Votre avis sur Au service secret de sa Majesté ?
4,0
Publiée le 10 novembre 2017
"Au service secret de Sa Majesté est un très bon film. Bien que l'histoire soit toujours assez simple, c'est surement le meilleur épisode de la franchise pour le moment. C'est le premier à apporter un début de développement pour le personnage principal et c'est aussi le premier à prendre le risque de ne pas se terminer sur un "happy ending"... Autrement, il a toujours les mêmes qualités et les mêmes défauts que les films précédents."

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4,0
Publiée le 26 mai 2015
Je dois dire que j'ai beaucoup aimé ce James Bond. Il a en plus le mérite de sortir un peu de l'ordinaire des James bond en nous proposant un bond amoureux et une fin tragique. Je dois dire qu'après le très bon Sean Connery, j'avais un peu peur avec george Lazenby. Pourtant, ce dernier s'en sort très bien et il se hisse quasiment au niveau de Connery à mes yeux. Le scénario est bien ficelé et de plus, le film propose des scènes d'actions d'enfer pour l'époque, même si certaines font kitch maintenant. L'acteur qui joue Ernst Stavro Bofeld s'en sort bien même si je regrette le look que le personnage avait dans "On ne vit que deux fois". Sa cicatrice manque cruellement et rend moins classe le méchant. Mais bon rien de vraiment grave. Je ne comprend pas qu'un si bon "James Bond" se fasse bacher alors que des opus comme "Opération tonnerre" qui sont longs et ultra kitch se fasse louer! mais bon, chacun ses gouts hein! Pour conclure, j'ai vraiment apprécié ce James Bond car il sort de l'ordinaire, les acteurs sont bons, les scènes d'actions sont bonnes , la musique également et j'adore les films qui se finissent mal.
3,5
Publiée le 5 novembre 2022
Un James Bond étonnant à plus d'un titre. Ça commençait assez mal avec trois quarts d'heures pendant lesquels il ne se passe pas grand-chose. Et puis ça démarre et ça n'arrête plus. Pas de gadgets spoiler: (à part le machin pour forcer le code d'un coffre-fort avec photocopieuse incorporée) et quand il en bricole un pour ouvrir une porte, on lui explique qu'un simple lime à ongles aurait suffi.
En revanche nous avons des paysages alpins magnifiques, des scènes spectaculaires spoiler: (l'avalanche… quand même !) un méchant comme on les aime (Telly Savalas) une James bond girl de première classe (Diana Rigg) Et un final qui nous tombe dessus sans prévenir.
Quant à George Lazenby, ce n'est pas Sean Connery, ce n'est pas Roger Moore non plus, mais il n'a pas à rougir de sa prestation. Et puis c'est un vrai James Bond, il spoiler: aime les belles filles, il couche avec, il boit du Martini et il apprécie même la revue Play-Boy…
c'était le bon temps.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 25 mai 2015
J'ai été vraiment déçu par cette septième aventure du plus célèbre agent secret de tous les temps. Mais pourquoi déçu ? Et bien parce que c'est mou. Durant tout le film on suit James Bond faire son enquête chez Blofeld alors qu'on sait pertinemment que c'est le méchant. Les scènes d'action sont trop rares, et quand elles apparaissent, elles sont gâchées par la musique trop répétitive. Georges Lazemby, le pauvre bougre, ils l'ont pris parce qu'il ressemblait un peu à Sean Connery et ils l'ont viré quand ledit Connery est revenu, alors que Lazemby n'est pas mauvais, juste un peu fade par rapport à son prédécesseur mais c'est tout. Blofeld n'est pas excellent dans ce film, je le préférais derrière son fauteuil ou avec Pleasence pour l'incarner. Ensuite, le film se base sur le fait que Bond ait une femme, mais celle-ci est sous-exploitée, au même titre que les anges, qui passent leur temps à glousser. En réalité, il y a un point que j'ai toutefois beaucoup aimé dans ce film : spoiler: la mort de Tracy à la fin du film. Je trouve cette idée géniale, car c'est une séquence émouvante et la saga en manque cruellement et que c'est surprenant et inattendu
.
Un James Bond très décevant, même s'il y a de bonnes idées.
3,0
Publiée le 8 août 2022
James Bond est une fois de plus aux trousses d’Ernst Stavro Blofeld, ce dernier s’apprête à propager un virus dans le monde entier…

Après sa 5ème participation dans On ne vit que deux fois (1967), Sean Connery s’était promis d’arrêter de reprendre le rôle de James Bond (avant de finalement revenir une dernière fois dans Les diamants sont éternels - 1971). Les producteurs ont donc été contraints de lui trouver un successeur, en la personne de George Lazenby, un jeune acteur australien de 29ans dont c’était le premier film (et sera aussi le premier et dernier 007, l’acteur ayant finalement décliner l’offre de reprendre le rôle par la suite). A la réalisation, on retrouve Peter Hunt, qui a été monteur sur 3 James Bond avant d’endosser le rôle de réalisateur sur ce film, pour son premier long-métrage.

Au service secret de Sa Majesté (1969) détonne et ne laisse pas indifférent. A commencer par la performance de George Lazenby qui incarne ici un agent secret qui s’humanise en tombant éperdument amoureux de la Comtesse Teresa di Vincenzo, préférant reléguer au second plan (du moins, dans un premier temps), sa chasse à l’homme envers Blofeld.

Le film est clairement scindé en deux parties, la première dont on aurait très bien pu se passer, est la rencontre entre James Bond et la radieuse comtesse (incarnée par Diana Rigg) ainsi que le chef de l'Union Corse (campé par l’italien Gabriele Ferzetti). Une étrange histoire d’amour et un surprenant partenariat entre Bond et la mafia Corse.

Alors que la première partie accuse un rythme assez lent, c’est tout le contraire qui va s’opérer dans la seconde, mais pour cela, il nous faudra patienter près de 80 minutes (!) sur les 135 que compte le film avant que ce dernier daigne enfin nous dévoiler ses scènes d’action. Durant la dernière heure, nous aurons droit à une course-poursuite quasi non-stop entre James Bond et les hommes de main de Blofeld (interprété par Telly Savalas). A skis, en voitures et même en bobsleighs, si certaines séquences à ski peuvent paraîtres laborieuses (trop de transparence), force est de constater que le résultat final s’avère assez saisissant. Ces prises de vues, on les doit à Willy Bogner (Feu, glace et dynamite - 1990) qui gèrera d’autres séquences à ski sur les prochains James Bond.

Le film nous réserve son lot de surprises, oubliez les gadgets habituels de la franchise, il n’y en a aucun. C’est surtout au niveau des décors que l’on sera agréablement surpris, entre l’hacienda Corse et le "Piz Gloria" (le repaire de Blofeld perché au sommet d’une montagne suisse où l’on y accède uniquement par téléphérique). Ajouter à cela l’impressionnante chasse à l’homme où durant près d’une demi-heure quasi sans discontinue, on se retrouve au cœur d’une course-poursuite haletante.

Unique opus Bondien incarné par Lazenby, oscillant entre le romantique et le mélancolique où ce dernier parvient aisément à prendre la relève après Sean Connery. Un film qui, jusqu’au bout, n’aura eu de cesse de surprendre, à l’image de ce dénouement tragique qui clôt ce film en nous laissant sur notre faim.

(critique rédigée en 2008, réactualisée en 2022)

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4,0
Publiée le 18 mai 2024
La 1ère fois que j'ai regardé Au service secret de sa majesté le film m'a laissé une impression mitigée, mais en le revoyant j'ai considéré cet épisode de la saga 007 comme sans doute l'un des plus aboutis. Maintenant cela doit faire la 3ème fois que je le vois et je reste sur la même impression.
George Lazenby ne démérite pas quant à Diana Rigg elle est sans doute la plus ravissante et élégante James Bond girls tous films confondus, ils sont convaincants en amoureux et leur couple fonctionne bien à l'écran de plus elle fait partie des compagnes de Bond qui ne reste pas stoïque durant l'action mais l'aide.
Le film est sans temps mort malgré un début assez pauvre en action toutefois l'atmosphère est très prenante (la première heure a tout de même des petites longueurs mais rien de gênant), dans le dernier tiers du film les scènes d'action sont excellentes avec les poursuites à ski qui sont fabuleuses ou encore la course-poursuite à bobsleigh (tourné par John Glen, monteur du film et futur réalisateur de 5 films de la saga), il y aussi une impressionnante scène d'avalanche. On peut trouver d'ailleurs Lazenby plus à l'aise dans les scènes d'action car au début du film il semble un peu gauche mais il apporte une certaine humanité au personnage de James Bond au contraire de Sean Connery qui était l'incarnation de l'assurance.
John Barry a signé une très belle musique, et la fin est assez émouvante (l'acteur aurait pleuré durant cette scène ce qui n'a pas apprécié les producteurs car Bond ne doit jamais pleurer).
Ce film sans être un échec financier n'a par contre pas été un succès important, dans le même style Casino Royale ne me semble pas aussi réussi.
George Lazenby fut un Bond unique avec un film unique dans la saga.
4,0
Publiée le 15 septembre 2020
« Au service secret de sa majesté » fait un peu figure d’OVNI au sein de la saga James Bond bientôt riche de 25 épisodes. Ceci à plusieurs titres. Tout d’abord Sean Connery qui symbolisait depuis cinq épisodes l’agent 007 est remplacé par George Lazenby, un mannequin australien qui n’avait jamais mis les pieds sur un plateau de cinéma. Ensuite, Peter Hunt, monteur sur quatre des premiers épisodes accède à sa première réalisation. Enfin, le roman éponyme de Ian Fleming, le seul écrit depuis l’exploitation de son personnage au cinéma, est ici adapté de manière particulièrement fidèle ce qui n’avait pas été obligatoirement le cas pour les épisodes précédents. Ces trois innovations dont une majeure car subie vont s’avérer être un obstacle au succès commercial du film. Logiquement, pour la seconde fois consécutive, le box-office de la saga sera en baisse. L’empreinte de Sean Connery sur le rôle était si forte qu’Albert R. Broccoli et Harry Saltzman (les fondateurs de la saga) s’attendaient sans doute à une telle conséquence. L’acteur écossais endossera une nouvelle fois le rôle pour « Les diamants sont éternels » après qu’une fois encore le casting soit devenu un véritable casse-tête pour la production. La prestation de George Lazenby a bien sûr provoqué les réticences d’une partie de la critique et des spectateurs n’aimant pas être dérangés dans leurs habitudes. Pourtant, le temps faisant son effet, « Au service secret de sa Majesté » remonte régulièrement dans les différents classements figurant sur le web. Qu’en est-il vraiment ? On peut dire que le novice George Lazenby assure une parfaite transition entre Sean Connery et Roger Moore qui reprendra le pistolet de l’agent 007 en 1973 pour ne le lâcher, un peu usé qu’en 1985 après sept prestations où il donnera une image beaucoup plus décontractée et distanciée du célèbre agent. Peter Hunt plutôt adroit à la réalisation parvient à s’accommoder du registre expressif relativement limité de Lazenby et se sort remarquablement de la gestion des scènes d’action qui sont parmi les meilleures depuis le début de la saga. Telly Savalas est un méchant particulièrement charismatique que l’on regrette de ne pas voir davantage. Quant à Diana Rigg qui quitte à peine la célèbre tenue de cuir d’Emma Peel, la partenaire de John Steed (Patrick MacNee) dans « Chapeau melon et bottes de cuir », elle apporte son charme mutin qui lui donnera le titre enviable d’être la seule James Bond Girl à avoir réussi à mettre la corde au cou à 007. Le scénario est certes classique mais il propose un équilibre harmonieux entre humour, romance et scènes d’action. La réhabilitation de ce sixième segment paraît donc parfaitement justifiée.
3,5
Publiée le 9 septembre 2014
Interprété par George Lazenby, ce James Bond est un peu à part dans la série, beaucoup de fans n'appréciant pas le choix de l'acteur. Il est vrai que succéder à Sean Connery n'était pas évident et il faut avouer que malgré ses efforts, Lazenby n'a pas vraiment de charisme et sa tête ne colle pas avec le rôle. Malgré tout, "Au Service Secret de sa Majesté" est un bon James Bond, même si quelques longueurs se font sentir. Et la fin assez inattendue est marquante.
3,5
Publiée le 2 décembre 2021
AU SERVICE SECRET DE SA MAJESTE (1969). Une drôle de dame cette comtesse, Teresa Tracy, pourtant elle et son entourage douteux aideront James Bond à retrouver Blofeld, tête pensante de SPECTRE (organisation mondiale du crime). Un épisode romantique bercé par la chanson " We have all the time in the world", interprétée par l'excellent Louis Armstrong, que l'on retrouvera aussi pour le générique de fin de "Mourir peut attendre"(2021). Sans doute la chanson emblématique d'un amour perdu à jamais, point commun de ces deux opus. James Bond, l'acteur George Lazenby, remplaçant de Sean Connery, un parfait gentleman distingué. D'une grande simplicité, cette classe sans défaut passera très bien à l'écran. Dommage, il ne fera qu'un seul James Bond. Un film d'espionnage intéressant, assez sympa, se déroulant la plupart du temps dans le repère de Blofeld situé sur l'un des sommets enneigés d'une montagne des Alpes Suisses. Une clinique aux bien mauvaises intentions édifiée dans un très joli cadre de vie. Blofeld, l'acteur Telly Savalas (Kojak), le crâne chauve, un regard intelligent, un savant fou très inquiétant secondé par son antipathique assistante, Ilse, aussi démoniaque que son maitre. Cette aventure ne décevra pas, une agitation certes un peu vieillotte mais tout de même très bien réalisée pour son époque. Une James Bond Girl, Teresa Tracy, un personnage au fort caractère interprété par la séduisante Diana Rigg (Emma Peel de Chapeau Melon et bottes de cuir), tellement pétillante que James cèdera à sa beauté. Distrayant par ses actions, agréable par sa B.O, ce film bien maitrisé arrivera même à nous faire oublier notre ami Sean Connery. "Au service secret de sa Majesté" ne sera pas un grand James Bond mais restera très plaisant à regarder.
3,5
Publiée le 3 octobre 2014
le film débute lentement et est un peu ennuyeux au départ, mais la suite du film rattrape largement cela et en fait un très bon james bond
4,5
Publiée le 10 septembre 2014
Sixième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, 007. Pour cette sixième aventure James Bond tombe pour la première fois « amoureux » d’une jeune femme nommé Tracy, et il se trouve qu’elle est la fille d’un des plus puissants parrain de la mafia qui veut que Bond épouse sa fille. Parallèlement 007 est en mission et pourchasse un certain Blofeld qui a décider de propager un virus capable d’anéantir une bonne partie de l’humanité. Bond doit impérativement l’arrêter. Au Service Secret de sa Majesté est un Bond un peu spécial car il marque l’apparition de Georges Lazenby dans la peau de l’agent secret britannique pour la seule et unique fois de la série. Lazenby nous livre un parfait 007 et plus violent que Sean Connery, il réussi à le faire oublier pendant tout le film et dés sa première scène d’action, celle du combat sur la plage où il sauve Tracy et est attaqué par des hommes, un combat violent et intense dans l’eau et le sable, et lance cette réplique face a la caméra pour faire directement allusion à Connery: « Ce ne serait jamais arrivé à l’autre gars ». Et voici le générique qui démarre mais cette fois sans chanson mais avec une superbe musique bondiènne écrite par John Barry et le film commence, l’histoire d’amour entre 007 et Tracy se met en place pendant la première partie du film et les scènes d’action arrivent doucement dans la deuxième partie et s’enchaines dans un rythme effréné, des scènes démentes et spectaculaire. La première course poursuite à ski dans la nuit est géniale sur le thème du film, ensuite celles à voiture et à ski avec Tracy sont spectaculaire et le final explosif dans le repère de Blofeld attaqué par des hélicoptères et Bond qui poursuit Blofeld dans une course poursuite en bobsleigh spectaculaire. Au Service Secret de sa Majesté marque les esprits car le film nous montre pour la première fois un Bond amoureux et engagé dans une relation sérieuse avec la sublime Tracy jouée par Diana Rigg, la Emma Peel/Bottes de Cuirs de Chapeau Melon et Bottes de Cuirs, leur relation dure pendant tout le film et la fin nous montre le mariage de Bond et Tracy et une Moneypenny en larme qui regarde Bond avec un aire « Je vous aime James », ils partent en lune de miel mais Tracy sera tuée d’une balle dans la tête par Blofeld. Le seul Bond de la série qui se termine par une mort violente et tragique où Bond complètement abattu dit: « Elle se repose […] On n’est pas pressé ». Bond est mort pour la première fois, de chagrin. L’homme qui a tué sa bien aimée est Ernst Stavro Blofeld dit le Comte de Bleuchamps, joué par Telly Savalas sans cicatrice cette fois mais toujours avec son chat blanc remplace Donald Pleasence de On ne vit que deux fois, le pire ennemi de Bond. Au Service Secret de sa Majesté marque normalement la première rencontre entre 007 et Blofeld mais c’est raté pour cette fois car ils s’étaient déjà rencontrer dans l’épisode numéro six On ne vit que deux fois avec Sean Connery. Ce sixième James Bond sera considéré comme l’un des moins bon de la série mais moi je trouve que c’est l’un des meilleurs et devant les Bond de Brosnan, le film marque la seule apparition de Lazenby en 007 qui fait de lui aujourd’hui un film culte avec ses scènes d’action spectaculaire, sa fin tragique, sa musique excellente. En réfléchissant le film est une sorte de Casino Royale en moins spectaculaire avec la romance Bond/Tracy et Bond/Vesper, la mort de la femme qui l’aime dans les deux films de façon tragique.
2,0
Publiée le 26 janvier 2016
Un des James Bond les plus atypiques de la saga. La cause en est qu'il s'agit du seul et unique Bond interprété par le mannequin, acteur quasi inconnu, George Lazenby, et qu'il s'agit du seul film de la saga ou James Bond se marie !... Adaptant le premier roman de Ian Fleming a être sorti après le début de la saga cinématographique. On sourit devant l'aparté de Bond/Lazenby quand il apostrophe le spectateur , on reste perplexe quand Bond semble effrayé, plus quelques scènes stupidement râtées comme la grenade et le bobsleigh. Il n'est pas le plus mauvais, mais loin d'être le meilleur.
4,0
Publiée le 4 novembre 2018
Pour la première et la dernière fois avant longtemps le personnage de James Bond est sensible, faillible. Au service secret de sa majesté, est un épisode à part dans l'histoire de la saga. D'abord car il s'agit de l'unique mission de George Lazenby, mais surtout donc par l'aspect sombre apporté au personnage et à l'histoire.
2,5
Publiée le 21 mai 2022
Lassé par le rôle de 007 , Sean Connery abandonne Eon Production qui se tourne vers le mannequin Georges Lazenby et c’est déjà pour moi un des points faibles du film. Car si ce Bond joue la carte de l’humour (très en dessous de la ceinture) je trouve qu’il lui manque la dérision et la malice que mettait l’acteur écossais dans son interprétation. J’ai senti le bonhomme très imbu de lui même (comme son personnage il est vrai) mais ce trait de caractère rend son Bond moins supportable. Misant sur son héritage « au service secret de sa majesté » va multiplier les clins d’œil et allusions à l’ancien interprète notamment lors de la scène pré générique où l’espion brise pour une fois le quatrième mur. Si je n’ai pas été convaincu par l’acteur principal ça n’a pas été le cas de Diana Rigg qui lui vole la vedette et est devenue une James Bond girl marquante de la saga, ainsi que Telly Savalas qui reprend le rôle de Blofeld. Film qui se veut dans la continuité des films avec Connery il fait preuve de nombreuses incohérences comme le fait que Bond et le leader du Spectre ne se reconnaissent pas. Si la fin avec la poursuite en bobsleigh et le retournement final en on fait un épisode marquant de la saga, le film souffre tout de même d’un gros ventre mou ou il ne se passe pas grand chose, d’un humour très douteux qui a très mal vieilli. Un épisode qui marque le début d’une période très creuse pour l’espion le plus célèbre du cinéma.
2,0
Publiée le 3 octobre 2019
Qu'est ce que c'est ringard en 2019 ce film... Les scènes de nuit tournées en plein jour, des faux raccords permanents, des accélérés comiques lors des cascades, un Bond qui emballe comme il respire...un Lazenby qui a le charisme d'une moule encore fermée. et pourtant dans tout ça, Diana Rigg qui est la plus charmante des James Bond girl de tous les temps... Mais bon globalement soporifique et ridicule...
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