musique ses thèmes le tout manque de finesse de continuité mais son New York a déjà une âme une odeur tous comme des références à son cinéma ses origines ... Avec l apparition de la mama Scorsese !! Le film reste quand même difficile à voir aujourd hui pour des non initiés il vieillit très mal.... Mais on ne peut pas voir ce film autrement que un court métrage fait et refait à plusieurs reprise avec toutes les erreurs de jeunesse de rythme et de scénario d un futur géant du cinéma !!!
    au-dela-des-nuages
    au-dela-des-nuages

    37 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 février 2016
    Un 1er film impressionnant avec des scènes fabuleuses... Bien sûr il y a un manque d’homogénéité car réalisé en plusieurs fois sur plusieurs années mais remarquable sur de multiples points de vue : scénario, jeu des acteurs, scènes insolites, placement de la caméra. Le bonus dvd est intéressant et nous apprend pas mal de choses.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 février 2016
    J'étais un peu perplexe en commençant le film. Les choix de cadrages et de montage étaient un peu hasardeux pour celui qui nous a habitué à tant de maîtrise dans ses films futurs. Puis, progressivement, l'exercice scolaire se transforme en magnifique exercice de style, étonnant pour un premier long métrage. Tout n'est certes pas en équilibre dans Who's that knocking at my door, mais l'atmosphère créée a quelque chose de puissant, d'onirique par moment. En ce sens, la scène du rêve érotique de J.R. résume parfaitement tout le film. Bientôt, ce qui choque au début ne pose plus de problèmes. Le regard s'est habitué. Il suit le mouvement curieux qu'on lui impose de voir, animé par des personnages surprenants et même très bien écrits. Les plans et mouvements sont parfois répétés deux, puis trois ou encore quatre fois, sans doute pour ancrer en nous cette histoire si banale et pourtant d'une originalité fascinante. Plus tard, on quitte la ville pour la campagne. Voir la beauté de la nature puis revenir à la civilisation, cette fois-ci découverte en son entièreté, Manhattan et ses buildings en grande toile de fond. Dans ce film comme dans beaucoup d'autres de Scorsese, New York a sa vie propre, elle nous est souvent montrée en cadrages serrés, la nuit ou au travers des vitres d'une voiture. C'est ainsi qu'il dévoile alors son talent pour filmer ce microcosme étonnant, en centrant sa caméra sur une individualité particulière. Ici, son alter ego est joué par le très jeune Harvey Keitel, paradoxe ambulant, variant entre valeurs chrétiennes traditionnelles inculquées sans doute par une mère adorée et violence quotidienne des bas quartiers. Globalement, les grands thèmes de prédilection du cinéaste. Son talent n'est donc pas né avec Taxi Driver ou encore Raging Bull. Il est inné, et ce premier film prouve déjà ce génie.
    NewBoorn
    NewBoorn

    60 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 février 2016
    Si l'oeuvre est imparfaite avec des redondances ennuyeuses et gênantes, le premier long-métrage du génial réalisateur est déjà porteur des aspects fondamentaux de son cinéma : énergie incontrôlable de ses personnages, amour fusionnel puis destructeur, univers autour de malfrats (plutôt amateurs, ici), importance de la famille et religion... Son premier acteur fétiche aussi, Harvey Keitel, et une scène culte, celle où ce dernier est allongé dans un lit façon crucifix...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 novembre 2015
    Je met trois etoile a cause des faux raccort du film qui gache a un peu tout et rappel qu'au départ ce n'est qu'un film d'universitaire... Plutot incroyable vu la qualité de celui ci. En voyant ce film on se rend compte tout de suite du talent du grand Scorsese sa destiné sauf malheur etait inévitable.
    Harvey Keitel est tres naturel on se laisse vraiment dicté par l'ambiance de ce film avec ses flash back qui travail les pensé des personnages au présent.
    A découvrir pour tout les fans du Grand Martin Scorsese
    Scorcm83
    Scorcm83

    101 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 septembre 2015
    Les premiers pas du futur géant Scorsese dans l'industrie du cinéma dévoilaient déjà une ambition et un sens de l'intensité dramatique peu communs. Dés l'introduction, on sent l'influence de la Nouvelle Vague, l'influence de la religion, qui se place comme juge et arbitre au sein du film et au sein de l'oeuvre du réalisateur italo américain, on sent l'envie de parler de la famille, du respect et on sent une esthétique photographique en parfaite harmonie avec les expérimentations de montage. A n'en pas douter, dés les premiers plans de ce Who's That Knocking At My Door ? l'empreinte Scorsesienne est placée, pour marquer plus de cinquante ans de cinéma.

    Mais ces débuts ne sont pas sans défauts, malgré une première moitié excellente et terriblement prenante, la seconde partie déçoit légèrement, et plus particulièrement les vingt dernières minutes. A la manière du personnage principal (interprété par un Harvey Keitel magistral), le spectateur se sent un peu frustré devant cette histoire qui refuse tout à coup d'avancer et se retrouve bloquée à cause des principes contradictoires de ce même personnage principal.

    Malgré tout, ceci est un choix que je considère artistique et voulu, je vais donc m'attarder à présent sur ses principales qualités. La direction d'acteur notamment : arriver à tirer d'un acteur faisant ses armes devant la caméra pour la première fois une telle intensité et une telle pureté de jeu, c'est juste du génie. Zina Bethune, légèrement plus faible, et tout de même largement convaincante de même que le reste des seconds rôles, déjà ancrés au niveau psychologique et esthétique dans la plus pure tradition scorsesienne. Le noir et blanc est véritablement travaillé pour nous proposer des plans tout en contraste et pas seulement des tons fades de gris. On ressent, dans le choix des costumes et des cadrages, l'envie chez Scorsese de montrer l'ambivalence psychologique de son duo principal qui le lie mais en même temps le détruit.

    Le traitement sonore est éclectique, nous proposant plusieurs séquences entièrement régies par la musique des 60's, ou à l'inverse des passages dans le silence le plus complet. Des plans de caméra fixe se retrouvent en conflit avec des plans en caméra portée virevoltant dans l'espace.

    Bref, une proposition de cinéma pure, dans tous les sens du terme, dans tout ce qu'il a de meilleur. Le résultat en est très intéressant, extrêmement plaisant au visionnage, forcément plus faible que le reste de son oeuvre, mais en tout cas un classique à voir sans hésiter !
    LBDC
    LBDC

    104 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2015
    ée sous le signe de l’immersion:
    – Dans un New York singulier par sa proximité;
    – Au cœur d’un microcosme culturel, le milieu italo-américain: violent, mais pas encore vraiment mafieux comme dans le reste de la filmo;
    – Dans la tragédie de l’intime auquel devra faire face un couple trop dépareillé.

    Il y a quelque chose de véritablement touchant dans ce tout premier film de Scorsese, au delà de ses parti-pris formels.
    Une émotion, des sentiments qui circulent à travers cette romance, et qu’on n’observera que très rarement chez le réalisateur… Mais également une vision inédite de la culture italo-américaine, disséquée du point de vue de la considération de la femme.
    L’idée est placée des la première scène puis répétée au cours du film: ce que l’homme cherche chez une femme, c’est une maman. Toutes les autres, seront des « broad », expression particulièrement dévalorisante, signifiant « large » au sens littéral, « pute » dans le langage local. Scorsese observe avec finesse ce déterminisme relationnel finalement assez tragique dans lequel sont coincés les deux personnages centraux, malgré leur puissant amour.

    Dans la forme, la mise en scène si typique de son cinéma n’en n’est qu’à son balbutiement. Pas encore de stylisation de la caméra (plans séquences ultra-dynamiques, mouvements latéraux signatures…) mais déjà une utilisation de la musique illustrant avec précision l’action; L’immersion typique de son cinéma est déjà présente, quoique presque intégralement confiné dans les décors intérieurs et s’exprimant dans le dialogue. Le noir et blanc, la liberté totale du rythme, et l’imprévisibilité du script renvoient quant à eux, à la nouvelle vague – tout du moins c’est la seule référence que je peux affirmer, avec mon simple bagage culturel.

    Cette liberté artistique est d’ailleurs partie prenante de la stimulation provoquée par le film; les enjeux sont placés assez tard dans le film (la révélation de « la fille ») mais redéfinissent totalement les rapports qu’entretiennent les personnages entre-eux. Ainsi, l’autre (homme ou femme) semble n’avoir d’autre fonction que de palier à un déficit affectif profond.
    Les femmes n’ayant d’autre utilité que sexuelle (hormis « la bonne »), ne reste que la camaraderie pour combler ce manque affectif. Scorsese illustre cela avec subtilité, via quelques scènes assez marquantes et/ou stylisées:
    – Une soirée entre mecs ou la finalité sera de prouver sa virilité, sa propension à l’humiliation – génialement mis en scène par travellings ralentis successifs, et sans autre son que de la musique extradiégétique.
    – Un défilement (fantasmé ?) de « broads », de corps, filmés avec une caméra retranscrivant assez bien les idées de vertige et d’abandon dans le sexe désintéressé.
    – Une excursion hors-New York, ou la possibilité d’évasion vis à vis des valeurs est suggérée (laisser libre cours à la poésie, à l’ouverture culturelle ?)
    – Une seconde soirée thématiquement identique à la première, mais ou la « femme-broad » sera le centre des enjeux.

    Parallèlement à cette triste(?) représentation, la relation entre J.R. (Harvey Keitel) et « la fille »(Zina Bethune) se construit sous forme de flashbaks indissociables de fantasmes, et ponctuant le « présent » par le contrepoint. Construite avec délicatesse et pudeur, ces moments captent les diverses étapes de la séduction, puis la tentative de vie commune.
    Durant la première phase, Scorsese fait son personnage masculin s’exprimer par le biais de la culture, cinématographique notamment. John Wayne et le western Ford-ien sont l’expression idéale de ses valeurs, celles de l’homme dur mais juste, dont le charisme est façonné par ses convictions vis à vis du monde.
    Elle, apparaissant d’abord plus effacée que lui, possède un passif insoupçonnable qui composera rétroactivement sa relation à l’Homme, à lui.
    La progression de leurs sentiments réciproques est parfaitement retranscrite, faisant naître une véritable empathie envers ce couple. Une empathie qui permettra indéniablement de voir plus loin que leur simple histoire lorsque le drame de l’intime fera petit à petit son entrée.

    En définitive, l’idée que l’on pourrait se faire du réalisateur à partir des thèmes émaillant sa filmo (mafias, immersions presque documentaires, ambition, violence ou instabilité) et de la vision de la femme à l’intérieur de ses films sont complètement bouleversés par ce profond WHO’S THAT KNOCKING AT MY DOOR et sa sensibilité, insoupçonnable chez Scorsese à l’exception du magnifique Alice n’habite plus ici sur lequel je reviendrai bientôt.

    Je n’ai toutefois pas encore vu Boxcar Bertha (film suivant), Raging Bull, Le Temps de L’innocence et La couleur de l’Argent.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 décembre 2014
    Film ennuyeux avec de longues scènes mais avec une histoire d'amour intéressante en se plaçant dans le contexte du film qui s'explique par les moeurs.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 septembre 2014
    Première réalisation de Martin Scorsese, Who's that Knocking at My Door n'est pas déplaisant, mais reste avant tout une curiosité expérimentale, décousue, et montée à la manière d'un film amateur. Un fait qui s'explique aisément par le budget riquiqui et par la genèse troublée du projet (tourné en plusieurs fois). Reste quelques passages inspirés qui préfigurent déjà du don peu commun du génial réalisateur pour la mise en scène.
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